Sandwich à La Confiture.

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Je vais vous raconter mon histoire.

Je n'avais pourtant que 7 ans mais je tien à garder ces années la en mémoire pour l'éternité.

Ce fut au printemps de l'été de 1926, il faisait chaud et bon vivre, en ce matin la j'allais avec un pas bien engager faire pour la première fois le marcher, ma mère eu décider de me laisser y allez seule pour la première fois !Bien qu'avec évidement certaines restriction, c'est alors qu'avec ma petite robe au vent et mon canotier de paille que je me dirigea gaiement sur le sentier de la petite colline ou ma maison résidais,oui, car nous habitons bien loin de la ville tout de même ! Il faut, pour atteindre le marché, descendre de la colline, traverser le bois, le petit pont de brique blanc cassé qui surplombe la rivière qui dort paisiblement le long des collines et montagnes.

Innocente comme je le suis je ne savais que trop peu ce qui allais advenir de ma route vers le marcher.

Mes ballerines épousais le sol a chacun de mes pas, je courrais en regardants le ciel, souriant bêtement, j'apercevais au loin des oiseaux qui comme moi je le faisais, allais toujours plus loin,

ma mère m'a toujours conter des histoires, parlant d'enfants oiseux qui par le jour ce métamorphose en oiseux, et qui par la nuit devient un petit enfant; De géants des montagnes accompagné de leurs gros chiens ou de gnomes des collines, ma tête étais remplis de 1000 et unes histoires enchantées et merveilleuses, ce qui bien des fois à l'école me rapportais de bien mauvais surnom, comme « tête en l'air » ou « la rêveuse » , mais cela ne m'importais peu j'en que j'avais en moi ces contes de mille légendes et mondes merveilleux.

Je courrais sans plus m'arrêter,m'inventent des parcours de toutes sorte à travers branches et rocher sur le sentier de la forêt ou je poursuis mon chemin à présent, après ma petite course avec les enfants oiseux.

Le soleil avais déjà passer son zénith depuis bientôt une heure, je fis une courte pause près des rochers, mais pour moi ces simples rocher étais en fait les gnomes de pierres de la forêt qui ce transformais en pierre par peur des humains, comme dans les contes, je m'assis alors à côté de ce petit gnome.

Aillant un petit creux j'avais commencer d'entamer un sandwich à la confiture que, par bienveillance ma mère m'est déposer dans le panier pour quand j'allais sentir lafm faim grattouiller mon estomac, pendant cette route, mais alors que je commença de manger j'entendis des couinement plaintif, ou comme des gémissements de douleurs, on aurais dis un animal, je me dis alor sque c'était le méchant loups qui c'était fais avoir une fois de plus !

Mais comme j'avais toujours eu de la peine pour la fin tragique du loup dans le conte je décida de me lever, sandwich à la main me dirigeant vers la source de bruit.

Arriver vers le bruit je ne vis qu'un gros arbres immense serte mais rien de plus, Quand je décida de faire demi tour j'entendis à nouveau ses gémissements animal qui procura en moi une centaines de frissons qui me parcourras aussitôt la nuque,Alors, bien que méfiante, je m'approcha de l'arbre en question et remarqua, en y faisant le tour, un pauvre chien tout sale et tout amaigris, d'abord de peur de finir comme repas pour ce chien, je m'approcha en douceur, plus je m'approchais plus la peur m'accrocha le ventre, Alors je m'arrêta lorsqu'une goutte de confiture s'échoua sur le sol humide et feuillu à deux mètre à peine de ce chien,celui ci d'ailleurs retourna lentement sa tête les oreilles abattus sur sont crâne, à cette vision je su directement que ce chien ne me ferais aucun mal.

<< Vient ! Approche ! Si tu viens je te donne tout mon sandwich ! C'est ma maman qui la fait ! >>

j'agitais un peu le sandwich pour lui montrer sa « récompense » et doucement le chien s'approcha en vacillant légèrement.

Il était bien mal en point et cela me chagrinais beaucoup.

En s'approchant le chient me fixais de ses grands yeux bleu, ont aurait pu y voir toute la tristesse du monde rien qu'à travers ses yeux de poupées.

Arrivé vers moi je déposa le sandwich devant lui, tout d'abord il plaça sa truffe sur celui ci et renifla quelque instant avant de commencer doucement à engloutir son petit repas.

pendant qu'il mangeait j'avança avec prudence ma main sur le crâne du chien, puis la déposa sur son pelage blond et blanc, malgré son état il étais tout doux, je le vis remuer un peu la queue alors que je le caressais, sentant qu'il aimais cela je me mise accroupie pour mieux lui papouiller la tête et le coup.

C'est lorsque je lui caressais le coup que je sentis quelque chose de dur, de sec et de tresser, c'étais une corde, le chien étais attacher à ce gros arbres, je cherchais frénétiquement l'endroit du nœud mais sans succès.

<< écoute, je dois allez au marché, ce n'est plus très loin d'ici, je reviendrais te libéré après d'accord ? Mais pour ça il va falloir que tu reste sage car je vais devoir piquer le gros ciseau de jardin de mon papa ! Je t'apporterais d'autres choses à manger si tu reste bien sage d'accord ? à tout à l'heure gros chien ! >>

Je courue aussi vite qu'il m'étais capable de courir, récupérant au passage mon panier.

Arriver au marché je courue jusqu'à l'épicerie de Madame Sumiya, c'est une très belle dames qui a les yeux pas comme tout le monde, comme les samouraïs des livres !

Je débarqua dans l'épicerie avec fracas.

<< Ho ! Émilie ? tu es venues sans ta maman aujourd'hui ? >>

<< Oui Susu ! Mais aujourd'hui j'ai une mission des plus importante ! >> repliqua la jeune fille.

<< Hm ? >>

<< Je dois faire les courses et sauver un Gros chien de géant des montagnes !! >> dit elle determiner.

<< Haha je vois, je vois, et si tu me donnais la liste pour que je te prépare ta commande ? >>

<< Oui susu ! tiens la voilà ! >>

je lui tendis le petit morceau de papier chiffonner, il ne me fallu que 5 minutes d'attente pour récupéré les courses de Maman.

<< Je t'ai mis un sandwich au jambon pour le retour, cadeau de la maison !>>

elle accompagna ses paroles d'un clin d'œil.

<< Merci Susu t'es la meilleure !!>>

je lui claqua un baiser sur la joue avant de repartir aussi vite que j'étais venue.

Je traversa la ville, le petit pont, le sentier de la forêt puis la colline sans m'arrêter même si le panier, bien qu'il sois très peu charger, ralentissais ma course, mais une fois arriver je déposa à la va vite le panier dans la cuisine puis courue jusqu'au jardin piquer ce que mon papa appel "cisaille" puis en faisant plus attention je pris de nouveau un petit panier en y mettant le sandwich, une tranche de rôtis froid de la veille et une grande bouteille d'eau en verre ainsi que la cisaille, puis je redémarra ma course à travers champs et collines jusqu'à la forêt.


















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Bonjour !!
Comme vous le voyez je le suis lancer dans l'écriture d'une histoire et non pas d'une fanfiction haha.

Je l'ai imaginé en écoutant une playlist Ghibli haha

La veille j'avais regarder Ponyo sur la falaise donc c'est aussi un peu de ça qui a débuté cet histoire ou plutôt " la personnalité " généreuse et innocente de Ponyo haha

J'espère que cet histoire vous plaira autant qu'elle me plaît a moi !

Au revoir !!

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Émilie et Igor Où les histoires vivent. Découvrez maintenant