Réponses aux questions existentielles nécessitant réponses

De quelle couleur est le cheval blanc d'Henri IV ?

À travers l'histoire, nombreuses sont les personnes ayant tenté de répondre à cette question. Un beau jour, alors que l'heure du thé approchait, un cheval fit  irruption dans le quatorzième salon de la reine Elizabeth. Celui-ci glissa sur le tapis, trébucha contre une table en Acacia Japonais (importée d'Italie qui fait face à l'Afrique du Sud) et alluma involontairement, sans le faire exprès, par accident et sans le vouloir un Jukebox qui trainait par là, ce jour là, la chanson "Music Fuck the Masses" de Terrence Babouinos, retentit dans tout Buckingham Palace pendant un bon quart d'heure, le temps qu'un électricien traverse les 73 couloirs, 68 chambres, 42 cuisines, 114 salles de bains et 56 salons de l'aile Q bis allée 19 du palais et vienne régler le problème. Le cheval prit la fuite. Dans la précipitation, il renversa la tasse de la reine et fit s'effondrer le château de bouteilles de Cristaline du petit Jean Kulacek, fils d'un cousin serbe en visite à Londres. Déçu, le petit Jean décida d'aller se promener aux bois avec Robin. La reine quant à elle, s'apprêtait à poursuivre le cheval trouble-fête en motocross lorsqu'elle remarqua à la couleur de la tasse (Bleu Fushia pâle) que son thé était empoisonné. (en effet la couleur de sa tasse était certainement dûe à la présence d'oligoglucozynine dans son thé, un poison très puissant utilisé notamment pendant la guerre de Kaunas qui dévasta la Lituanie toute entière pendant près d'une heure et demie) Elle décida donc de rassembler les chevaux du royaume. Cependant, un mauvais plaisantin avait repeint les 14298 chevaux de la reine en blanc. Elizabeth désespérait de ne pas pouvoir retrouver le héro chevalin. C'est alors qu'elle eût une idée de génie. Elle alluma le Jukebox et lança "Music Fuck the Masses". 14297 chevaux restèrent immobiles. Le dernier, secoua la tête et commença à esquisser quelques pas de danse. La reine identifia immédiatement son sauveur, et le fit Cheval Yeah ! de la légion d'honneur. N'ayant aucune idée de son nom, elle tira une fléchette dans le calendrier afin d'attribuer un nom à son nouvel ami. Cependant, la reine Elizabeth étant une piètre joueuse de fléchettes, rata complètement sa cible. La fléchette alla se loger dans l'entre-jambe d'un certain Henri Caumassiasse. Celui-ci poussa un cri terrible et répéta très bientôt exactement quatre fois (à peu de choses près) la phrase suivante : "Excepté une fois au Château". Henri, 4 fois, il n'en fallut pas plus à la reine pour choisir un prénom. Henri IV serait parfait pour un prénom chevalin. Depuis ce jour, le cheval blanc nommé Henri IV fut blanc. La couleur du cheval blanc ayant appartenu à Henri IV resta quant à elle inconnue pendant de nombreuses années, jusqu'au jour où un allemand d'origine mexicaine en vacances à Châtelet, avala son Fish and Chips de travers et s'écria : "Lou pescadou no pa fraichou !" Le serveur du restaurant, Juan Pablo Esbobar (célèbre joueur de poker hollandais un peu mytho), fut soudain éclairé par une lumière divine, désormais il savait ce qu'il lui restait à faire. Il se rendit donc à Madagascar à vélo. Là bas, un vieux sage Hindou aux allures de cow-boy, (c'est ainsi que Juan Pablo le décrivit) lui enseigna la recette des lasagnes végétariennes. Esbobar continua son périple jusqu'à la petite ville de Rutabaga-sur-Mer, là bas, toutes les maisons étaient peintes en Bleu Fushia pâle, même couleur que le thé empoisonné de la reine Elizabeth. Juan Pablo fit immédiatement le lien entre les deux. Le cheval blanc d'Henri IV était blanc, comme le cheval blanc Henri IV, et ce depuis toujours.