Histoires N°1: Ma liberté

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Je m'appelle Thomas je viens d'avoir 29 ans cette année et je suis enfin fier de quitter la maison familiale pour de bon je ne sais pas pour vous mais j'ai horreur de la foule je suis ce que l'on peut appeler un antisocial mais bon revenons au sujet principal,
Je parti de chez mes parents pour m'installer dans une maison isolée située au alentour de Bielefeld.
C'est une petite maison modeste seul éloigné des autres vous savez déjà pourquoi, à peine arrivé que le camion de déménagement arriva donc en même pas quatre heures que la maison était emménagé, enfin seul, enfin sans parents, enfin sans voisin, juste moi et moi seul .
Plusieurs jours sont passés et je n'avait pas mis un seul pied dans mon jardin donc un jour en fin d'après-midi je décida d'aller y faire un tour.
En marchant dans l'herbe un petit truc dans la terre attira mon attention je me suis penché pour ramasser l'objet,
C'est un vieux médaillon en bronze avec la lettre "C" au plein milieu, j'ai décidé de le mettre dans ma poche de prendre une grande inspiration et de rentrer.
Les jours passent et j'ai de plus souvent besoin de sortir a l'extérieur c'est bizarre mais j'ai comme l'impression que ma famille, ma famille me manque.
Sans hésitation je pris mon téléphone et je décide de les appeler mais pas de réponse j'appelle une deuxième fois, une troisième fois, une quatrième fois, personne ne répond.
Ma mère a sûrement du laisser son téléphone sur vibreur avec celui de mon père sa leurs arrivent souvent.
Finalement je repris mon calme et je me pose devant la télé la pluie se mit à tomber dehors, soudain mon téléphone sonne.
C'est ma mère ! Je me suis dépêché d'aller décrocher et j'ai heu l'impression de passer les deux meilleures heures de ma vie.
C'est à ce moment là que j'ai réalisé que contrairement à tout ce que j'ai pu penser j'aime ma famille.
Je suis assis sur le canapé, la télé éteinte sans un bruit, la pluie a cessé de tomber.
Il est temps d'aller dormir en Allant dans ma chambre je vis sur une commode ce petit médaillon que j'avais trouvé dans la terre je me suis allongé dans mon lit tout en l'observant.
Je commençais à sentir une pression désagréable j'ai froid malgré mon pull et mes couvertures, je me sens comme observé, je suis allé dans mon salon pour me faire un thé chaud mais sa ne changea rien.
-Mais qu'est-ce qu'il m'arrive ?
-Qu'est-ce qu'il ce passe ?
-j'ai peur.
En voulant retourner dans ma chambre la petite allé qui me permettait d'y accédé était noir je n'y voyait rien,
En essayant d'activer l'interrupteur le courant ce coupa.
-C'est un sketch ou quoi?
Mais en m'éloignant de l'allée la noirceur de la pièce commença à ce rependre et un bruit semblables à un millier de pas commençais à émerger de celle-ci.
Je sortie de la maison à toute vitesse je me mis à rejoindre la route en me retournant il n'y avait plus d'ombre noir mais les bruits de pas devenait de plus en plus fort, je courais sans arrêt mais le bruit devenait tellement fort qu'il me fessait mal au tympan. Finalement je vis les premières maisons de la ville, des gens étaient à l'extérieur comme si ils discutaient entre heux sans être dérangé par ce bruit qui pourtant pourrait faire perdre la tête.
-Aider moi je suis poursuivie !
En entendant mes mots les habitants se retournai vers moi et avec effroi je vis leurs têtes dépourvues de nez de yeux et d'oreilles seul leur bouche était présente je voulais faire demi-tour mais j'étais encerclé et heux tous ce sont mis à s'avancer vers moi en disant tous la même phrase "Dit son nom"
-son nom? Mais de qui?
"Dit son nom!!" Et ils se mirent tous à courir vers moi en hurlant pour finir par me frapper jusqu'à que je finisse par périr sous leurs coups mon corps fût trouvé vingt-neuf jour plus tard chez moi allongé dans mon lit remplis de bleu avec comme seul élément mes vêtements et ce médaillon dans ma main droite.

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