Tout ce que j'ai et tout ce que je suis

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Bonsoir, bonjour, j'espère que vous allez bien en ces temps difficiles. Me revoilà pour un nouvel OS sur l'univers MARVEL. Ce n'est pas un Stony mais plutôt un Iron Dad/Spider Son. Je les trouve super mignons et j'adore leur relation dans le MCU. Dommage que ça soit fini.

J'ai juste deux, trois petites choses à vous dire avant de vous quitter.

1. Je vous conseille de lancer la musique "You are my Sunshine" de Johnny Cash, pour lire ce petit récit.

2. Je vais vous couper à un moment donné dans votre lecture pour vous informer d'un changement de musique. Il faudra mettre "(Your Love Keeps Lifting Me) Higher & Higher" de Jackie Wilson.

3. Ces musiques vous aideront à mieux vous plonger dans le récit. Mais vous restez libre de vos choix.

4. Les grosses parties en italique indique un souvenir.

Bref! Je vais vous laisser avec la petite histoire. Bonne lecture!

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C'était à l'une de ces soirées mondaines, auxquelles j'avais l'habitude d'aller, que tout a basculé en un seul coup de fil.

Nous étions un vendredi soir, à New York. Je devais assister à un gala en l'honneur de l'ouverture de ma nouvelle usine dans la même ville. J'avais décidé, il y a de cela trois ans, d'élargir mon périmètre d'action. Je voulais plus, encore et toujours plus. Depuis que ma tête était sur tous les magazines parlant de la gigantesque Stark Industrie, je ne rêvais que d'une chose, être le plus grand ! Et le plus riche aussi. Alors j'avais travaillé d'arrache-pied jusqu'à ce que ma fortune n'ait triplé de volume. Beaucoup m'envoient, mais je n'en avais rien à faire, la seule personne pour laquelle je me fais le plus de soucis c'est moi. Étonnant ? Je pense que vous connaissez la réponse.

Revenons au moment où tout avait plus ou moins commencer.

J'étais debout devant mon grand miroir, remettant mon nud papillon droit, lorsque mon chauffeur, et garde du corps, ne vienne toquer à la porte.

« Oui Happy ? Disais-je pour le laisser entrer, ce quil fit.

- Il est l'heure monsieur. Mademoiselle Potts est déjà sur les lieux. M'indiqua-t-il tout en restant près de la porte.

- Bien, alors allons-y ! Lançais-je tout en me dirigeant vers la sortie »

Le voyage fut rapide. Lorsque mon pied avait seulement frôlé le sublime tapis rouge, des flashs fusillaient de partout. J'avais l'habitude de tous ces paparazzis Au début cela m'amusait, mais depuis je m'en lassais Je n'y trouvais rien d'excitant. Mais je continuais à faire bonne figure comme tous ces menteurs, manipulateurs à qui je devais sourire et serrer la main afin qu'ils glissent un chèque ou deux dans ma poche. Voilà dans quel monde je vivais. Je connaissais le tableau par cur, ces galas je savais leur déroulement de A à Z. C'était tellement prévoyant et si ennuyeux. Heureusement que les quelques vautours étaient accompagnés de charmantes créatures, si facile à charmer. Il fallait bien que j'entretiens mon image de play-boy, non ?

J'avais monté ces marches comme tant d'autres, bu des coupes de champagne aussi chères que toutes les autres auxquelles j'avais pu tremper mes lèvres. Seuls les individus, la décoration et la raison de la soirée changeaient. J'avais discuté avec la plupart des personnes présentes, faussant un sourire qui faisait à présent parti de mon masque. Ma charmante assistante m'avait informé de quelques banalités concernant l'entreprise, les invités et la soirée, mais j'en avais que faire. Il me fallait quelque chose qui sorte de l'ordinaire. Mais je pensais à tout sauf à ça.

Tout ce que j'ai et tout ce que je suisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant