Stresse de monstre

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Le stresse augmente au fur 
Et à mesure que les mots prennent place,
Il semble former un mur
Solide comme de la roche,
Froid comme de la glace.
On passe notre temps à le fuir
De peur que notre vie il puisse détruire,
quelle sensation désagréable,
A fleur de peau et tétanisé
Ces symptômes immuables.
Il faut faire de celui-ci un allier
Mais voici un processus particulier.
Se lier d'amitié avec le Diable
Avec un pacte inviolable,
Le moins du monde attirant.
Sans ça nous sommes à la merci de ce Satan.
Même dans le mauvais il y a du bon,
Il se peut que ce stresse
Un jour veuille vous dire pardon
Et vous permettre de rester en vie.
Je vous écrit que ce n'est pas un ennemie 
Malgré toutes les hésitations
Dans votre corps qui est aussi son habitation.

Esprit.

Pensées de mon brasier||PoésieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant