Dring...
Dring...
Dring...Je regarde sur mon cadran et vois qu'il n'est que 7h du matin. Mais qui peux bien appelé à cette heure?
Je me lève et va répondre au téléphone.-Oui allô, dis-je ensommeillée.
-Bonjour, êtes-vous madame Linda Evans?, dit une voix de femme.
-Non, désolé, je suis sa fille Kayla Evans. Elle n'est pas disponible pour l'instant. Puis-je prendre un message?, lui demandais-je.
-Non, dites-lui seulement de rappeler Katherine Johnson, me répondît-elle.
Je raccrochai et tomba sur mon lit. Maintenant que je suis réveillé, je ne suis plus capable de me rendormir. J'enlève mon réveil matin qui étaient programmé pour sonné à 7:30 en me demandant ce qui est pire, ce réveiller à cause du téléphone ou bien à cause de son cadran qui sonne. j'en viens à la conclusion que c'est mieux ce faire réveiller par un cadran parce que tu peux l'arrêter puis te rendormir alors qu'avec un appel c'est plus difficile.
Si seulement Caroline, mon aîné de 5 ans, aurait répondu au téléphone, j'aurais pus dormir plus longtemps. Malheureusement, cette possibilité n'avais aucune chance de se réaliser puisqu'elle était partit hier chez son petit copain passer la nuit puisqu'elle avait un congé aujourd'hui dans son école d'esthétique.
Je me regarde dans le miroir et vois que mes longs cheveux bruns frisés sont mêlés, normal avec des cheveux comme les miens. En dessous de mes yeux, de la même couleur que ma chevelure, on peut apercevoir d'énormes cernes bleus. Mon teint est plus pâle que d'habitude et mon visage avec quelques boutons n'exprime aucune émotion. Bref, je ressemble à une morte-vivante. Une morte-vivante rondelette par contre.
Je rentre dans la seul salle de bain de la maison et suis contente d'être seul à la maison. Ma mère est en voyage d'affaire, mon père, Sébastien, était inquiet qu'il arrive quelque chose à sa femme, donc il est parti avec elle, prenant, en même temps, des vacances bien méritées et ma sœur, comme je l'ai déjà dis, est chez son copain.
En sortant de la douche, j'ai repris des couleurs. Je ne me maquille jamais et aujourd'hui n'est pas une exception. Je me fait aussi un chignon lâche pour ne pas avoir les cheveux dans le visage. Je m'habille simplement d'un jeans bleu élastique et d'un chandail noir à manche courte simple.
Maintenant je ne ressemble plus à un zombie mais plutôt à une adolescente de 15 qui n'a pas la joie de vivre. Ce qui me résume bien.
Puisque ma sœur n'est pas là, je dois prendre le bus. Normalement elle m'aurait déposer au lycée puisque c'est sur son trajet, mais lorsqu'elle ne peut pas, je doit prendre le bus et marcher 15 min juste pour aller à l'arrêt.
8:13
Oh non...
Je vais être en retard si je ne pars pas tout de suite. Trop tard pour un petit déjeuner.L'autobus passe à l'arrêt à 8:25 et ça prend 15 minutes pour y aller en marchant. En partant tout de suite et en courant, je devrait arriver juste à temps.
Je prend mon sac d'école et sort de la maison sans oublier de barrer la porte. Je cours le plus vite que je peux car je ne veux vraiment pas manqué le bus. Le sport n'est vraiment pas mon fort, je n'ai pas le physique pour aussi. Pas comme ma sœur qui, si elle aurait voulue, elle aurait pu devenir une super modèle.
8:24
Je vois l'arrêt bus, je ne sens plus mes jambes et j'ai l'impression d'avoir plein de petites aiguilles dans ma gorge qui bloque l'entrée de l'air vers mes poumons .Une jambe devant l'autre. Une, deux, une, deux, une, deux...
J'arrive à l'arrêt de bus et le vois tourner le coin puis s'arrêter à l'arrêt. Je suis arrivée juste à temps.
Je monte dans le bus et va m'asseoir dans le fond sur un banc de libre. J'essai de reprendre ma respiration sous les regards réprobateurs de personnes qui n'ont pas les même problèmes de poids que moi. Au prochain arrêt, deux rue plus loin, Mackenzie et Darren embarque. Darren s'assit avec une vieille dame et Mackenzie s'assit avec moi.
Ce sont mes amis, je ne leur confirais ni ma vie ni mes plus grands secret mais on s'amuse bien ensemble. Ils sont vraiment plus dans la moyenne que moi et rentre de le moule contrairement à moi.
Darren et Mackenzie sortent ensemble depuis trois ans et ils sont inséparables. Ils essayent de ne pas me mettre à l'écart ce qui est assez gentil de leur part, mais qui aussi ne marche pas toujours. J'ai aussi l'impression qu'ils se tiennent avec moi seulement parce qu'ils ont pitié de moi.
8:40
Arrivés à l'école, je vais jusqu'à ma case et regarde mon horaire. Français, pas ma matière préférée, mais au moins, j'ai la moyenne dans cette classe. Pas comme en mathématiques et en histoire.
16:00
Dring...
Dring...Enfin la cloche sonne. Je n'en pouvais plus d'entendre madame Joséphine parler de dissection de grenouille.
Malheureusement, je ne peux pas encore aller me rouler en boule dans mon lit avec un pot de crème glacée à la pistache.
Je dois aller travailler à la bibliothèque près de l'école. Elle n'est à dix minutes de marche alors pas besoin de prendre le bus pour y aller.
La seul raison que je travaille c'est parce que je ne veux pas rester toute ma vie dans un village de 1500 personnes. Je veux accomplir quelque chose de ma vie. Je ne veux pas rester dans un village où tout le monde me juge.
Même ma famille ne me comprend pas et me juge. Ma sœur, oui, elle va porter à l'école par contre elle me dépose dans la rue d'à côté pour ne pas se faire voir avec moi. Mon père est gentil, mais il va souvent faire des remarques sur mon physique et ma mère essaye toujours de me transformer en ma sœur.
Je mets mes écouteurs dans mes oreilles et mets sur play ma playlist préférée. Les premières notes résonne dans ma oreilles pendant que Numb de Linkin Park commence. (En média) Après environ 5 chansons de ce même groupe, j'arrive enfin à la bibliothèque municipale.
J'ouvre la porte en entendant la petite clochette qui indique que quelqu'un entre ou sort. Je vais voir Véronique Carrier, un dame d'une soixantaine d'année très gentille, pour lui dire qu'elle peut aller se reposer chez elle pour la journée.
Je vais derrière le comptoir et ouvre mon livre à la page 61. Ça doit faire 3 fois que je lis cette série et je ne m'en lasserais jamais. Divergent, mon préféré, c'est le tome 1, parce que c'est dans celui-là que Tris choisi le mode de vie qu'elle veut, elle apprend à se connaître. À la page 61, elle fait le grand saut. C'est définitif, elle saute sans un regard derrière, dans l'inconnue, elle saute dans le trou noir. (En média)
J'adore lire, je lis très vite et beaucoup. Je crois que je lis surtout pour allez dans le monde fantastique qu'est l'imagination. J'aimerais que ma vie sois différente, rempli de mystères, d'intrigues, d'aventures...
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-fin du chapitre 1: Divergent
-1236 mots
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Malgré tout je t'aime
Teen FictionJe n'avais jamais connue l'amour. Je n'avais jamais eu confiance en moi. Je n'avais jamais eu de vrais amis. Je n'avais jamais voulu vivre. Mais tout ça, c'était avant ma rencontre avec toi. Tu m'as donné envie de vivre les peines et les joies de ce...