CHAPITRE 2
Je deçida de secher les cours le reste de la journée. Mes parents ne me poseraient pas de questions, car ils sont au travail. Je rentra chez moi en claquant la porte.
Jetta mon sac à la volée. Et hurla le plus fort que je peux.
Je pleurais et criais en même temps.
How oui ! Ils allaient payer.
Sur le moment je me sentais puissante. Je savais que c'était à leur tour de souffrir.
Et je déçida de commencer mon œuvre tout de suite.
Je monta dans ma chambre, prix de l'encre, une plume, du papier à lettre et me mis au travail.
'' La vengeance est un dont quand on sait s'en servir. Ce qui ne sera pas votre cas. Je ne suis pas seul. L'heure de la vengeance est proche mes amours. Faites gaffe à vos téléphone.
Z. ''
Je signa '' z '' pour montrer la fin. Dans ce cas-ci c'était la fin de l'alphabet. Mais pour moi c'était la fin de plusieures vies, qui allaient d'ailleurs pas tarder.
Je mis un manteau noir à capuche. Des bottines noirs, pris soigneusement ma lettre et partis en direction de l'école.
J'arriva a rentrer discretement dans le bureau du proviseur. Finalement, la lettre ne me seravit à rien, j'avais trouver mieux.
Je ferma la porte à clef et pris le micro. Je pris ma voix la plus grave.
'' LA VENGEANCE EST UN DONT QUAND ON SAIT S'EN SERVIR. CE N'EST PAS VOTRE CAS JE NE SUIS PAS SEUL. L'HEURE DE LA VENGEANCE EST PROCHES MES AMOURS. FAITES GAFFE A VOS TELEPHONES. Z. ''
Je me sentais puissante. Un sourire apparu sur mon visage.
Quelqu'un frappa à la porte.
- OUVREZ !!
C'était le proviseur. Il frappa plus fort. Et continuais à crier. J'ouvris la fenêtre, par chance, c'était pas si haut. Je sauta. Et courra jusqu'à chez moi.
J'avais laisser la lettre sur le bureau.
Il devait être 16H. Mes parents ne seraient donc pas à la maison.
En rentrant, je vis une lettre sur la cuisine.
'' Je ne rentrerait pas ce soir, pizza au frigo bisous. Maman. ''
Bien, ça me donnait l'occasion de réfléchir à mes plans.
Je m'assis dans le divan et alluma la TV. Et sans penser, je m'endormi.
Quand je me réveilla il faisait noir. Je regarda mon gsm, 2H38.
- Maman ?
Ha oui c'est vrai, elle était pas là.
J'entendis un bruit à l'étage.
- Y'a quelqu'un ? Sanglotais-je.
Ho et puis merde ! Je suis '' z '', j'ai peur de rien !
Je pris un rouleau à pattisserie et me diriga vers les escaliers.
- J'ai pas peur de vous ! Je suis plus forte que vous ne le penser !
Malgré '' z '' Je tremblais de peur.
Un nouveau craquement.
Bon, j'appelle la police. Non. Non non non !!
Je monte trois marches.
J'entends des rires. Merde ! Ils sont plusieurs.
Il fait tellement noir qu'on se croirait dans '' carrie '' j'ai jamais vu ce film mais j'imagine que les scène doivent être à peu près comme ça.
