Deux Cents En Deux Ans

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      ~le début du commencement~

Le 21 juillet 1802, Le château Rothwood respirait l'opulence,

la grâce et la noblesse s'étaient donnés rendez vous dans cette salle richement décorer ou le froid de la nuit influençait aucunement l'atmosphère chaleureuse de la soirée,
l'orchestre jouait du Mozart ,  et plusieurs couples dansaient sur la piste,

La jeune mariée pourtant séduisante dans sa robe toute blanche n'était guère radieuse, le marié par contre affichait un grand sourire comme ci sont seul et unique vœu était miraculeusement exaucé.

-souris Adèle, tu es si morose et pâle, réprimanda une voix derrière la  marié.

-j'ai assez fait semblant pour aujourd'hui mère, je désire me retirer dans mes appartements, répondu Adèle le visage crisper.

-que me raconte tu la jeune fille !, regardes toutes ces noble personnes sont venu de très loin pour célébrer ton bonheur !, dit sa mère en touchant ses épaules pour la forcer à se tenir droite.
Adèle n'écoutait sa mère que d'un seul oreille, ces yeux était braquer vers la grande porte d'entrée guettant sont arrivé,
Les musiciens entamèrent une valse au grand plaisir des danseurs.

-étes  vous fatigué ma bien aimé ?,  chuchota sont marie dans ces oreilles

-pas assez pour abandonner cette charmante compagnie, menti Adèle en forçant un sourire.

-alors ma charmante épouse voudra t elle m'accorder cette danse ?

-avec grand plaisir,  accepta t elle a contre coeur.

Elle pris galamment la mains que Théodore lui tendit,  il l'amena sur la piste le sourire au lèvre, il la serra contre sont torse, Adèle quand à elle balayait la pièce du regard pour vérifier si il y avait quelques curieux qui furent  scandaliser par tant d'empressement venant de sont mari, à sont grand désarroi un groupe de vieilles fortunés la regardait de travers en chuchotant entre elle, elles devraient se dire bien des atrocités à sont égard,  elle détestait cette classe de noblesse, ou les préjugés et suppositions étaient toujours au rendez-vous, des supercheries et des complots en coulisse et des grands sourires éclatant en publique,  la soif du pouvoir les poussaient à marié leur filles au hommes plus fortunés sans se soucier de leur sentiments, elle enviait parfois les gents des la base classe,Malgré leur pauvreté ils avaient une certaine liberté,
elle observait parfois Anna ,sa femme de chambre,  elle fredonnait souvent en faisant sont lit, toujours souriante elle dégageait la joie autour d'elle,  Adèle enviait sa joie de vivre et sa force, elle par contre n'avais pas le temps de sourire, étant l'aîné de la Riche famille Rothwood, elle avait bien des devoirs,  elle venait d'ailleurs d'en accomplir un en épousant le vicomte de Barningford,
sa sournoise de mère était si clairvoyante qu'elle avait décider de la faire nager d'avance vers les rives avant que le bateau ne puissent coulé,  oui ça famille était au bord de la faillite la.....

-le comte, la comtesse et vicomte de Berkeley,  cria la voix du majordome qui se chargeait d'annoncer les invités.

Le coeur d'Adèle commença à battre à la chamade, sont regard et tous les regards d'ailleurs étaient rivés vers la porte d'entrée guettant avec impatience leur entrés, la famille Barkeley était la plus prestigieuse et la plus riche de l'Angleterre depuis près des vingt générations.
George Barkeley était un charmant homme de la cinquantaine, les cheveux grisonnant, Un sourire charmeur au lèvre, il s'avançait tenant le bras de sa  superbe épouse, magnifique dans sa robe couleur d'or et ses longs cheveux de feu retenue par un chignon trop simple à l'ébahissement du public qui prenait cette simplicité capillaire pour une négligence et par ailleurs une offense, souriante elle s'avançait en ignorant tout ces regards chargés des reproches, derrière eux le suivait leur unique fils Ashton Barkeley,  de qu'il entra dans la salle tous les regards féminins quelque sois l'âge se voilèrent de fascination,  cet homme pourtant à peine sortie de l'adolescence était d'une beauté à couper le souffle, Adèle se détacha de sont mari pour contempler, l'élu de sont coeur l'homme qui hantait ses rêves, l'homme dont elle était follement amoureuse, elle ne savait pas vraiment ce qui l'attirait irrésistiblement vers lui, est ce uniquement sa beauté ténébreuse et mystérieuse ?,  car à part cela et sont immense fortune, il n'y avait rien d'autre chez lui capable de combler une femme,  il était dépourvu de toute humanité,  il a vue des femmes mourir par amour pour lui sans broncher ni faire preuve de pitié, les rumeur sur lui circulait les rue,  on disait qu'il était le fils du diable, il a briser plus d'un coeur et cela ne semblait l'affecter,  Adèle était au courant de toutes ces rumeurs,  pourtant cela ne l'empêchait d'être si attirait vers lui, comme si il y avait une force invisible qui la poussait dans ces bras, la poussant à sa perte ...