••••Sirap...25 juillet 1937••••
°°23h:38min°°
Somnambule !
C'est la seul explication. Sinon, comment expliquer sa présence en pyjama hors de chez lui et à une heure aussi tardive pour cette sombre ère ?
Elle etait bien majestueuse cette pleine lune. Bien perchée dans ce ciel dégagé et étoilé. Néanmoins, Hugo ne se sentait pas à sont aise. Après tout, quoi de plus étrange que de se retrouver tout seul dans une ruelle sombre alors qu'à l'instant précédent on était vautré bien au chaud dans ses appartements, et cela sur un lit douillet. ''Une ruelle sombre ''?
Voilà ! C'est là sûrement la cause de son malaise. Mis à part un piteux lampadaire à proximité éclairant un minuscule périmètre de moins d'un mètre, toute la zone contrairement à l'habitude etait plongé dans un black-out. Et puis les sentinelles ne semblaient pas de patrouille se soir. Pourquoi cela ? SIRAP était certe à présent une forteresse bien protégé mais cela n'empêchait tout de même pas l'infiltration de quelque 3 voire 5 déchus par mois. C'est sur cette anomalie que s'attardait les neurones d'Hugo quand subitement un hurlement.---- 23h:46min ----
Ce cris ! Etait-il implorant ou sauvage ? N'était-ce plutôt pas celui d'un porc qu'on égorge ?... Qu'on vide de son sang ?
Il l'avait entendu. À première analyse, ce cris ne provenait pas de bien loin et voilà qu'il recommençait à y avoir du mouvement autour de lui. Pourtant il se serait juré tout seul il y avait moins d'une minute. Mais que ce passait il ? Ces gens n'avaient ils pas entendu cet hurlement ?. Ou était-il peut être le seul à avoir rêver un si court lap de temps ? Non c'était pas un rêve. Cette étrange sensation, et l'anormal accélération de son poul est alarmant. De plus, tout s'embrouillait en lui si tant qu'il en avait le vertige. Qu'il y'a t'il de si bizzard dans un cris ,une nuit de pleine lune, dans une période comme celle ci, et bon Dieu que fichait-il dehors ? Ce cris était réel, donc cela sous-entendait l'infiltration une fois de plus d'un déchu. Le protocole exigeait dans se cas, quelque soit leur nombre ou leurs classement qu'ont avertisâmes la base afin que l'alarme soit sonnée et des mesures de sécurités prisent à temps. Mais cette fichue base se trouvait à des lieux vers l'ouest, et l'impression d'être le seul à avoir perçu la plainte compliquait la besogne.---- 23h:52 min ----
<< Et si j'allais plutôt moi même vérifier au lieu de me plonger dans d'inutile film ? >> s'entendait-il murmurer.
Mais qu'est ce que...?!
Minute... À quel moment avait-il pris le chemin ?
Il suait de partout et se sentait essoufflé comme s'il avait couru des kilomètres. De même à quelque pas de lui , une ruelle où se dessinait une frontière mi-lumière mi-obscuriter. Un cocher claquant son fouet à l'autre bout de la rue le dévisageait d'un air suspect . Il n'y prêtat pas attention et décidait de s'engager dans cette allée.
---- 23h:56min ----
Il pénétrat l'allée à pas lents frissant la prudence quand soudain...SPLASH !!!
Une flaque d'eau. Il avait marcher dans une flaque d'eau et sursauter comme le dernier des imbéciles. À ce moment, les rayons lunaires s'étendirent jusqu'à lui éclairant de ce fait ses pieds. C'est alors qu'Hugo remarquat que cette sencée flaque d'eau était ''Rouge''.
Rouge comme du bon vin... Non plutôt comme du sang frais. Tellement rouge et claire que la lune et même lui s'y reflétaient. Il s'accroupit, et de son index trempat dans le liquide .
Rien à y faire. C'était bel et bien du sang frais.
C'est à ce moment qu'hugo senti la puissance ; la malveillance et l'énormiter du *Mana qui subitement l'encerclait lui empêchant ainsi toute possibilité de retraite. Il le savait. Ce truc ou cette chose était tout sauf humaine. Il le savait bien avant de s'engager dans cette ruelle puant la mort. Pourquoi s'était-il engagé ? Et d'abord que fichait-il hors de chez lui ??? .
Coupant court aux lamentations tardives, terrifié et pétrifié, lentement de ses yeux verts d'emraude ,les levat vers le reste de l'allée déjà totalement couverte par la lumière lunaire. Et ce qu'il y vit ; ce qui s'y passat ensuite nul ne le saura puisque Hugo-peter VINANCE ne réapparaîtra jamais... Plus jamais.
Cela aussi il l'avait su d'avance et dans un dernier rire sonnant faux il se demandait:<< Irais-je au paradis ? Sûrement wesh, car j'ai déjà vue l'enfer sur cette terre , nan j'ai déjà FAI mon temps d'enfer, j'ai... >>
•••• SIRAP...25 juillet 1937••••
°° 00h:01min°°
