— la peau moite
à force tenir le bonheur
un corps lourd de représailles
nos entrailles sont broyées
par la chaleurnos corps se perdent dans des draps
laissant une tache de sueur
sur leur blancheur
sauvagenos cris affrontant le silence
ton prénom file dans la nuit
l'été est brûlant et torride
les corps chahutent
dans la légère brise
de la nuitpeau moite couverte d'amour fendu
et de son fruit si défendu —
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abeilles
Poetrycomme un cœur qui bourdonne près de mes oreilles | juin deux mille vingt |