Chapitre Deux
Saturday 29 june (Day 2)
Point de vue interne
Honey fut réveillé sous les chansons des oiseaux, qui changeait du brouhaha de son ancienne ville, le soleil transperçaient sa fenêtre double vitrage qui départagée les faisceaux de la lumière du soleil en deux. Elle se leva avec aucune difficulté, des cheveux qu’on pourrait qualifier de Einstein, son tee-shirt remonté jusqu’à sa poitrine et une manche de son pantalon plus montée que l’autre elle se dirigea dans la salle de bain, qui se trouvée deux portes plus loin. Lorsqu’elle ouvrit la porte son frère était posté juste devant, lorsque celui-ci avait vue la dégaine de sa sœur, il ne put se résoudre à ricaner jusqu’à exploser de rire.
- Les gens venez voir on trouvé la sœur caché d’Einstein ! criait-il haut et fort
Honey excédé sous le comportement puéril de son cadet elle ne put s’empêcher de le frapper. Lorsque le coup, que l’on pouvait entendre cinq ruelles plus loin, fut donné, le frère de Honey ne put s’empêcher de rire un peu plus fort. Roulant les yeux sous la réaction de son frère, elle s’engagea dans le couloir après avoir fermé la porte de sa chambre, laissant son frère se tordre de rire. Arrivée dans la salle de bain elle fit couler l’eau de la cabine et enleva délicatement ses habilles et entra.
Dans la cuisine, les membres de la famille de Honey déjeuné tranquille, l’un lisait le journal d’autre regardé la télévision. A cause des événements d’hier, le fils cadet ne parlait plus à son père, se sentant toujours le plus malchanceux de toute la maison, il en mettait toujours la faute à l’un des ses géniteur. Lisant les rubriques qui convergé dans son métier, Faustine avait enfilée son uniforme de shérif. Sa plaque en haut à droite sa veste jaune-marron, son arme sur sa ceinture à droite et à gauche sa matraque. Des Rangers aux pieds, elle ressemblait plutôt à un cow-boy qu’à une « fliquette », d’après la démarche intellectuel de Honey.
Toujours sous la douche, se posant la question cruciale qui tenait à la prunelle des yeux de Honey «Qu’elle était sa raison de vivre », cherchant des réponses à cette question aucune lui parvenait la plus plausible. Après cette entretenu avec la salle de bain pendant environ vingt bonne minute, elle l’y sortit satisfaite dé souiller de ses idée. Une fois rentré dans sa chambre elle constata qu’elle n’avait toujours pas donné de nouvelle à son ami, elle prit son Smartphone posé sur son lit lui envoya un message pour lui dire que toute allait pour elle. Enfilant ses habilles, elle entendu son téléphone sonner, un message envoyé par Tasha elle se précipita dessus :
« Coucou Hon’, j’ai crus que t’allais jamais me répondre comment tu vas ? Le voyage c’est bien passé ? La ville est belle ? Ta maison ? Putain j’ai plein de question qui me trotte dans la tête appelle moi xoxo Tasha gros bisous je t’aime ma poulette »
. Lorsqu’elle fut prête, elle alla chercher son paquet de cigarette avec son briquet, puis les glissas dans sa poche elle enfila un sweat, puis repris son téléphone ainsi que sa carte d’identité qu’elle glissa dans poche arrière de son jean. Elle enfila des tennis et descendit en bas.
Après avoir cette acharné à descendre en silence les escaliers qui craquait à chaque fois qu’elle passait une marche, elle put constater la magnificence du rez de chaussez elle ne put s’empêcher de toucher les murs peint rose saumon, on ne voyait plus les coups de pinceaux qui avait était donné un maint reprise.
- Magnifique nan ?
Lorsqu’elle se retourna, elle dévisageât sa mère de la tête aux pieds, puis elle hocha de la tête en signe d’affirmation. Comme elle voyait souvent sa mère habiller ainsi, elle remarqua que son uniforme lui allait à merveille que les autres qu’elle avait pu enfiler tout au long de sa carrière. Elle travaillait souvent avec des hommes ce qui ne la déranger pas, elle disait qu’ils avaient besoin d’une présence féminine dans leur locaux mais qui n’était pas accepter par tous ses collègues masculin. Elle subissait des discriminations machiste de la part de ses collègues ce qu’il avait amenait dans cette ville. Venant de Harlem, un ghetto pas très réputée des Etats-Unis, elle se fessait toujours insulté par ses camarades de classe ou les gens du quatier qui se permettait de l’insulter de tous les noms d’oiseaux car sa mère fesait partie de la NYPD chargée de surveillé les trafiquants, les voleurs enfin toutes les personnes de mauvaises fréquentations. Où elle habitait elle n’avait pas vraiment d’amis car être la fille d’un « flic » était mal vue, pour Honey c’était la honte pour elle alors elle essayé le moins de sortir avec sa mère ou sa famille.
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The Way Of The Blood
VampireUne ville étrange, des habitants renfermés, des passés lourd. Lorsque Honey dix huit ans, s'installe à Glenwood avec ses parents et son frère Mickael. Venu de son plein gré, en raison du travail de sa mère. Elle n'aurait jamais crue qu'en arrivants...