This boy ~ BWS (The Vamps)

Chapitre 24

Je m'était bouclés les cheveux, ces derniers tombaient parfaitement sur mes épaules. J'avais sur le visage un maquilla que j'adorais : un traie de linner, quelques paillettes et un rouge à lèvre rouge. Quand à ma tenue, j'avais opté pour une robe noir à manches longue, elle avait un  décolleté qui laissait voir le haut de mon tatouage, et de simples escarpins noirs.

Quand je sortis de la salle de bain adjacente à la chambre de Brad, mes yeux n'en revenaient pas. Il avait sur lui une chemise blanche, des bretelles et un noeud papillon assortie dans des tons bordeaux. Pour accompagné le tout, il avait mis ses Docs. Il était si parfait ainsi.  Brad me sourit avant de passé sa mains dans ses cheveux.

« Tu es vraiment très belle. Il me fit un clin d'œil avant de me prendre par la taille.
- Tu es plus que pas mal non plus Simpson. J'alla pour l'embrassé mais il recula la tête. J'arqua un sourcil face à sa réaction.
- Désolé mais je n'ai pas vraiment envie d'avoir de rouge à lèvre sur moi. Il m'embrassa le front.
- Brad ... mon rouge à lèvre est sans transfère, mais bon si tu ne veux plus de me baisés j'irai voir Jesse pour ça. Dans un petit rire, je me détacha de lui et fis mine de m'en allé.
- Attends deux minutes McVey. » Il me rattrapa par la main et me fit tournée jusqu'à lui. Un foie nos torses collé, il fit de même avec nos lèvres.

*

Je descendu, par la suite, les escaliers au bras du bouclé. Arrivé au milieu, la mère de Brad nous arrêta pour nous prendre en photo. Puis Natalie se joignit à nous pour une seconde.

La sonnette retentit dans la maison, c'est sur Derek que la porte s'ouvrit. Il dit bonjour à toute sa famille avant de se dirigé vers moi. C'est en me disant à quel point il était heureux d'avoir la fille McVey chez lui, qu'il me prit dans ses bras.  Nous l'aidions à se débarrassé de ses course, puis il partit s'habillé.

*

Installé dans le salon, j'était sur les genoux de Brad tandis que sa soeur était assise accoté de lui.Nous étions en pleine conversation quand sa soeur nous demanda :
« Alors ça c'est fait comment vous deux ? Elle avait un petit sourire en coins.
- On partageait une chambre lors que la dernière tournée. Et une chose en entrainant un autre... Brad me coupa dans mon récit pour rajouté :
- Elle ma embrassé lors de mon anniversaire. Il affichait un sourire de vainqueur. Je le tapa sur l'épaules. Mais c'est moi qui avait commencé en lui glissant quelques baisés dans le coups, par ci par là. Brad et sa soeur se mirent à rire gentiment.
- Alors vous deux ! Je vous adore c'est incroyable. Elle se mit à rire de plus belle. »

*

Pendant que Brad et Natalie discutaient avec leur père dans la salle à mangé, j'aidais Anne-Marie en cuisine.
« Tu sais ma puce je suis heureuse de t'avoir avec nous pour les fêtes. Elle me fit un grand sourire.
- Je suis également heureuse d'être là, avec vous. Elle passa une main dans mon dos.
- J'aime voir mon fils comme ça. Il est heureux avec toi, je le voie dans ses yeux. Il t'aime d'un amour sincère tu sais. Mais je connais ton histoire et j'imagine que lui aussi. Ma petite Cameron, ne laisse pas ta peur tout gâché je t'en pris. Elle me fit le plus doux des sourire avant d'ajouté : Bradley ne te fera jamais de mal intentionnellement. Il t'aime a un point qui nous dépasse tous. Elle avait les larmes aux yeux.
- Vous savez... j'aimerai aussi l'aimé tout autant. Mais je ne peux encore me résoudre à l'aimé comme il le mérite. Une larmes coula sur la joue de la petite femme. Mais je sais, que grâce à lui, un jour mon coeur se regonflera d'amour. Et que cette peur ne sera plus que mon passé. Elle me prit fortement dans ses bras.
- Tu sais Cameron je t'apprécie beaucoup... je serai là quand tu en aura besoins. Elle me sourit en essuyant ses larmes . Aller zou, vas rejoindre ton chéri... j'arrive dans une minute. » Je lui fis un bisou sur la joue avant de sortir de la cuisine.

~~ B

Quand elle entra dans la salle à mangé, je vis dans son regard que quelque chose l'a travaillait. Elle avait sur le visage un sourire, mais je la connaissais, ses yeux émeraudes parlaient pour elle.

Je l'a pris sur le côté pour lui demandé si ça allait. Elle m'avait simplement répondus que m'a mère avait sue lui dire certaine choses, mais que tout allait bien. Cameron m'avait embrassé, avant de me tiré par la main vers les autres.

*

Nous étions tous attablé, nous parlions simplement, sans blancs. Mon père prit la parole : « Alors, Hail' ... »
Je n'entendis pas la fin de sa phrase. Cameron avait cessé de bougé, des larmes menaçaient de coulées.

Je me leva de ma place pour aidé Cameron à  sortir de table. Je récupéra en coup de vent nos manteaux avant de nous dirigé dans le jardin. Une foie dehors la brune s'effondra. Je sentie  son corps se dérobé de mes bras, elle s'était assise violemment sur le banc.

Je vins m'assoir à ses cotés. Sa tête se cala sur mon torses. Les Larmes étaient sur les bords de ses yeux, mais rien ne coulait. D'une fine voie je lui demanda :
« Cameron parle moi... je suis là. Elle se redressa et son regard se perdit au loins.
- Ce n'est pas de sa faute Brad, n'en veux pas à ton père. Je te dis ça car je te connais. Un petit sourire se dessina sur le coins de ses lèvres.
- Très bien, alors si ce n'est pas de sa faute, qui a-t-il. Tu as cessé de bougé d'un seul coup. J'ai eu la peur de ma vie Cameron! Je pris sa mains dans la mienne.
- Hail' ... Hail' est le surnom que l'homme qui fut mon père me donnais. Elle redirigea son regard vers moi. Mon nom complet  est Cameron Hailyne McVey, il a jamais aimé Cameron alors il m'appelait par mon deuxième prénom. Je serra  sa main dans la mienne. Ton père étant son ami, à retenue ce surnom. Tu sais je ne lui en veux pas, il ne pouvait pas savoir.
- Je ... je ne sais pas quoi te dire princesse. Je suis désolé que cet homme t'ai fait autant de mal. Je l'a regarda avec tout l'amour de mon coeur. Elle me fit un baisé.
- Ne sois pas désolé Brad. Je vais bien... tan que tu ... tan que tu es là. Je pris son visage en coupe dans mes mains. Ne me laisse pas tombé, je t'en pris.
- Jamais princesse, je t'aime de trop pour ça. Elle passa sa main libre dans le creux de mes reins alors que je l'embrassais. Je me leva ensuite,  puis devant la porte de la maison, je lui demanda : Tout roule McVey ?
- Tout roule Simpson. »