Chapitre 13

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  Vous savez, ce sentiment d'être protégée coûte que coûte, être aimée, qu'on vous dise "ça va aller, je suis là pour toi". En ce moment même c'était lui cette personne, c'était hiroto. J'avais oublié à quel point il pouvais lire en moi, je ne peux rien lui cacher. J'étais juste là à pleurer dans ses bras, lui essayant de me rassurer alors qu'il ne savais même pas pourquoi j'étais dans cet état. Mais même sans rien savoir, je sais qu'il me protègera toujours. Il avais réussi à savoir que j'étais au plus mal, donc il m'a tout de suite dit de passer chez lui le soir même.

Hiroto : Kilari ? Dis moi ce qui s'est passé.

Lui dire ? J'en mourrais d'envie. Mais pouvoir lui dire, c'était autre chose. Je ne peux pas, mais le connaissant il fera tout pour savoir. Et le jour où il le saura, il fera tout pour me protéger même si il doit mettre sa vie en péril.

Kilari : Je suis désolée hiroto, mais je ne peux pas.

J'avais prononcé cette phrase avant de fondre à nouveau en larmes. C'était horrible, il était là à me protéger, me dire que tout ira bien et moi je n'étais même pas capable de tout lui dire.

Hiroto : Tu sais kila, tu peux tout me dire. Je ne sais pas ce qui t'a mise dans cet état, et encore moins la raison pour laquelle tu ne veux rien dire, mais ça me fait mal de te voir comme ça, et tu le sais. Peu importe ce que tu as je veux pouvoir t'aider, comme je l'ai toujours fait. Alors dis-moi ...

Je fondais littéralement à chaque fois qu'il m'appelais "kila" même si c'était rare. Il étais si adorable ... Non je ne pouvais pas lui cacher, je voulais pas qu'il m'en veuille à cause de ça, même si c'était pour le protéger, lui et les autres.

Kilari : Aiko, c'est lui qui m'a agressée ce soir là.

                             ****                              

  Le tournage du film arrivais à grands pas. Et je me sentais beaucoup mieux depuis que je m'étais confiée à hiroto. Il m'avais promis de ne rien dire à personne, que ce serais notre secret à tout les deux. Chaque jour il étais là pour moi, il m'aidais à aller mieux ... Ce qui me faisais encore plus tomber amoureuse de lui.
Aujourd'hui je devais m'entrainer encore et encore pour ma tournée, malgré que je soit épuisée je devais être absolument prête avant le tournage.
Au bout de plusieurs heures d'acharnement je pris une pause afin de me reposer un peu ou mes jambes allaient me lâcher.
Je m'assis sur le sol quand j'entendis la porte s'ouvrir.

Hiroto : Livreur de boissons !

Kilari : hiroto !

J'affichais un grand sourire à la vue de celui-ci. C'est fou comment il pouvais me remonter le moral en toutes circonstances.
Il vint s'assoir à mes côtés, me souriant à son tour en me tendant une boisson.

Hiroto : Alors, pas trop dur ces entrainements ? Tu tiens le coup ?

Kilari : Oui, enfin j'essaye. C'est difficile de tenir le coup surtout en ce moment. Il faut dire que si il y avait pas tout ces problèmes, ce serais tellement plus simple.

Hiroto : Tout ira bien je te le promets. On s'en sortira, et il te fera rien si je suis là.

Kilari : Hiro ...

Attendrie par ses paroles, je posa ma tête sur son épaule. Nous sommes restés comme ça pendant de longues minutes. C'était si rassurant, de se sentir protégée par le garçon qu'on aime envers et contre tout.

                             ****                                   

  La sonnerie retentit, annonçant ( enfin ) la fin du cours. Et j'étais encore plus pressée de partir en voyant aiko s'approcher de moi. Je vit hiroto au loin qui le regardais d'un sale oeil.
Évidement qu'à ce moment là j'avais peur, très peur.

Aiko : Kilari ? Rejoins moi à 20h dans le parc.

Il est parti aussi vite qu'il est venu. Décidément, il n'est pas prêt de me lâcher celui-là.

Hiroto : Dis, tu ne compte quand même pas y aller ?

Kilari : je n'ai malheureusement pas le choix hiroto ...

Hiroto : Dans ce cas je viendrais avec toi. C'est beaucoup trop dangereux et je ne veux pas qu'il t'arrive quoique ce soit.

Est ce que c'était suicidaire ? Oui. Est ce que j'avais le choix ? Non. Donc je devais seulement obéir aux ordres de Aiko ou sinon il me pourrirais la vie. En quelques sortes, j'étais son pantin, son jouet. Il pouvais faire ce qu'il voulais de moi même si ça ne me plaisais pas.

  Il était environ 19h, j'avais passé la soirée chez hiroto pour qu'on puisse réfléchir à comment s'y prendre pour ne pas se mettre en danger. On avais entièrement conscience que ce qu'on faisait était plus que suicidaire mais je me disais que si hiroto serais là ça ne pouvais que bien se passer.

Hiroto : Toi tu ira, moi je me cacherais. Si il se passe quoique ce soit je pourrais intervenir.

Kilari : hiroto ?

Hiroto : Oui ?

Kilari : pourquoi on appelle pas la police ? Ça irai plus vite non ?

Hiroto : T'es folle ou quoi ? Il est maintenant connu dans tout le pays et, d'après mes recherches sur lui, il est issue d'une famille riche. On pourra avoir toute les preuves possibles, il saura comment les détourner, crois moi.

Il avais raison, ce Aiko était plus intelligent qu'on ne le pensais. On était complètement pris au piège et le seul moyen de se sortir de là étais de rester discrets.

Kilari : Tu crois qu'on va s'en sortir ?

Il prit ma main et la serra.

Hiroto : Je te le promets, kilari.







Félicitez moi pour une fois mon chapitre est plus long que les autres héhé.
Bon là on est a fond dans la cutitude kila×hiro, il se rapprochent de plus en plus ces deux là x)
Brefouille je vous kiss, a la prochaine ✨

 

kilari ~ La Suite Où les histoires vivent. Découvrez maintenant