Silence de mort,
Ironie macabre,
Dieu bénissant les torts,
De ta vie de zabre !
Je t’ai longtemps cherché,
Et maintenant tu es pleuré.
Oh oui, les gens te regrettent,
Ils jettent des pièces dans une barquette!
Il y a la, ta princesse,
Triste et abandonné.
Devrais-je m’en soucier,
Et en faire ma comtesse ?
Tu n’as pas à t’en faire,
Elle, passera l’hiver.
Te voir la, étendu, immobile,
Me fait de la peine, inaudible.
Que suis censé faire maintenant ?
Vivre est beaucoup moins marrant,
Si le loup ne rugit plus
Sur les petits lapins dodus.
Les adieux sont déchirants,
J’ai été médisant,
Ma peine est partie depuis bien longtemps,
Je les tuerais tous si j’en avais le temps !
J’aurais pu prendre ton cœur, pourris,
Et alimenté des cris !
De peur et d’incompréhension,
De plaisir et de satisfaction !
Un délice sucré
Une envie salée.
Une villa pour ta vie,
Un homme pour ta fille
Merci, d’avoir cessé
A jamais d’exister.
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L' Arbre à mots
PoetryDes petits poèmes écrits selon l inspiration du moment , pour adoucir les maux. Il n'y a pas de parution prévu, ca dépendra de moi.
