Tout bascula

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Mon papa me ramena un verre d'eau et me donna à boire pour me soulager. La mort de maman m'avait carrément anéhentie et j'étais perdue. Elle était ma seule raison d'être. Maman me manquait terriblement.
Après avoir bu l'eau que m'a rapporté mon papa, nous restâmes à discuter, il me conseillait de la vie  et commença à me carresser, à me toucher bizarrement. Et d'un coup il me donna un baiser sur la bouche. Ohh mon Dieu je suis entrer d'alluciner, papa m'a embrassé??? Je commençai à le regarder bizarrement et à le fuire mais lui continue de me toucher ohh mon Dieu !!!!
Il m'écœurait au plus profond de moi. Comment mon père puisse faire ça, je suis sa fille cadette putin ! Je voulais fuire mais il me giffla et commence à me menacer de me tuer si je criais !
- Nooon Papa s'il te plait qu'est ce que tu fais comme ça? Je suis ta fille Débo papa.
Je commençais déja à verser des larmes tellement j'avais peur.
-Si tu oses crier je te tue, me dit papa
Je n'avais qu'une envie fuir et sortir de la maison, mais mon frère n'était pas à la maison. J'essaye de sortir mais il me bloqua avec son gros corps.
-Hée tu vas où, soit tu obéis, soit je t'apprends à obéir, cria mon père
Je recommençai à pleurer de plus belle, il enlève sa chemise, retire son pantalon et sort son ...truc. J'ai failli m'étouffer, je ne comprenais plus, plusieurs questions me venaient à l'esprit est ce que c'est papa?? Je pleurais de toutes mes forces et je voulai à tout prix sortir mais papa avait plus de force que moi.
-Ferme ta bouche mal polie, cria mon pére
-S'il te plait papa ne me fait pas ça, je suis ta fille, pense à maman qui n'est plus de ce monde, pleurais-je
BAAAAM, il venait de me gifler, mais en ce moment la gifle m'importait peu, tout ce que je voulai c'était de fuir à toute vitesse. Il avait mis sa main sur ma bouche et l'autre main il me callait pour pas que je fuis. Il me débarasse de mes habits, je me débats comme je peux, je lui griffais, je le tapais mais rien, je continuais à pleurer. D'un coup il s'est levé pour aller chercher je ne sais quoi, j'en ai profité pour me lever, il se retourne vers moi et me gifle qui me fait tomber à terre.
-Je risque de te tuer si tu ne te calme pas, cria mon père.
Il attacha ma bouche à l'aide d'un mouchoir et mes bras à l'aide d'une corde. Je bougeai dans tous les sens mais ce vieux cochon est comme obsédé. Il déchira le reste de mes habits et je reste toute nue devant mon père. Je n'oublierai jamais son regard en ce moment, un regard bestial, on aurait dit un lion affamé.
Il écarta mes jambes et c'est me fixant droit dans les yeux qu'il enfonça son membre en moi, je criai dans ma tête, un cria qui ne pouvait pas sortir tellement j'avais mal, c'est comme si on me taillait avec une lame, comme si on me dichirait les veines, j'avais terriblement mal, un mal atroce que je croyais que j'allais mourir. Il continua sa besogne jusqu'à qu'il soit fatigué avec un liquide qui sortait de son membre, il se relève et me regarde droit dans les yeux
- Tu dis ce qui vient de ce passer à qui que ce soit, je te tue, je te tue, cria mon papa
En ces mots, il sorta de la chambre en boutonna sa chemise.
Moi je n'ai fermé l'œil de la nuit, mes larmes ne coulaient plus de l'extérieur mais de l'intérieur. Je fixais un point O et j'attendai l'ange de la mort pour qu'il vienne me chercher tellement j'avais mal et je croyais que j'allais mourir, la douleur était insupportable et c'est ce jour que j'ai commencé à consider mon père comme un mort pour moi. J'en voulai au monde entier, j'en voulai à ma mère (qu'elle repose en paix) de m'avoir mise au monde, à mon père d'avoir ruiné ma vie, de mon frère d'être parti et m'avoir laissé avec ce cochon qui me serve de pere, d'avoir un pierre à la place du cœur et à la gente masculine car c'est un homme qui vient de détruire ma vie, qui m'a salit, qui a bafoué ma dignité, un homme qui a pris de façon la plus bestiale qui puisse exister ma Virginité, mon Honneur, qui homme qui m'a tout simplement VIOLÉ.
J'étais éveillée jusqu'au petit matin, je n'arrivai pas à dormir, tantot je pleurai, tantot je me posé des questions si c'est mon père qui m'a réellement fait cet acte ignoble. J'avais juste envie de le tuer avec mes propres mains.
Le chant des coq retentit, je devais me lever pour faire les tâches ménagères de la maison, commençait avant que la bonne ne vienne, mais c'était impossible, je n'arrivais pas à me lever, imcapable car j'avais mal partout. Je m'efforce de me lever mais je retombe aussitot sur le lit, j'avais mal, trop mal que je pouvais faire un pas. Je vois du sang sur le drap et je commence à pleurer de plus belle, il m'a anéanti. Je reste allongé car je ne pouvais pas bouger et j'attendais la bonne pour lui dire que je suis malade aujourd'hui. Biensur j'en profite pour enlever le drap.
Vers 7h du matin, mon soit disant papa passe dans ma chambre pour me dire bonjour et pour me dire qu'il allait au travail. Je ne pouvai pas le répondre tellement je le détestai, j'avais juste une envie: de le tuer.
Il partit, et la bonne arriva. Et commença son travail. J'ai passé toute la journée dans la chambre je ne pouvais rien faire et je n'avais envi de rien aussi.
Le soir papa rentra du travail et me trouva entrain de dormir dans la chambre. J'avais encore mal, il se rapprocha de moi et commence à me carresser encore. Je cligne les yeux et je vois mon père, je sursaute
-Tu ferais mieux de t'y faire sinon ça sera comme hier, dit mon pere
Je ne lui répond pas et ajuste ma couverture pour pas qu'il me touche. Il me regarde pour une dernière fois et se dirige vers la porte. Il est sorti. Je fais un ouf de soulagement tout en ayant toujours peur. Il revient après 30 minutes et portait juste un caleçon. J'étais sidéré, je ne comprenais plus. Je commence à reculer vers le mur incapable de rester calme tout en sachant que mon père veut encore me violer. Il s'approchait davantage, j'essayais de fuir mais en vain je tombais sur le sol sous ses pieds. Il me lance un regard bestial comme hier, ce regard que je n'oublierai jamais.
-Où tu veux aller? Tu ne pourras jamais fuir et n'essaye surtout pas de crier sinon je te tue et c'est fini. Cria mon père.
-S'il te plait papa, j'ai mal ....
-Laisse toi faire, me chuchota t-il
Il venait de me débarrasser encore de mes vêtements, ou plutot les déchirer. Je pleurai de toutes mes forces, il était possédé. Je me débattais mais il me gifla que je ne savais plus où j'en été.
-Noooooooooo papa s'il te plait, pleurai-je
Il venait de s'enfoncer en moi encore, je criai jusqu'à extinction de ma voix. C'était comme la douleur de la nuit d'hier mais pir, comme si on remuait un couteau dans une plaie. J'avais atrocement mal ayant l'impression qu'on me tiraillait les veines, comme si on déchirait ma chaire.
Il termina sa besogne et comme d'habitude sortit de la chambre en me menaçant de me tuer si je songeai à raconter ce qui venait de se passer. Mon père venait de me VIOLER encore.
Toute la nuit j'avais qu'une seule idée en tête c'est de quitter la maison dés qu'il part au travail demain.
Je venais de me rappeler que maman m'avait donné un numéro avant sa mort, mon soit disant oncle que je ne connaissais pas et qui s'appelait Tonton Babacar. Elle m'avait dit que si j'avais un quelconque problème, d'appeler mon oncle qui n'hésitera pas à m'aider.
Comme prévu, dès que mon pére est parti à 7h à 10h je sors de la maison difficilement mais je n'avais pas le choix. J'appelle mon oncle ......
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A Suivre.
Désolé de cette longue absence🙏🙏. J'avais une année scolaire d'examen à préparer et je ne pouvais cumuler les études et écrire une histoire. Je voulai me donner à fond.
Pour me racheter, je vais vous poster 2 parties par semaine si tout se passe bien Inshallah. Sinon une partie si je suis très occupé.
Lisez, aimez et partagez svp🙏
Bonne lecture ❤️
Idriss ❤️

CONFESSIONOù les histoires vivent. Découvrez maintenant