chapitre 52

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Coucou
Bonne lecture
DANS LA PEAU D’AICHA :
Je venais de finir de parler avec Ahmed
Et j’avais vraiment peur
Je ne veux pas perdre Moustapha, il s’est toujours battu pour moi, je dois lui sauver la vie.
Et si je dois me marier avec sory, je le ferai
D’abord je dois arranger les choses avec ma famille, c’est la seul solution.
Donc je sors de la chambre pour aller au salon, et je les trouve dans la même position que je les avais laissé
Moi : pourquoi vous n’avez toujours pas quitté le salon
Abdoulaye : ça ne te regarde pas
Moi : vous ne voulez pas préparé mon mariage
Maman : à quoi bon, marie toi toute seul et pourrit notre vie
Moi : attendez-vous avez cru à ça mdr, je ne pensais pas que ça allait marcher *morte de rire*
Ousmane : on peut savoir pourquoi t’es entrain de rigoler, nous aussi on aimerait rigoler comme toi
Moi : je vous ai fait une blague, une grosse blague, ne me dite pas que vous m’avez cru*rire* attendez tout ce que j’ai dit là c’est vrai, enfaite vous me mentez depuis le début ?*froisse mon visage*
Beau-père : non enfaite on voulait te faire croire qu’on a cru à ce que t’a dit mdr*rire hypocrite*, n’ai ce pas les gars
Eux sauf maman : oui oui
Maman : non aicha chérie écoute moi
Puis tous les regards se sont braqués sur maman
Et là il y’a mon beau père qui a commencé à lui faire des signes, genre ne fait pas ça etc
Moi : je t’écoute maman * faisant semblant de ne rien comprendre*
Beau-père : en faite ta mère veut te dire que tu vas lui manquer
Maman : non ce n’est pas ça que je veux lui dire
Beau-père : on est extrêmement en retard niveau organisation, tu ne crois pas que ça serais mieux si tu lui disais ça plus tard
Maman : non je dois le lui dire tout de suite
Beau-père : non tu ne vas pas lui dire la surprise, allez vient je t’amène dans notre chambre, histoire que tu te reposes
Il la prend directement et l’amène dans la chambre conjugale, je comprenais maintenant ma mère, en faite elle ne me veut pas de mal, elle a juste peur de son mari
Moi : allez-vous préparer, vite on est en retard
Et la-il y’a mon frère Abdoulaye qui prend Souleymane et bobo pour aller les préparer
Il ne restait plus qu’Ousmane et moi dans le salon
Ousmane : on peut se parler
Moi : non pas tout de suite, après va te préparer
Ousmane : t’es fâché contre moi
Moi : non pourquoi je vais me fâcher contre toi, tu ne m’as rien fait
Ousmane : arrête de jouer la comédie aicha, de toute la maison je suis le seul qui te connait vraiment, je sais quand tu mens et quand tu dis la vérité et là tout ce que tu as dit c’est de la comédie
Moi : stp Ousmane ce n’est pas le moment
Ousmane : t’a retrouvé la mémoire aicha
Moi : non je n’ai pas retrouvé la mémoire maintenant laisse-moi tranquille
Ousmane : si tu n’avais pas retrouvé la mémoire, tu n’agirais pas comme ça avec moi, je sais que t’es fâché contre moi
Moi : bha bien sûr que je suis fâché contre toi, tu étais mon confident ; mon complice, mon frère préféré mais toi tu m’as menti, comme tous les autres *pleure*
Ousmane : désolé aicha, je voulais vraiment te dire la vérité mais papa m’a empêché de le faire, il m’a dit que si je te disais la vérité ; je ne serais plus son fils
Moi : c’est trop tard Ousmane tu m’as déjà trahi, excuse toi mille fois si tu veux ; ça ne changera rien ; t’es plus mon frère, je n’ai plus de frère et encore moins une famille
Ousmane : aicha suis désolé, pour l’amour de DIEU pardonne moi, t’es ma grande sœur tu dois me comprendre, je n’avais pas le choix
Moi : au lieu de t’excuser je vais te dire ce que tu dois faire, tu n’as qu’à aller te préparer pour mon mariage stp, j’aimerais au moins que le frère avec qui j’étais le plus amis soit présent à mon mariage
Ousmane : tu ne vas pas te marier avec lui
Moi : t’es fou
Ousmane : t’inquiète sœurette, je vais tout arranger
Puis il part
Attend il veut dire quoi par tu ne vas pas te marier avec lui ; j’espère qu’il ne va pas tout gâcher
Ousmane ça a toujours été mon confident et aujourd’hui celui à qui j’en veux le plus après maman c’est bien lui, je ne dirais pas que je ne l’aime plus mais je suis grave fâché contre lui
J’étais dans mes pensées quand mon frère Abdoulaye me fit sortir de mes pensées
Abdoulaye : tu ne dois pas être entrain de te préparer
Moi : ah oui j’avais complètement oublié ; je vais aller chercher maman
J’ai tracé directement vers la chambre conjugale de mes parents sans attendre une réponse de mon frère ; lui aussi je lui en veux, lui et Ousmane c’était mes frères préférés ;
Arrivé à la porte de leur chambre, je gare ma chaise roulante tout doucement je veux savoir ce que mon beau père a à dire à ma mère.
DANS LA PEAU DE KADIJA*mère d’aicha* :
Mon mari : tu voulais dire quoi à aicha
Moi : la pure vérité
Mon mari : et tu crois qu’en le lui disant elle va te pardonner, le mal est déjà fait kadija réfléchit, soit pas conne, elle a perdu la mémoire, tu veux qu’elle te déteste plus ou quoi ; si tu dis la vérité à aicha, elle va te détester encore plus, tu n’as pas été une vrai mère avec elle je te rappelle
Moi : et tout ça c’est de la faute de qui, c’est de ta faute à toi tu m’as éloigné de ma fille, à cause de toi ma fille va me détester si je lui dis la vérité, à cause de toi je n’ai pas pris soin d’elle
Mon mari : tu vas continuer à m’accuser de tout, ce n’est pas à cause de moi que tu ne t’ais pas occupé de ta fille ; enfaite tu ne voulais pas t’en occuper, m’accuse pas je n’ai rien à voir dans cette histoire, tu ne t’es pas occupé de ta fille, parceque t’a préféré t’amuser au lieu de t’occuper d’elle
Moi : non tu mens, arrête de tout mettre sur mon dos, c’est toi qui me proposait à chaque fois qu’on aille s’amuser et moi comme une débile j’acceptais. Je ne me suis pas occupé de ma fille parceque toi à chaque fois que je la prenais dans mes bras, tu te fâchais et tu détruisais tout ce qui se trouve dans la maison, après tu partais boire et tu revenais ivre à la maison. Et moi comme une conne je lâchais ma fille pour m’occuper de toi, en faite c’est par amour pour toi que je me suis pas occupé de ma fille. C’est parceque je t’ai aimé c’est pour ça *pleure* alors que toi tu ne m’as jamais aimé, si tu m’aimais réellement tu n’allais jamais détester ma fille, jamais au contraire t’allais t’occuper d’elle comme si c’était ta propre fille. Et tu ne ferais jamais de différence entre elle et tes fils *pleure*
Mon mari : en faite toi tu aimes remettre la faute sur les gens, pourquoi tu n’assumes pas tes propres erreurs, et dit-moi comment pourrais-je accepter l’enfant d’un autre, c’est vrai que je n’ai jamais aimé ta fille, mais par amour pour toi j’ai accepté qu’elle vive dans notre maison. tu crois que c’est facile de voir chaque jour l’enfant d’un autre sous ton toit, non ce n’est pas facile mais je les quand même laissé vivre ici ; et au début quand t’es revenu avec elle, je te laissais t’occuper d’elle mais toi tu t’occupais tellement d’elle que tu prenais même pas soin d’Abdoulaye *notre fils* fallait bien que j’agisse, je ne vais pas te laisser t’occuper de l’enfant d’un autre et laissé le mien c’est inacceptable. je t’ai toujours aimé ; je t’aime et j’aime nos enfants mais elle je n’arrive pas à l’aimer, je maudit le jour où t’es allé chez ce maudit docteur pour faire cette implantation de merdre sans mon accord
Moi : si tu ne voulais pas que j’ai une fille, bha fallait bien que j’aille chercher ailleurs, ce n’est pas de ma faute si mon mari est faible, eh oui t’es faible, assume le au moins
Mon mari : si ce n’est pas par respect pour nos enfants ; je t’aurai mis une grosse gifle, tellement qu’elle serait grosse la trace de ma main allait y rester ; moi faible, ok suis faible mais moi le faible je t’ai quand même donné 4 fils
Moi : c’est d’une fille dont j’ai besoin pas des garçons, tu ne peux pas avoir de fille malheureusement
Mon mari : bha si je t’ai donné une fille, mais t’a pas su t’en occuper, à cause de toi, elle est morte. Si tu t’étais occupé d’elle ; elle serait toujours vivante ; en faite t’a voulu avoir une fille juste pour soulager ta conscience. Parceque tu s’es bien qu’elle est morte à cause de toi, t’a voulu une fille juste pour te dire, bon ok DIEU m’a pardonné, il m’a donné une seconde chance pour que je me rachète mais non même ta seconde chance t’a pas pu t’en occuper, de nous deux celui qui est faible c’est toi
Moi : non ferme là, ferme là *crie comme une hystérique* je ne sais pas comment j’ai pu me marier avec une telle ordure
Mon mari : bha l’ordure t’a enceinté ; il t’a fait des enfants et c’est occupé de toi, toutes les femmes censés de ce monde voudrait d’une ordure comme moi
Moi : ça c’est ce que tu crois, t’a toujours pensé qu’à toi, mais sache que tu ne vas pas utiliser ma fille pour être riche ; tu l’as dit toi-même, ma fille c’est une erreur, si asmaou n’était pas morte je n’allais pas l’avoir donc pourquoi tu veux profiter de ma fille
Mon mari : parce qu’elle a dormi sous mon toit pendant 17 ans ; faut bien qu’elle me paye
Moi : t’es un salop
Mon mari : dit ce que tu veux de moi, je m’en moque royalement tout ce que je sais, c’est qu’elle va se marier avec sory ou bien elle va aller rejoindre asmaou
Moi : tu ne vas pas oser
Mon mari : si je vais le faire ; je te jure que si tu empêches ce mariage, tu peux dire adieu à ta fille bien aimé
Moi : avant de la tuer, faudra me tuer d’abord
Mon mari : ok je ne vais pas me gêner
Moi : tu vas aussi me tuer
Mon mari : si t’empêche ce mariage, oui je vais le faire
Moi : tu veux seulement être riche
Mon mari : et je vais l’être s’il plait à DIEU
Moi : ferme là ; t’es pas un musulman
Mon mari : si je le suis, et tu peux dire ce que tu veux je m’en fou
Moi : si tu t’approches de ma fille je vais te tuer
Mon mari : alors on va tous les deux mourir, parceque je ne compte pas te laisser faire
Moi : pourquoi à la sortie d’aicha de l’hôpital, tu ne l’as pas laissé vivre chez son père
Mon mari : parceque j’ai besoin d’elle pour être riche, soit pas conne
Moi : si aicha se marie avec sory, vas-tu la laisser tranquille
Mon mari : oui je le jure
A SUIVRE…
     

*petite annonce*
Salut les filles c’est encore moi ; je voulais juste vous dire que mon téléphone est gâté mais ne vous inquiétez pas je ne compte pas abandonner la chronique. Je vais continuer d’écrire sur mon ordi et je vais publier les samedi. Mais j’avais écrit des chapitres que j’ai perdu donc je dois recommencer d’écrire, je suis grave vénère je pensais même avoir perdu mon compte mais DIEU MERCI je l’ai toujours donc je vous prierai de voter au max et de parler de la chronique à vos potes pour que le nombre de lecture augmente. Et moi en retour chaque samedi je vais publier un max de chapitre ; en passant merci pour les 1K de lecture
Et je vous demande de voter parceque c’est nulle de voir que le nombre de lecture augmente alors qu’il n’y a pas beaucoup de vote
Je me donne à fond dans cette chronique donc pour m’encourager
Retournez au premier chapitre et votez sur toutes les parties
Et moi en retour je vais écrire tous les jours et publiez chaque samedi
Bye les filles
A samedi prochain
Et n’oubliez pas de voter sur toutes les parties bisous 

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