La Solitude

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Aussi invraisemblable que cela à pu me paraître sur le moment, Martine me dit " Excuse moi je vais devoir te laisser découvrir seul, j'ai des participants pour le gangbang de 14h à accueillir"
Ce n'est d'ailleurs qu'à mon retour, une fois sur mon ordinateur, que j'ai appris la signification du mot "gangbang", c'est pour dire.

Me voilà ainsi seul dans la découverte,
A peine Martine partie, je fut attiré par de nombreux chuchotements émis dans une pièce non loin de moi.
Prudemment, et surtout mort de trouille pour être honnête, je m'avance vers la pièce.

En face de moi, se trouve une grande croix munies de lanières en cuir, sur laquelle est attaché une jeune femme d'une trentaine d'années je dirais.
A ce moment j'ai eu l'impression d'avoir vécu dans un bunker depuis 20 ans, car ma dernière référence d'une personne attachée sur une croix remontait à déjà quelques milliers d'années, celle qu'on aborde dans les livres à l'école.

Revenons à la jeune femme en question, grande brune élancée qui n'avais pas du tout l'air de souffrir.
Je la pensais seule quand je vus sortir tout à coup de l'ombre une dizaine d'hommes le pantalon baissé sur les genoux, leur sexe à la main.

Un peu troublé, je décida de me tapir dans un coin de la pièce à l'abri des regards tout en gardant un œil sur la scène qui allait se dérouler, car bizarrement je ressentais une certaine excitation à la regarder.

Les Hommes s'avançaient vers la femme et lui banderent les yeux.
Commence alors à se former un attroupement autour d'elle.
Un des hommes commencent à la caresser.
En partant des pieds, remonte doucement ses mains le long de ses cuisses, pour arrêter sa main sur sa vulve ou sous les gémissements de la jeune femme, il la caresse, insère ses doigts à l'intérieur puis en les ressortant les glisse dans la bouche de l'intéressée.
Cette dernière semble y prendre un plaisir particulier que je ne saurai décrire, que j'ai du mal à comprendre dans la mesure ou elle ne voit absolument rien.

Puis les autres hommes s'avancent à leur tour, et chacun embrasse tour à tour le corps de la femme, certains le cou, d'autres le ventre, certains attrapant même les tétons avec des pinces...
La femme ne cesse de gémir de plus en plus fort, elle semble Comme en transe et surexcitée par cette situation.
Son excitation est d'ailleurs nettement visible, marquée par l'abondant liquide coulant le long de ses jambes.

Les hommes se font de plus en plus pressant, se masturbant énergiquement autour d'elle. Puis l'un d'eux la détache pour l'emmener sur un fauteuil quelques pas plus loin.

Toujours tapi dans l'ombre je n'ose sortir dans la lumière de peur d'être vu alors que tous n'ont d'yeux que pour ce qui va se passer ensuite.

Addiction de l'intérieurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant