Un Vent d'été

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La lueur du matin caresse mes cheveux,
La chaleur du soleil me fait plisser les yeux,
Cet horizon figé, même à travers les âges,
Refoule les pensées, de très nombreux grands sages ;

Derrière ce mystère,
L'Homme reste poussière,
Quant à la vérité,
Aucun ne l'a trouvée ;

Un amas de question souvent non résolu,
Entraîne notre espèce en quête de réponse,
À rechercher sans fin quelque chose d'absolu,
Où notre esprit se meut dans une justesse absconse.

Raphaël Sittig.

Un vent d'étéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant