nos âmes s'envolent
s'enlacent et s'embrasent
sous la chaleur naissante
de nos dons dégénérés
qui ne demandent qu'à évoluer,
auprès de nos regards enivrés
sous le feu brûlant
de cet enfant naissant
contre la chaleur du printemps.mais l'amour envers lui reste toujours,
jusqu'à en crever
nous poussant à le détester
pour pouvoir encore plus l'aimer
lorsque son nom apparaîtra sur nos peaux fatiguées.
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Illusoire
PoetryPleure autant qu'il le faudra, tes larmes elles, ne se retiendront pas bien longtemps.