Le cœur a des maux,
Il ne comprend le cerveau
Ce dernier, fort et gros,
N'admet du cœur le beau ;
Toujours aussi faraud,
Déclare être le plus haut
Afin que le cœur, en robot,
Le suive même dans le fauxReviens au corps de trancher cette affaire banale
De prendre une décision, de faire un choix loyal
Décision qui fut pour le cerveau comme fatales
Car le corps, sans hésiter à choisit son rivalAinsi, le cerveau, l'orgueil au repos,
Laisse couler des larmes sur sa peau
Alors, le cœur exerça son talent d'héro ;
Consola le cerveau en lui adressant de tendres mots
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Mes poèmes bien-aimés
PoetryBonsoir, à tous. Je suis un adolescent de 16 ans qui débute dans les poèmes. Alors je vous prie d'encourager mes débuts et de m'apprendre d'avantage cet univers.