Le Monde Parallèle Du Temps

Chapitre 1: La perte de l'espoir

P.d.v Thianghy :

Je m'appelle Thianghy Mappuco, mais vous pouvez m'appelez Tia. Je vie en Chine dans la ville de Shanghaï avec ma tante Mira. Je travaille en temps que serveuse dans un bar, même si je touche peu de dote, c'est déjà ça. J'ai tout juste dix-huit ans, depuis que j'ai perdue mes parents dans un incendie, ma vie a radicalement changée. J'ai remarquée d'ailleurs que je ne suis plus la même qu'auparavant. Je ne me reconnais plus, du jour au lendemain ma vision sur le monde a complètement changée. Quand j'étais petite je me disais que la vie est belle et que j'allais vivre de sacrés aventures, je faisais des rêves dans lesquels j'explorais le monde est ses secrets et bien sûr j'imaginais à quoi aller ressembler mon prince charmant. Après l'accident c'est comme-ci j'avais perdue mon âme d'enfant, que je n'avais plus espoir en mes rêves, en l'amour et à la beauté de la vie.

Le monde n'est pas aussi fabuleux qu'il n'y paraît, en l'espace de quelques secondes, il m'as pris ma mère et mon père. Je me rappelle de la voix de ma mère qui me réveillait chaque matin, de la manière qu'elle me regardée, de sa douceur et de sa passion débordante pour les objets anciens. Puis il y a mon père, qui a toujours su travailler dur pour pouvoir nous nourrir et de faire en sorte que l'on ne manque de rien, même s'il ne le montrai pas, au fond de lui, je savais qu'il m'aimait plus que je ne le penser. Il avait tendance à beaucoup me protégée, tel un chevalier protégeant la princesse de tous les dangers qui l'entoure. À l'heure d'aujourd'hui il n'est plus là pour me protéger,c'est donc à moi de veiller sur moi-même et sur mes proches.

Ça fait maintenant un an que la tragédie c'est abattue sur ma famille,il ne reste plus que moi, mon travail et la maison que j'ai héritée de mes parents. La maison dans laquelle nous étions encore tous réunis, c'est là-bas que j'ai fais mes premiers pas, que j'ai grandie, le soir on regarder toujours un film en famille dans le canapé du salon. Du jour au lendemain ce canapé c'est retrouver vide. 

Puis il y a la cuisine, le lieu où ma mère nous faisaient toujours de bons petits plats... Je me souviens que la dernière chose qu'elle mets cuisiner c'est un plat de lasagnes, mon plat préféré. Cette maison me rappelle tellement de souvenirs que j'ai préférée venir vivre avec ma tante. C'était sans doute le destin qui m'étais réservée, une leçon de la vie sans doute pour me faire revenir à la réalité. Malgré ça c'est le cœur serré que je continue d'avancer dans ce tunnel sombre rempli de désespoir en espérant revoir un jour la lumière de l'espoir. 

Les jours passent mais dans ma tête rien ne s'efface, les souvenirs repassent en boucle, j'aimerai tant que ce ne soit qu'un rêve est que ce cauchemar s'arrête.

J'ai beau me pincée mille fois le bras, ce n'est ni un rêve, ni un cauchemar mais bien la réalité. Ma seule issue c'est d'avancer sans me retourner. Mon père me répété sans cesse ''Un homme à terre est un homme mort'', n'empêche il avait raison, je ne dois pas me laisser abattre ! Je dois me battre pour ne pas tomber. Des questions qui hantent mon esprit, mais celles-ci restent sans réponses. Personne ne sait comment mes parents se sont retrouver prit au piège dans les flammes dans la voiture, ni comment cette incendie s'est déclarer, c'est sans doute cela qui m'empêche de tourner la page.

 Je dois résoudre ce mystère, trouver des réponses pour avoir l'esprit serein. Je dois retournée dans cette maison qui, avant, je m'y sentais en sécurité et maintenant qui me fait si peur. J'ai peut-être la détermination d'y aller, mais pas la force nécessaire d'y aller seule. Mais à qui demander de l'aide? Mira? Non, elle ne voudra jamais, elle refuse catégoriquement de parler de l'accident, disant que c'est mieux ainsi. Je pense que c'est dur pour elle d'accepter la perte de sa sœur, avec laquelle celle-ci était si proche. Je ne vois qu'une seule personne qui puisse m'aider... Kaputo Horochi ! Depuis la maternelle moi et Kaputo étions dans la même classe et je dois avouée que j'ai toujours eu un faible pour lui. On étaient tout les deux inséparables, jamais l'un sans l'autre. Mais depuis la perte de mes parents j'ai dû arrêtée les études pour travailler pour aider Mira a payer son loyer, elle travaille en tant que baby-sitter le soir et c'est peu rentable. Elle a peu de diplôme donc c'était normal pour moi de l'aider. Depuis j'ai coupée les ponts avec tous mes amis ! Mais je pense que ce fût une erreur de ma part. Ils n'y sont pour rien de ce qui est arrivé. J'espère que Kaputo comprendra, car parmi toute la bande c'est sur lui que je compte le plus.