Quelle vive blessure, cet ami éloigné,
Et cruelle cassure, abîmant mes pensées.Je me noie de douleur, ressassant les sourires,
S'installe une torpeur, qui ne fait que punir.Qu'ai-je donc bien pu faire, pour mériter le glas,
De l'amitié sincère, espérée malgré moi.Mais la vie continue, et console mes pleurs,
Et les espoirs diffus, qui imbibent mon cœur.Au revoir amitié, tu étais de passage,
Nous ne pouvons nier, notre entente mirage.
VOUS LISEZ
Poétique
PoetryMéli-Mélo des poésies et poèmes ayant traversé mes pensées au cours de ces dernières années.