Chapitre 5: L'enfant métissée

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Allez, chapitre spécial babysitting... non, je déconne... enfin pas totalement. En tout cas je vais pas vous mentir, quand on cherche à faire une bonne histoire alors qu'on réfléchit en même temps à autres choses, c'est dur😕. Mais bon, bonne lecture!

Rappel: Passages en italiques sont les traductions des discours d'espèces non-humaines!

Au cours des quelques années qui suivirent, la jeune hybride fut sûrement l'enfant la plus câlinée de tout le peuple yautja, mais pas assez pour devenir paresseuse et pour lui enlevé l'envie d'être une fière guerrière. Seulement, le point de vue sur son sujet est largement critiqué par beaucoup de gens, même par certains des prédators qui avaient finit par considérer Alexa comme l'une des leurs, le genre hybride n'était pas vraiment la meilleure idée.

En seulement douze ans, elle eut sa taille adulte, sûrement dû à la constitution mutante de ses gènes étant donné que celles des yautjas sont plus «puissantes» que celles des humains, son taux de croissance a donc dû subir une certaine accélération. Elle était légèrement moins forte qu'un prédator, mais elle était d'autant plus rapide et agile que l'un d'eux. Elle avait aussi la capacité unique de mémoriser un langage: elle n'avait qu'à entendre quelques mots d'une langue en particulier pour pouvoir traduire l'intégralité des mots de son vocabulaire en cette même langue, elle pouvait donc comprendre tout type de langue avec un taux de réflexion presque nul.

En ce qui concerne son nom, Scar et Alexa ont beaucoup bataillé entre eux pour l'approuvement de leurs propres idées. Alexa voulait un nom terrien tandis que Scar voulait un nom yautja. Finalement, ils tombèrent sur un nom qui les mirent tous les deux d'accord: Cheltir. Ça sonnait humain, mais c'était en réalité pour rendre hommage à ses deux oncles, Chopper et Celtic, les deux grands frères de Scar.

Au cours de son enfance, Cheltir a été majoritairement au côté de sa mère, d'autant par sa mauvaise popularité parmi les siens que de par l'affection de sa mère. Alexa la câlinait souvent et lui fabriquait des jouets artisanaux, chose qu'elle avait appris au côté de son père quand elle était jeune, et lui apprenait la culture yautja et le maniement des armes. Un jour, quand elle avait six ans, elle lui expliqua sa vie sur Terre et la façon assez... brusque... qu'elle a eu en rencontrant son père.

Cheltir était assez intelligente pour son jeune âge pour comprendre ce que sa nature hybride lui fallait l'œil noir de tout le monde. Toutefois, elle n'a jamais vraiment été frustrée par rapport à cela, elle le prenait comme «l'exprimation d'un sentiment comme un autre» selon ses propres dires. Ce qui était des paroles pas très étonnantes venant de la part de quelqu'un qui est souvent enjoué et souriante (même si son apparence de serpent lui donnait un ère fourbe, quoique involontaire).

Quand elle dut commencer ses entraînements collectifs six années plus tard, elles avaient du mal à se trouver une équipe, et en général, on devait lui donner son partenaire. Et à chaque fois, le dégoût était au rendez-vous dans le regard de ses adversaires, aussi un semblant d'arrogance dans le genre «tu n'es pas une véritable yautja, tu ne vaux pas les vrais!» ou quelque chose comme ça.

Dans tous les cas, elle remportait généralement tous ses combats, ça lui arrivait de perdre, mais c'était extrêmement rare, et malheureusement, ses moments d'exception lui fallaient des moqueries à tout va. Son professeur, Dark, un yautja d'élite, stoppait toujours ses passages, il était l'un des rares yautjas à ne pas mépriser Cheltir, et cela l'apaisait beaucoup.

Sachant qu'il était le descendant d'un très grand guerrier, de plus quand il est allé sur la planète où se trouver son tombeau accompagné de trois compagnons, la pyramide dans laquelle il était avait été assiégé par les xénomorphes. Il en aurait tué un grand nombre, mais ses compagnons n'en se seraient pas sortis. Il aurait même abattu un prédalien, un xénomorphe ayant eu pour hôte un yautja, ils étaient considérés comme des abominations et une injure à leurs races, tout en étant plus redoutables et puissants.

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