Chapitre 12 : La Passion/Consécration

571 6 3
                                    

Les jours passé et la neige a fini par tombé en ce 24 décembre, Je voyais Ayuno se recueillir devant ma dépouille pourrissante remplie de verre.

Mes yeux tirés par les corbeaux, commencé à sortir de mes orbites. Mon corps ouvert en 2, pendu a l'arbre, dont coulait encore du sang du fond de mes entrailles.

Elle se mit en dessous de ma carcasse dégoulinante, elle s'allongea puis ouvrit la bouche pour boire le sang qui gouttelait de mes entrailles.

Je la voyais remplir son estomac de mon sang visqueux. Elle se dandiné du ventre comme si elle en tirait une satisfaction.

On dirait un bébé qui tète sa mère avec du recul. Je vis une larme couler de ces yeux

J'en ai profité pour aller voir ma famille, sous ma nouvelle forme...Et je suis agréablement surprise.

La raison pour la quelle mon père, Ueki-ya Oroka et ma sœur Busshu aller dans le jardin. Il n'aller pas vraiment tailler les buissons ou autres chose.

Mon père lui faisait l'amour dans la cabane de jardin. Le pire ces que ma sœur en redemander. D'une certaine manière, oui mon père aller entretenir son jardin secret et taille le buisson ...Il faut bien je prenne ça avec humour ^^ '

Ma mère, Hikidashi Oroka, l'ayant appris, elle a commencer a jouer a un jeu. Celui de ce mettre tous les légumes et fruits du saladier dans son vagin...Le pire ces que tous rentre (^^ ').

Donc voila la raison pour laquelle elle les lavait toujours.

Dit comme ça ,je ne veux plus manger ces tarte aux fruits. Mais ce qui me désole le plus. Ces que j'ai disparut et qu'ils vivent leur vie sans avoir remarqué.

Finalement je n'aime pas ces gens qui ce veulent être ma famille.

En revenant chez Ayuno. Elle contemplait mon cadavre pendu dont les oiseaux venaient manger les graines sur mes bras.

Avec le mouvement et le poids des oiseaux, mes pieds basculer de la droite vers la gauche. Cela faisait un peu comme une pendule d'ont la chaine se balancer éternellement. Puis elle s'avança vers moi en coupant la corde qui me pendait avec un couteau.

Mon corps se ramassa comme une crotte par terre. Elle me prit dans ces bras en me serrant comme la première fois.

Elle me ramena chez elle alors que la nuit aller tomber.

Le sapin de noël était installer, elle me fit une place a ca table. Elle s assise devant moi avec un feu de cheminé derrière elle.

Elle commença a me parler des notes en seconde et des camarades de classe (même si je n'avais pas vraiment d'amis a part elle). Elle vint m'essuyer la bouche de temps en temps.

Elle me prit, puis elle me m'emmena dans la salle de bain où un bain chaud était rempli au milieu de la pièce avec la fenêtre donnant sur la foret enneigé, avec ces rideaux de velours rouge.

Elle me mit dedans puis elle enleva ces vêtements me laissant contempler son splendide corps gracieux.

Ayuno rentra dans la baignoire et prit un gant de toilette pour me nettoyer le dos.

-Tu sais il faut que tu reste belle éternellement

Elle me saisit par le cou avec ces mains qui s'enroule autour de moi.

Elle commença à m'embrasser a pleine langue et avec insistance.

Puis elle vient embrasser mon œil droit, mais ce dernier fut aspirer par son baisé et atterrit dans son ventre.

Elle se recula pour me contempler, mais son expression changea

-Ne me regarde pas avec ce regard méprisant ! Je n'ai pas choisie d'être comme ça. J'ai tué mon père car je l'aimer .Pourquoi faut 'il que j'aime la mort dit moi ? je t'aime car je sais que je peu être bizarre au premier abord et que tu ma accepté .Pourquoi faut il que je vive et pas toi ? Je pars te rejoindre mon amour.

Elle saisit un couteau et elle se transperça le ventre avec insistance et répétition.

Elle lâcha un cri de plaisir long avant de s'écrouler sur mon corps, le couteau dans le ventre. Elle tenta de se relevé en s'agrippant au rideau de velours.

Mais ils tombèrent sur la baignoire. En glissant, elle s'enfonce encore plus le couteau qui lui ressort par le dos et lui sectionne ses nerfs.

Nous voila réunie, Moi et Ayuno et personne ne nous séparera, pas même la mort.

Les rideaux sont tombés et les horloges de la maison sonnent minuit.

Joyeux Noel Ayuno, mon amour. Je t'aimerai pour ce que tu es, avec tes vices, pour toujours.









FIN

Lemonade (Histoire d'amour YURI ^^)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant