Mais c’est quoi cet déliré, c'est qui ses gars pourquoi ils me font ça. Elle toussa et cracha du sang, Zaïre écarquillant les yeux d’horreur en mettent sa main sur son ventre douloureux.
-Qui ? C'est seul mot qu’elle put sortir de sa bouche
Un des hommes empoignant ses cheveux, hurle à son oreille.
-Raoul, hurla-t-il lui en tira par les cheveux.
Zaïre lui Tenant le poignet en grimaçât de douleur, elle serra les dents pour endiguer les douleurs de son ventre et de sa joue. Il lâcha sa prise et l'admettra un coup au visage, elle qui jusque-là retenez ces larmes ne put supporter, les larmes coule sur ces joues.
-Raoul Jackson, l’homme avec qui tu as une liaison il y a maintenant 2 moins, il lâcha ses cheveux et souri. Tu pensais faire sa dans les dos de la patronne sans qu'elle sa na perçoive sale petite idiote, il lui jetât des photos au visage.
Zaïre, largué depuis l’épisode Raoul, regarde les photos avec sa vision brouille.
-de maintenant tu pars au Mexique, nous te laissons une semaine pour nous ramener messieurs Jackson ou sinon tu risqueras de le regrette de toute ton existence, n’essaye pas de fuir parce que nous avons tes frères, les deux hommes le regarde pendant l’autre le mette sur pied ; tu ne voudrais pas qu’il arrive quelques choses à tes frères non !!!
Zaïre ne savait pas qui était Raoul Jackson ni les hommes qui les batte comme si elle était un animal, tout ce dont elle a pu retenir ce, que quelque chose pourrez arriver à ses frères. Ce qui veut dire que ces frères étaient en danger.
Arrive à cette conclusion zaïre vu rouge, elle sauta sur son interloquerai l'en admettre tout ce qu’elle pouvait des coups, des gifle, des coups de griffe elle hurle.
- Si vous touche à mes frères, je vous tuerez !!! Cria-t-elle.
Un eux l'attrapèrent par la taille et le plaquèrent violemment sur les carrelages, elle laissa un cri sortie de sa bouche en grimaça de douleur.
-regarder-moi se fretin or de l’eau.
Soudain, une femme entre dans la pièce en hurla ;
-Accès !
Zaïre soupira en regardant Alice Jackson enfin quel qu’un qui pourrait dire à ces hommes qu’il se trompe, parce que oui, Zaïre pense encore que c'étais une regrettable erreur alors que s’en était rien.
Alice Jackson le parle d’une manier un peu trop familier a ses hommes, elle est dispute et leur crie d'ordre.
Zaïre compris immédiatement que c’était elle le cerveau de tout ça.
Devant l’aéroport Zaïre perplexe, une voiture s'arrêter soudainement devant elle.
Elle était là sans savoir vraiment ce qu’elle devait faire, rien que de papier sur les mains, habillé comme une folle. Elle montant dans la voiture, il y avait un homme au volant et une jeune femme. Bonjour señora dit l’homme
Elle ne répondit pas.
La jolie blande se tourna et dit – j'espère que tu te bien informais, vous aviez une semaine pour le persuader de rentrer chez lui bien en vie bien sûr. Nous allons vous montrer l’hôtel d'où il siégera pendant une semaine et nous irons vous déposer dans votre hôtel. Elle lui tendant une enveloppe gonflée ou il y avait toute chose qu’elle pouvait utiliser pour sa mission plus un téléphone portable pour l’appeler en cas de besoin.
Elle n’est disait rien, zaïre ne faisait que le regarde et le silence commence à devenir pesant.
-Tu n’as qu’une semaine pour le faire, se répétât-elle une seconde fois.
-Comment faire pour le ramener dis Zaïre. Les deux personnes qui était dans la voiture le regardent avec étonnement parce que c'étais la première foi qu'elle ouvre la bouche depuis qu’elle était là.
-écouté, je vais juste récupère mes frères : s’exclament-elles les larmes aux yeux, dits moi quoi faire, je ne veux pas d’ennuis dis Zaïre d'aune manière très pensive;
Mais qu’es-ce que je raconte les ennuis j'en ai déjà ; se dit-elle a elle-même.
La voiture s’arrêta devant un immense gratte-ciel. L’homme se retourna et lui indiquant l’enveloppe de yeux, zaïre le regarda minutieusement puis l'ouvris le sourcil fronce hésitante il avait un peu trop de chose dont elle n'envoyez d’aucune utilité.
-Désole, mais je ne touche pas à ça. Dit-elle en pointa l'arme du doigt ; et puis tous ça, me sert à rien, je ne veux pas capturer un ours, mais retrouvé un homme que vous m’aviez précisé de ramèner en vie.
L’homme le regarda et expira : ma demoiselle cet homme et beaucoup plus dangereux que dix ours alors ça ce juste pour votre sécurité.
Je crois que des tasers, de menotte et plusieurs sortes de Bonbe lacrymaux et imper…. Elle prend l’enveloppe et le mit à côté : je n'ai pas besoin de tout ça, je veux juste lui expliqué la situation, c’est un humain, il comprendra. Dit-elle en osa la tête de haut en bas.Zaïre était un peu confiant, dans un coin de sa tête elle pense que ce travail est un sale boulot que sa patronne ne voulez pas faire. Mais alors pourquoi toute cette mascarade peut-être que… ah ! Trop de questions sans réponse. Elle fut sorti de se penser par la voix de la femme blonde.
-Peut-être que tu devrais venir chez nous, un bon Bain, de nouveaux vêtements et une bonne nuit des sommeils te faire du bien. Déclara-t-elle hyper surexcite
Zaïre le dévisage sans rien dire.
La jeune femme s’exclama encore : tu pourras commences ta mission demain de plus tu as sept jours, tu pourrais te reposes aujourd'hui.
-Tu viendras chez nous pas à l’hôtel, dit-elle en essayant de la convaincre d'accepter.
Celle-ci la considéra sérieusement.
-Parce que à l’hôtel, ses froids tu seras seul, mais avec nous, tu seras en famille insistent elle.
-oui moi ma famille et entre les mains d’Alice et je veux le sauver, certifiai t'elle déterminer.
Zaïre aperçut une voile de tristesse dans ses prunelles, elle ne savait pas pourquoi cette femme se montrer si gentille et compatissant avec elle.
Elle jeta un coup d'œil aux photos qu'elle avait dans la main si seulement on pouvait voir le visage de c'est Raoul. Dans toutes les photos prises aucune d'eux montrer son visage. Elle leva les yeux et pouffa.La proposition
Zaïre regarda la Blande devant elle. Elle aurait pu accepter son offre, mais l'enjeu était trop grand ce son les sbires Alice tend qu'elle ne connaissait pas toute l'histoire Zaïre ne faisais confiance à personne.
-Désolés, mais tant que je n'ai pas mes frères, je ne pourrai pas, mais reposer.
-d'accord, c'était le seul mot que la femme blanche avait dit avant de quitter la voiture déçue avec l'homme.
Homme lui tant la clé de la voiture et une autre enveloppe cette fois si plus petite, il lui expliquant ce quel avait a faire de tout ce qu'il lui avait donné malgré quelques protestations de Zaïre.
Après les instructions, l'homme et la femme quittèrent le lieu en laissant Zaïre prêt à bondir sur Raoul Jackson.
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brusquer par le destin
RandomBrusquer par le destin Zaïre est prêt à tout pour délivrer ses frères de main d'Alice. Obligée par Alice jackson d'aller chercher Raoul son petit frère en Mexique pour le ramener au pays, elle qui a un fort caractère et qui méprise les hommes. Zaïr...