Histoire n°1 : LES TRAINS « Les étoiles sont éclairées pour que chacun puisse un jour retrouver la sienne » Antoine de St Exupéry ; Le Petit Prince. Prologue Partout dans le monde il y a des trains, des trains rouge, gris bleu et bien d’autres couleurs. Il y a des petits trains des grands trains, des trains de villes et de campagnes. Les trains voyages, ils transportent tous types de d’objets et des personnes …. En côtoyant des paysages plus ou moins beaux. Dans notre monde les trains ne sont pas libres, ils suivent seulement les chemins dessinés par les hommes Dans ces nouvelles les trains vont réaliser leurs rêves.
A votre avis ou iraient-ils ?
Un billet pour le japon.
I
Je suis un train rouge un vieux train à vapeur, ou plutôt une locomotive à vapeur, je suis l’une des premières à avoir parcouru les chemins de rails que les hommes ont dessiner. Pour le coté histoire, la première locomotive à vapeur a été construite par Richard Trevithick en 1804 en Angleterre.
Toute ma vie j’ai conduit des familles, des Hommes seuls, à travers ces rails, mais moi ne m’a-t-on jamais demandé ou j’aimerai aller.
Aujourd’hui je prends ma retraite, et voilà le voyage que je vais parcourir. Ce n’est pas n’importe qu’elle voyage c’est mon dernier voyage celui qui me fait rêver chaque nuit. Mon voyage commence au début du printemps, dans une petite gare de campagne en montagne.
Là-bas le paysage est montagneux avec des plaines vertes. Les rails commencent à être un peu usés, le bois commence à se fendre et on peut voir de la rouille à quelques endroits. Mais elles restent solides. Alors cela ne m’inquiète pas. J’en profite pour respirer l’air pur de ces plaines. Le vent souffle entre mes wagons. Le soleil est haut dans le ciel et la vieille cloche de ma gare vient de sonner le premier coup de l’après-midi. Ça y est, il est l’heure pour moi de partir achever mon dernier trajet. Ça sera un aller simple vers mon hangar de retraite. Après quelques heures le paysage c’est transformé. Les montagnes, que j’apercevais au loin, m’encerclent. Je vais dans quelques instants passer dans le plus grand tunnel de la région, il se situe dans les montagnes de la chaine de l’Altaï en Mongolie. Il m’emmène tous droit vers le désert de Gobi.
A la sortie du tunnel se trouve une toute petite gare bien plus petite que la mienne. Une seule personne occupe cette gare. Le vieux monsieur Stonler. C’est lui qui se charge de remettre du charbon dans mes fours. Le trajet va être long il ne faudrait pas manquer de charbon surtout au milieu du désert.
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II
Dans le désert de Gobi, les rails sont souvent ensevelis par un sable aussi blanc que la neige. De plus les journées y sont très chaudes et les nuits très froides. On peut aussi apercevoir des ours, ce sont des Mazaalais et ils sont un peu des rois de ces déserts. Le froid commence à se faire ressentir peu à peu, je décide alors d’augmenter ma vitesse afin de rejoindre ma prochaine gare. Direction la Mongolie intérieure ! Je dormirais à cette gare et demain à l’aube je reprendrais mon chemin direction la chine puis enfin ma destination finale.
