Dans mon rêve, je quête
De me serrer contre ton beau corps
Qui me vient en tête
Dès que je vois un orTa scintillante poitrine
Fait vibrer mon cœur
Où se sont percées des épines
Laissées par un durable malheurÀ travers ton portrait vestimentaire
Je quête une infinitude fidélité
En te voyant, je prends ton air
Juste pour désabonner mes incapacitésLorsque je vois ton sourire
Réapparaît ma fierté
J’ouvre grand mes dents et éclate un fou rire
Parce que tu es ma bien-aimée entitéMa vie va peut-être perdurer très longtemps
Vu que tu me fournis du courage
En me donnant ton précieux temps
La plus grande plaie, tu l’as entourée un doux bondageTu as anéanti la déveine
Qui m’est survenue par surprise
En me laissant tant de peines
Mais, tu as dévoré ses bêtisesCelui-ci n’est qu’un rêve
Qui, hier soir m’a toqué la porte
Au moment où dormait ma trève
Ce songe m’a nommé GaYdh le docteCelui-ci n’est qu’un songe
Qui, hier soir m’a téléphoné
Alors que mon natel était éteint et mis en toge
Et une précieuse minute a sonné
VOUS LISEZ
L'amour sans cesse ( version 2 )
PoetryCe recueil est la suite de l'ensemble de chroniques poétiques intitulé l'amour sans cesse.