Aomine X Reader (Kuroko No Basket)

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PDV: Reader

Je me souviens de beaucoup de choses qui se sont passé dans ma vie, des moments banals jusqu'aux plus importants, qu'ils se soient passer lors de mon enfance ou bien il y a quelque heure seulement, je m'en souviens, c'est tout. Mais il y en a un, un en particulier qui à marquer ma mémoire. Pourquoi est t-il spécial à mes yeux, je ne sais pas. Par la joie, la tristesse, l'amusement que j'avais ressentie se jour là ? Je ne sais pas, encore aujourd'hui. Je m'en souviens, c'est tout, et je n'aimerai l'oublier pour rien au monde.

 J'étais encore au collègue à cette époque de ma vie, grande fan de basket et particulièrement de l'équipe de mon établissement:  La génération Miracle. Le génie de chaque membres de l'équipe était évident et ils excellaient tous dans leur jeu. Je n'étais pas forcement très proche d'eux à se moment là, j'allais simplement assister à leur entrainement lorsque j'en avais le temps. Je restais à l'étage et j'observais en silence, peu de joueurs du club m'avaient remarqué ou même connaissaient mon existence. Et oui, moi, (t/p) (t/n) n'était pas une de ces personnes populaires avec une forte présence, que toute un établissement connaisait, je n'étais ni un génie dans quelque domaine que ce soit ni une beauté similaire à celle se trouvent dans les magasines. Non je n'étais rien de ça. J'étais simplement (t/p) (t/n), une fille banal qui était tombée amoureuse de toi: Daiki Aomine.

Le moment d'on j'aime me rappeler date un peu est-ce que tu t'en rappelles  

Nous étions en 5°, à ce moment là. Mon neveu était venu de France pour passer ses vacances d'été au Japon. C'était quelques heures avant que (p/n) ne reprenne l'avion pour rentrer chez lui.

(p/n) et moi étions allé sur un terrain qui se trouvait à quelques minutes de l'aéroport. Nous avions joué au basket car on adorait ça. Jouer à notre passion préférer jusqu'à là fin, c'était notre tradition à ce moment là.

Ça lès toujours d'ailleurs, et nous nous amusons toujours jusqu'à la dernière minute.

Nous jouions tout les deux comme des enfants insouciants, ignorent toute la douleur du monde. Nous nous amusions bien tous les deux mais je me fis interpeller par quelqu'un que je reconnaîtrais entre mille. Cette personne c'était toi: Daiki Aomine. J'avais rougie comme c'est pas permis en te voyant à ce moment là.  

Je rougie toujours en te voyant d'ailleurs, l'as tu déjà remarqué ? 

Et oui, je t'aimais déjà à ce moment là. (p/n), qui voulait imiter cupidon, t'avait proposé de jouer avec nous et évidemment tu avais accepter.Tu ne refusais jamais un match de basket.

Tu m'avais parlé chaleureusement en m'appelant par mon prénom. Je n'avais pas fait de réflexion la dessus. J'étais aussi rouge qu'une tomate et aussi choquée te tu connaisses le nom d'une personne aussi banal que moi et j'en étais contente.

Oui j'étais heureuse à se moment là.

Tu jouais comme un dieu, un véritable as du basket, même en deux contre un tu nous écrasais. (p/n) avait fait une pause et nous regarder nous amuser. J'avais beau perdre à chaque fois je n'abandonnais pas, j'étais trop heureuse de jouer avec toi. Je voulais que ce moment dur encore longtemps. Nous avions continuer de jouer tout les trois, nous rigolions, avions le sourire aux lèvres. J'aimais ton sourire à ce moment là. 

Je l'aime toujours d'ailleurs. Où l'as tu mis ? 

Le moment du départ arrivait et tu avais proposé de m'attendre pour continuer de jouer. Mon neveu t'avait dit au revoir et nous étions partit à l'aéroport. (p/n) nous avait dit au revoir, à moi et autres membres de la famille. J'avais regardée son avion s'envoler pour la France, quelques larmes coulaient sur mes joues. 

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