« L'homme de la situation »
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- Mais roule plus vie !
Terence - Arrête de m'crier dessus fout tonè ! Ça fait 5 fois que tu me répète de rouler plus vite, 5 fois que je roule encore plus vite qu'au départ. (putain de merde)
*C'est du créole haïtien,
j'ai pas su trouvédu créole guadeloupéen so.Je soupire en posant ma tête sur la vitre.
Le trajet jusque chez Carlos se termina dans une atmosphère très très pesante,
et c'était bien mieux comme ça.
Terence s'est garé. À travers la vitre je pouvais voir qu'il y avait près de 5 policiers devant le bâtiment.
J'ouvre la portière et sors du véhicule.
Terence - La porte !
Sa réflexion entra d'une oreille et ressorti d'une autre. Je serre mon foulard un peu plus fort contre mon torse avant d'accélérer le pas vers le bâtiment.
Policier - Désolé madame mais vous ne pouvez pas entrer à l'intérieur.
- C'est ma fille qui en danger là.
Policier - Patientez comme tout le monde, elle ne tardera pas à arriver avec le commandant et les autres policiers.
- Je dois la voir impérativement, je suis sa mère. Est-ce que vous comprenez cela ?!
Policier - Je vous-
Un autre policier s'est avancé vers nous, peut-être qu'il nous a vu nous "chamailler" au loin.
... - Laisse-la passer.
Et j'ai reconnu sa voix.
Policier - Mais le commandant nous a donné l'ordre de laisser passer personne.
Earvin - C'est la mère de la petite, vas-y passe.
- ...merci.
J'ai esquissé un petit sourire en guise de réponse, sourire qu'il ne m'a pas du tout rendu en retour.
Il a ouvert la porte du bâtiment et je suis entrée.
Earvin - Son appartement est au fond du couloir.
J'ai approuvé en hochant la tête avant de suivre son instruction.
La porte de son domicile était grandement ouverte.
J'ai fait mon entrée l'appartement et jusque dans le salon dans le plus grand des calme.
Manuella - Dieu merci, tu es venue. J'ai réussi à joindre la police que tu ne viennes.
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«Devrais-je mériter une seconde chance ?»
General FictionToutes erreurs sont-elles bonnes à pardonner ? Terminée.