MY SWEET GUM

Chapter 2

- Ran tu veux bien être mon amoureuse ? 

Pffff c'est pathétique 

- T'es bête ou quoi qu'est ce que je vais faire d'un enfant de 8 ans

Il sanglote:

- Mais... tu as le même ages que moi

Je soupire bruyamment

- T'es vraiment horrible Ran continue comme ça et tu restera seul toute ta vie ; me dit-il en pleurant à chaude larme

- Et qui te dit que je n'aime pas rester seul 

Je me réveille en sursaut. Mais qu'est ce qui m'arrive putain, cet "événement" s'est produit il y a plus de 15 ans pourquoi en rêver seulement maintenant ? Enfin bref, mon subconscient me joue surement des tours. 

Je sort du lit puis vérifie l'heure sur mon téléphone. Léolio m'a envoyé une adresse et une heure. RDV 11H !!!! Oulalala je suis en retard. J'attrape la robe que j'avais choisit la veille, l'enfile, passe mes doigts dans mes cheveux, applique mon mascara puis une fine couche de gloss, ensuite je file au toilette (ma vessie était à deux doigts d'exploser) et enfin je brosse mes dents. 

Avant de sortir je check ma tenu dans le miroir. Une longue robe en satin noir pas trop près du corps,  de longues boucles d'oreilles en argent pour habiller mon buste assez peu couvert, des talons verni qui me rajoute quelque centimètres et enfin mes indispensables lunettes de soleil. C'est parfait.

Ellipse du trajet 

Après quelque minute de recherche je trouve enfin une place de parking, tous les hunter se déplace en voiture ou quoi. 

Je sort de la voiture et rejoint Léolio qui m'attend à l'entré du cimetière, il me dévisage puis s'offusque:

- MAIS C'EST UN ENTERREMENT, PAS UN GALA

- TU PEUX PAS JUSTE ME DIRE "WAW QU'EST CE QUE T'ES BELLE PÉTASSE" orh quel rabat-joie 

Il me regarde avec amusement puis rentre dans le cimetière. Je le suis sans un mot. 

Depuis notre entrée dans ce lieu sacré  je sent de plus en plus d'aura intéressante. Certaines sont emplie de haines d'autres de doute ou bien encore de passion, mais deux d'entre elle attise ma curiosité, la première ne dégage aucune émotion et la deuxième comporte des failles. 

Ce que j'appel des failles sont en fait des vides, elle caractérise des personnes ayant une personnalité excentrique et qui ne s'identifie pas à la société qui l'entoure. C'est une aura incomplète. 

Une fois arrivé sur le lieu de rendez vous, je remarque immédiatement Kirua, je fait mine de ne pas l'avoir vu. 

Pendant le discourt du prêtre (que j'écoute d'une oreille distraite), je sens un regard brûlant sur ma nuque, je me retourne mais je ne vois personne qui pourrait en être l'expéditeur. C'est alors que je sent à nouveau ce regard, posé cette fois à la naissance de me sein. Amusé par la situation j'esquisse alors un sourire tout en jouant avec le col fluide de ma robe. Au plus grand plaisir de mon observateur. 

PDV ???

Elle a remarqué que je la regardais, cela ne semble pas l'intimider et encore moins la gêner. Mais comment m'empêcher de contempler ses courbes subtilement camouflé par ce fin tissu. D'ailleurs je ne suis pas le seul à l'avoir repéré, plusieurs personnes la dévisage. En tous les cas il est clair que cette enterrement ne la touche pas le moins du monde, et elle se fait un plaisir de le montrer.

 Un sourire malsain me monte aux lèvres. 

Ce que j'arrive à voir derrière cette plastique si attirante, m'interpelle. Je perçoit un potentiel unique, une force que je n'avais jamais rencontré auparavant, d'un tout autre type. 

C'est si beau que j'en jouis de plaisiiiiiiiir.

PDV RAN

Le religieux achève enfin son prêche puis nous regarde Léolio et moi. Un silence pesant s'installe.  Je suis sensé faire quelque chose là. 

Pour mon plus grand soulagement Léolio réagit:

- Moi et ma sœur n'avons rien a ajouter.

Ow il s'attendait surement à un discours remplit de larmes, désolé de te décevoir papi. 

Une fois les formalités réglé Léolio se dirige vers Kirua qui parle avec un petit bonhomme tout de vert vêtu. Je le suis et une fois arrivé à leurs hauteurs mon cher frère commence les présentions:

L- Gon voici ma sœur Ran, Ran voici Gon un de mes précieux ami.Kirua je t'épargne ces politesses. 

Tandis que ce dernier me fusillait du regard, Gon s'exclama:

G- Léolio tu m'avais pas dit que t'avais une sœur aussi belle !!

Mais c'est qui ce gosse 

L- Haha je t'en prit, continue d'ignorer son existence

Je préfère ignorer cette discussion inutiles, je suis pas venu pour faire du baby-sitting moi.

Moi- Bon Kirua j'irais droit au but, où est ton grand frère ?

K- Lequel ?

Moi- Tu sais pertinemment de qui je parle 

K- Non  

J'enlève mes lunettes de soleils et plonge mon regard dans celui de l'enfant, 

Moi- Ne m'oblige pas Kirua

K- Mais je t'en prit Ran utilise ta technique après tout c'est bien la seul que tu maîtrise

Je vois ce sale morveux cherches a me faire réagir, hoho mais ça ne prend pas avec moi  

Moi- Kirua chou je n'ai pas besoin de ma technique pour voir ton inquiétude déguisé en colère, tu pense surement que c'est de ma faute si Irumi s'est fait rapatrié si mal au point.... 

Il me coupe

K- NE PRONONCE PAS SON NOM !!

je poursuit- La vérité tu l'as connais, même si tu refuse de l'admettre c'est ta famille qui a détruit Irumi et c'est moi qui ai réussit à libérer son esprit de ses chaines. 

K- Irumi était très bien avant de te rencontrer C'EST TOI QUI L'A CHANGé

Je peux sentir la rage qui bout en lui mais je n'en ai que faire,

Moi- Je l'ai sauvé. Grace à moi Irumi a  développé une volonté propre, à mes coté il se sentais humain, il se sentait comprit. En fait j'ai réussit là ou tu a échoué mon petit Kirua, j'ai réussit à rendre ton frère heureux.

Alors qu'il était à deux doigts de me sauter à la gorge, un homme portant un déguisement ridicule apparu comme par magie pour venir empoigner le bras de l'enfant.

L'inconnu arbore un style assez particulier, heureusement son joli minois et son corps assez bien galbé rattrape ce massacre vestimentaire. Tandis que ses pupilles doré sont plongées dans les miennes, mon frère et ses deux amis s'étonnent:

- HISOKA!!!