Sans savoir où je me trouve a mon réveil, je scrute le plafond cherchant milles et une raison pour t'oublier
Oui toi chagrin immense tu es, insatiable, sadique également.
Chaque réveil est lend, langoureux, stupide, jusqu'aux entrailles de ma passion éteinte j'en consume.
Aussi nombreux sont mes heures, aussi peinibles sont les fins de journées qui me mènent sous la couette.
Je me noie de tristesses, de pensées, et je m'endors les larmes pleins les paupières.
Pleurons nous aussi nous les hommes? Absolument que oui mais dans le noir pour paraître fort.
Alors je partirais fort , conquêrent, homme et fière de mes lendemains froids, seuls, et larmoyants .
VOUS LISEZ
ombres meurtrières
Poetryce recueil de poèmes résume l'amertume d'avoir une vie peinte en noire. surtout dans le cas d'une rupture amoureuse douloureuse.
