FACE CACHÉE

4 0 0
                                    

Soudain je me rend compte que je lui tiens les mains, alors je décide de les relâcher et au moment où je m'apprêtais à lui dire pourquoi je mettais la faute sur moi, un effroyable tonnerre rougis dans le ciel ce qui veut dire qu'il va pleuvoir. Je tourne les talons et lui dis de rentrer chez elle ce qu'elle ne voulue pas car elle cherchais à comprendre pourquoi je jetais la faute sur moi et pour ne pas à me justifier de plus je part en direction de ma maison.

MOI: Eh ben voilà, la raison pour laquelle je met la faute sur moi est que...

BRUITS DE TONNERRES......

FATIM(curieuse): Aller vas-y je t'écoute.

MOI: Euh tu devrai rentrer chez toi c'est mieux ainsi, il va pleuvoir des cordes et si tu ne rentre pas vite chez toi, tu sais ce qui t'attends.

FATIM: Mais je....

MOI: Il n'y a pas de "Mais" qui tienne, on continu la causerie très bientôt mais pour l'instant rentre chez toi c'est le plus important.

FATIM: Mais... Ok.

MOI: Bye Fati rentre bien. On se reverra très bientôt t'inquiète. Aller à bientôt.

Je part en direction de ma maison sans regarder en arrière puis j'entends les pas de FATIM qui s'éloignent dans ma direction opposée et je continu toujours de marcher sans me retourner.
Je rentre à la maison très épuisé par cette folle journée, je salut ma mère et la servante puis je prend la direction de ma chambre. Je prend un bon bain chaud, je charge mon téléphone en le mettant sur mode avion pour ne pas à être dérangé pas des appels ou des messages. Je m'allonge sur le lit et je commence à réfléchir de la manière dont je pourrai éviter tout contact avec FATIM et les autres alors je décide d'arrêter d'emprunter le car ce qui veut dire que l'argent du car sera pris comme argent de transport pour le taxi ou pour le bus. Après quelques réflexions, quelques minutes plus tard je m'endort.

Le lendemain je prend un taxi puis en une demi-heure j'arrive enfin à l'université. J'esquive de tout mon possible FATIM et KADER mais j'avais complètement oublié un détail, j'étais dans la même salle avec YANN ce qui n'allais pas du tout être facile pour moi d'éviter les autres. Alors je décide donc d'en parler avec YANN vu que je pouvais lui faire confiance. Je me faufile dans la cour puis en quelques minutes j'arrive devant ma salle. J'entre puis je vois que YANN était déjà arrivé, et comme il n'étais que 7h38 et que les cours devaient commencer à 8h00 j'en profite pour lui en parler. Celui-ci me comprends aussitôt et décide alors de ne rien dire et de couvrir si les autres demandaient après moi.
Sa fait maintenant un mois et demi que j'esquive le regard de FATIM et celui de KADER. Ils n'ont pas de mes nouvelles mais moi si, parce que YANN me faisais un rapport de tous ce qui se passais donc je n'étais pas inquiet pour eux puisse qu'ils se portaient biens mais pour eux c'était le contraire.

Il est vendredi aujourd'hui, mon dernier jour d'école dans la semaine. Je me réveil et fait ma routine comme d'habitude puis je part à l'université en empruntant un bus et à mon arrivé je constate une grande foule d'étudiants(es) devant l'université réuni de façon à créer un cercle. Il y avais pleins de cris et de bruit. Je descend du bus et j'essaie de me rapprocher et j'entends quelques commérages disant que: << Cette fille a quand même du cran en voulant se battre avec un homme, en plus c'est elle qui n'a pas raison et c'est elle qui fait la grande gueule, si c'était moi j'allais la remettre à sa place cette fille, c'est lui qui la regarde sinon si c'était moi depuis longtemps elle étais hospitalisée tchip .>> et d'autres qui disaient: << Comment une fille aussi belle et si fragile peut-elle avoir un coeur aussi gros comme une pastèque? Vraiment elle a du cran cette fille,je la kiff déjà>>
J'entends une voix au milieu de la foule qui m'est familière et là je me dis, NON,CE N'EST PAS POSSIBLE, LÀ VOIX QUE J'ENTEND, ES CE CELLE DE... je commence à marcher de plus en plus vite et lorsque j'arrive à ma grande surprise c'était FATIM qui était le sujet de commérage dont l'autre parlais. Je remarque qu'elle se débattait dans les bras du gardien de l'université et de l'autre côté il y avais un garçon et une fille qui étaient très énervés et étaient retenus par les autres étudiants. C'était pour la première fois depuis je connais FATIM que je la voyais aussi énervée et si sauvage. Si je ne la voyais pas de mes propres yeux je pourrai mettre ma main au feu que FATIM que je connais ne pouvais pas atteindre ce stade de colère incontrôlable qu'elle cache derrière son sourire. Là je me rend compte pourquoi elle ne s'énervait pratiquement jamais plus de 10 minutes. Elle cachais ce défauts enfoui en elle à travers un sourire tout comme moi qui m'isole des regards d'autrui. Comment derrière un si joli sourire peut se cacher une tigresse, une haine, une sauvagerie, une tristesse, une peur, une colère si incontrôlable.? Un tât de questions défilent dans ma tête sans réponse. Cependant, les réponses m'importaient peu, ce que je voulais c'était comprendre ce qui s'est passé entre elle et ses deux étudiants que je pourrai dire un couple juste à les regarder. Je part attrapé les mains de FATIM qui se retourne brusquement avec un regard de tueuse qui me lançais des éclairs, on pouvais voir la rage dans ses yeux. Lorsqu'elle sue que c'était moi qui lui tenait la main elle redeviens aussitôt elle-même comme si j'étais son calmant ou la cause pour laquelle elle se battais.

MOI( en haussant la voix): Eh oh Fatim c'est moi, MALIQUE, du calme je suis là qu'est-ce qui se passe ici putain?

FATIM(inquiète): MALIQUE?, Mais qu'est-ce que tu fais ici, T'étais où tous se temps, on s'inquiétait pour toi, moi et KADER. T'étais passé où?

MOI: Je t'expliquerai tous sa plus tard, mais pour l'instant répond moi. Qu'est-ce ce qui se passe ici?

FATIM: ..... (sans réponses baissant la tête)

MOI: Mais répond moi putain qu'est-ce qui se passe ici?? ( dis-je impatient)

FATIM: Demande leurs.!! ( en haussant la voix)

MOI: Mais c'est à toi que j'ai posé la question alors tu va me faire le plaisir de me répondre maintenant.

FATIM: OK! OK! DU CALME!! Je vais te répondre!! Vas-y molo.

MOI: Ok je t'écoute je veux tout savoir.

FATIM( se raclant la gorge): Ben voilà, je passais pour aller dans ma salle et ses deux idiots que voici mon interpellée ce que j'ai exécutée.

Vous avez atteint le dernier des chapitres publiés.

⏰ Dernière mise à jour : Jul 01, 2020 ⏰

Ajoutez cette histoire à votre Bibliothèque pour être informé des nouveaux chapitres !

LES DÉFAUTS D'UN JEUNE HOMME Où les histoires vivent. Découvrez maintenant