#Scène2: Premier jour au lycée.
(Francis s'approche de Krist qui n'arrête pas de les regarder).
Francis : eh, c'est quoi ton nom ?
Krist : Krist.
Francis : écoute moi bien Krist, la fille que tu regardes, c'est ma copine. Si tu ne veux pas de problème, reste bien loin d'elle.
Krist : as-tu l'intention de l'épouser ou tu veux juste passer du bon temps avec elle, genre coucher avec elle ?
Francis : en quoi cela te regarde ?
Krist : parce que moi je veux l'épouser.
Francis (rire): l'épouser, avec quoi ?
Krist : tu crois que je suis à l'école pour continuer à être pauvre ?
Francis (rire): Tu penses vraiment que tu signifies quelque chose pour elle et qu'elle pourrait t'accorder la moindre importance ?
Krist : pourquoi toutes ces questions, tu veux l'épouser ou pas ?
Francis : mêles-toi de ce qui te regarde.
Krist : c'est ça, tu veux seulement coucher avec elle n'est-ce-pas ? En réalité tu ne l'aimes pas et si tu es encore avec elle, c'est parce qu'elle ne t'a pas encore donné son corps, je me trompe ?
(Ce qu'il venait de dire rend Francis furieux et il le prend par les colles).
Krist : le fait que tu sois en colère prouve que j'ai raison.
(Il jette Krist par terre).
Isabelle : qu'est-ce que tu fais chéri ?
Francis : il t'a insulté bébé et je ne peux pas accepter cela.
Isabelle : ne te ridiculise pas de la sorte chéri. Laisse-le et allons-y.
Francis : tu as de la chance.
Krist : si elle connaissait tes intentions, elle ne t'ouvrirait jamais ses jambes. Ce n'est pas bien de jouer avec les sentiments d'une fille qui t'aime sincèrement.
Francis : ta gueule.
(Francis le laisse et s'en va avec Isabelle à la cantine pour manger. Krist se lève et se nettoie avec son mouchoir puis il s'assoit. Comme il n'a pas voulu sortir, Emma revient avec quelque chose à manger pour lui. Il le remercia pour cela. À la fin de la pause, tous les élèves regagnent leurs salles de classes. Deux autres profs sont passés et ce fut la fin de l'heure).
Emma : on rentre ensemble ?
Krist : non vas-y, je vais d'abord passer voir le prof de philo.
Emma : d'accord, à demain alors.
Krist : oui, bon après-midi.
(Emma s'en va et Krist s'approche d'Isabelle et Marianna).
Krist : bonjour les princesses du lycée.
Marianna : bonjour Krist.
Krist : Isabelle, je tiens à ce que tu saches que pendant la pause, je ne t'ai pas insulté. Il n'y a rien sur toi que je pourrais insulter. Tu n'es qu'une pure prodige de la nature et je ne vois pas en toi un défaut physique.
(Isabelle souriait intérieurement de ses paroles de Krist elle essaie de lui cacher sa joie).
Isabelle : alors pourquoi il a dit que tu m'as insulté ?
Francis : je lui ai simplement dit quelque chose qui l'a choqué.
Isabelle : ok, pas de problème.
Krist : alors on fait la paix ?
(Ils se serrent la main).
Krist : tu as les mains si douce qu'au touché, un courant humide me traverse le corps jusqu'à mon cœur dont le son des battements résonnent Isabelle, Isabelle, Isabelle.
(Elle éclate de rire).
Isabelle : t'es sérieux là ?
Krist : bien sûr, tu peux poser ta main sur ma poitrine si tu veux l'entendre.
Isabelle (sourire) : ok.
(Elle souriait et Krist tient sa main pour la poser sur sa poitrine).
Krist : tu l'entends, tu entends mon cœur appeller ton prénom ?
(C'est là que Francis arrive et le tient encore par les colles).
Francis : je t'ai dit de rester loin de mon amour.
Isabelle : Francis, pourquoi tu me dévalorise de la sorte, tu crois qu'un minable comme lui peut sortir avec moi ?
(Il le jette à terre et s'approche d'elle).
Francis : je suis désolé chérie, c'est juste que je t'aime tellement que je ne supporte pas de voir quelqu'un d'autre avec toi.
Isabelle : moi aussi je t'aime et tu le sais. Je ne suis pas ces genres de filles qui courent de gauche à droite alors fais-moi confiance.
Francis : excuse-moi bébé.
Isabelle : ok, c'est bon.
(Ainsi, ils sortent de la classe pour rejoindre leur chauffeur et rentrer. Marianna marche à côté d'eux. Krist sort et va dans le bureau du prof de philo, il toque et entre).
Prof : Krist, assieds-toi.
Krist : non, ce n'est pas nécessaire.
Prof : tu vois bien que j'ai retenu ton nom n'est-ce-pas ?
Krist : monsieur, je tiens à m'excuser pour tout à l'heure. Je n'aurai pas dû me comporter comme ça avec vous, je suis désolé.
(Le prof était surpris par cette attitude de Krist. Jamais un élève lui a fait des excuses peu importe le tort que l'élève lui a causé. Alors il trouve cette attitude de Krist très respectueuse).
Prof : assieds-toi s'il te plaît.
(Il s'assoit).
Prof : j'accepte tes excuses Krist.
Krist : merci monsieur.
Prof : j'aime les élèves comme toi, je sens qu'on va bien s'entendre.
Krist : merci monsieur, j'ai le cœur soulagé.
Prof : tu peux disposer.
(Krist se lève et rentre chez lui avec un clando. Entre temps, dans la voiture vers la maison, Isabelle et Marianna discutent).
Marianna : j'ai vu comment tu souriais et riaient quand Krist te parlais, ne me dis pas qu'il ne te fait aucun effet ?
Isabelle : lui ne me fait aucun effet. Ce sont les mots qu'il prononça et la manière dont il les prononçait qui m'ont fait d'effets. Francis ne m'a jamais fait d'aussi doux compliments.
Marianna : c'est ça, tu parles. Maintenant ce sont ses mots, après ça sera lui et enfin ça sera vous d'eux.
Isabelle : arrête de dire du n'importe quoi. Tu t'imagines des choses impossible ma chérie. Comment tu peux me voir sortir avec lui, tu m'as bien regardé ?
Marianna : l'amour peut te surprendre ma chérie et il n'y a rien d'impossible en amour.
Isabelle : même pas en rêve.
(Elles constituent de discuter jusqu'à la maison).
*Chez David.
(Krist rentre à la maison et retrouve son père au salon).
Krist : bonjour papa.
David : bonjour fiston. Ça été le premier jour ?
Krist : pas trop mal. Je crois que je vais vite m'adapter.
David : tu sais pourquoi je t'ai inscrit dans ce lycée ?
Krist : non papa.
David : c'est pour que tu montres à ces petits enfants de riches arrogants que l'intelligence ou la réussite ne vient pas de la richesse mais de Dieu.
Krist : je compte bien leur donner cette leçon papa et d'ailleurs, le seul moyen de me démarquer d'eux, c'est de réussir brillamment.
David : exactement mon fils. Aller, va te changer et vient. On va manger.
Krist : d'accord papa.
(Krist va se changer et rejoint son père pour manger. Après le repas, il prend une douche et va en salle de sport pour s'entraîner et suivre sa formation en taikondo. Quant à son père, il va donner des cours à la maison à un enfant de riche. Demain matin, David dépose son fils à l'école. Krist attend au portail Isabelle et Marianna. Leur chauffeur les dépose et Krist les rejoint. Ils marchent tous les trois vers la classe).
Krist : Bonjour les princesses.
Marianna : bonjour Krist.
Krist : qu'est-ce que vous êtes belle !
Marianna : merci, c'est gentil.
Krist : princesse, mon compliment te déplaît ?
Isabelle: exactement.
Marianna : Tu es de bonne humeur ce matin Krist ?
Krist : tout à fait. Quand je vois Isabelle, je suis toujours de bonne humeur. Chérie, tu n'as pas rêvé de moi cette nuit ?
Isabelle : non, et je ne suis pas ta chérie.
Krist : c'est dommage parce que moi j'ai fait un super rêve. Tu veux que je te raconte ?
Isabelle : non ça ne m'intéresse pas.
Krist : d'accord mais je vais quand-même te le raconter. Alors, toi et moi allons nous marier.
Isabelle : je n'ai pas envie d'entendre la suite.
Krist : laisse-moi finir s'il te plaît. J'étais disant que toi et moi allons nous marier, ma famille était là et la tienne aussi ainsi que nos amis. Ton père t'a conduit jusqu'à moi et on a marché ensemble jusque devant le maire. On a échangé nos vœux et le maire a scellé notre union. Pour notre lune de miel, on a décidé d'aller à Hawaii et ton père a tout arrangé pour nous. On était donc parti à Hawaii, on a profité de la plage, on s'est amusé comme des fous, je t'assure que c'était vraiment merveilleux. Je n'avais même pas envie de me réveiller mais mon père m'a réveillé au moment où on était rentré et qu'on a appris que dans ton ventre naissait une vie. Alors comment tu trouves mon rêve ?
Isabelle : pathétique.
Marianna : ton rêve est vraiment fantastique Krist. Moi je ne pense pas que ce soit un simple rêve mais plutôt une vision de ce qui arrivera que tu as eu.
Krist : exactement Marie, dis-moi que tu apprécies mon rêve et que tu y crois Isabelle.
Isabelle : n'importe quoi.
Krist : je peux avoir ton numéro princesse ?
Isabelle : non.
Krist : ce ne pas grave. Je te verrai ici tous les jours, c'est largement suffisant pour moi. Je voulais ton numéro juste pour te chanter une chanson d'amour pour te souhaiter bonne nuit.
Isabelle : c'est exactement pour cela que je ne veux pas te le donner, pour ne pas que tu perturbes mes nuits.
Krist : d'accord, ce n'est pas grave.
(Ils vont en classe et après, Francis arrive. Quand Krist l'a vu, il regagne sa place. Un mois plus tard, Krist décide d'envoyer une lettre d'amour à Isabelle).