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Non relu

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L'ambiance était fade,vide gênant.

Il était là à mes côtés en face de Baekhyun qui je devinais lui faisait du pied sous la table,mes parents étaient aux bout de celle-ci et ce Park Chanyeol était face à moi mal à l'aise.

Il était grand et il était plutôt mignon mais pas assez pour m'empêcher de vouloir mon beau voisin.

C'était un joueur de basket, le capitaine de l'équipe plus précisément, Baekhyun l'avait invité au dîner pendant le cours de sport me disant que lui,ce géant, était une proie de haute taille.

Je me souviens que Chanyeol m'avait avoué qu'il avait un faible pour mon frère et pour la première fois j'avais sourit à quelqu'un d'autre que Jungkook, avec cet information j'avais accrus en mains les pièces du puzzle et j'étais prêt à tout pour les assemblée.

Alors j'avais fait un marché avec lui, faire en sorte que Baekhyun tombe sous son charme et laisse mon Jungkook tranquille.

Je devais juste occuper mon beau noiraud le temps que Chanyeol échangeait son numéro avec Baekhyun.

Ce gars là, je l'aimais bien.

"-Alors dîtes nous Jeongguk que venez vous faire dans le quartier ?

- Je viens de Busan et là-bas nous n'avons pas vraiment d'équipe de basket,j'ai fait mes recherches et me voilà ici après avoir été embauché par le lycée de Bexostay où j'enseigne. En clair je suis ici pour le travail."

J'admirais tellement sa voix, cet intonation qu'elle avait et se petit accent en fin de phrases qui était parfois plus prononcée dans ses paroles.

"- Je vois, Busan n'a pas été trop dure à quitter ?

-  Oh vous savez un peu de changement ne fait pas trop de mal alors non cela ne m'a pas vraiment affecté. "

Je ne mangeais même plus et l'écouter attentivement même si son regard était diriger vers mon père il me lançait quelques fois des coups d'oeil qui me faisaient sourire timidement.

Il avait cet mani de toujours tenir quelques choses en main lorsqu'il parlait, et ce soir il s'avère que cet chose avait été ma cuisse qu'il caressé légèrement et je me sentais envahir de joie.

Jeon Jeongguk était ma faiblesse,une faiblesse que je chérissait à en mourir.

Je l'aimais, plus que tout.

Et j'étais capable de tout pour que cela soit réciproque.

Parceque je l'aimais.

Parcequ'il me faisait vivre.

Parceque c'était pour lui.

Pour lui et pour mon cœur vide.

Sharing | KookvOù les histoires vivent. Découvrez maintenant