XVII

17 3 2
                                    

Le jour suivant j'étais obligé de chercher Marlon en 4 ème vitesse a l'école, sur la route pour y aller, j'avais l'impression que quelque chose se trouvait sur la banquette arrière, pendant un court instant j'étais pétrifié à l'idée de regarder dans le rétroviseur, je m'étais sûrement fait des films puisque en y jettent un rapide coup d'oeil, il n'y avait rien.

Je laissa échapper un léger soupir de soulagement et continua mon chemin.

Arrivé à ma destination, je me dépêcha de rejoindre la directrice dans son bureau pour avoir plus de détails sur ce qu'il c'est passer comme tout parents à peut près normal.

En entrant, je vit mon garçon avec un énorme œil au beurre noir, la directrice Madame Beck, pris la parole.

" - veuillez vous asseoir s'il vous plaît monsieur Collins.

- oui bien sûr.

- merci, je me doute que cela doit vous faire un choc de voir votre fils dans cet état mais il y a eu un problème à la récréation, entre lui et un autre de nos élèves.

- que c'est-il passé ?

- il semblerait que son compagnon de classe ai insulté la maman de Marlon et lançait des cailloux dans le dos de votre fils, et en suite ils se sont battu.

- je vois...

- bien sûr j'ai divisé les punitions en part égales et chacun aura un texte à copier sur la violence, 2 page recto verso pour demain.

- en leurs faisant écrire des texte, vous croyez qu'ils ne vont pas ce frapper dessus ? Mise à part leurs faire apprendre par cœur comme une poésie vous avez autre chose à proposer ?

- je ne vous demande pas de m'apprendre mon travail monsieur Collins.

- ne vous inquiétez pas je vous ai entendu et je prendrais les décisions qu'il faut.

- sachez que ce n'ai pas un poste de police ici, on enferme pas les enfants ou leurs faire faire des travaux généraux.

- je le sais, merci et au revoir."

Je suis vite sorti je refusais de rester pour entendre que mon fils allait devoir faire la même punition que ce sale gosse.

𝐖𝐡𝐢𝐬𝐩𝐞𝐫𝐬Où les histoires vivent. Découvrez maintenant