Pause

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J'ai lu dans tes yeux l'embarras
Sur tes lèvres, j'ai compris les dégâts
Des disputes qu'on avait autrefois
Quand on se lançait piques en bois

Je n'osais dire quelque chose
Je craignais que tu exploses
La peur avait atteint l'overdose
Et tu as dit soudain "une pause"

Ta main s'en est allée loin
Ton cœur s'est caché dans un coin
Tu m'as donné dos sans un câlin
M'abandonnant comme du foin

Je le sais, tu n'attendras pas ce soir
Tu ne parleras plus de mes déboires
Dans le canapé, j'irai me choir
Espérant que la faucheuse en noir
Souriante, veuille bien me recevoir.

Vertiges du CœurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant