Chapitre 4 : Apparence

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Chapitre 4 : Apparence

Une lumière aveuglante me réveilla. J'ouvris les yeux et vis Lucas tellement proche de moi que je sursauta. Ma tête cogna contre quelque chose de dur. Des barreaux en haut, en bas, a droite, a gauche oû que je regardai il n'y avait que barreaux. Lucas se retira précipitament de la cage et avant même que je fasse un mouvement il la ferma à l'aide d'un gros cadenas. Il demanda à ses frères également présent dans la pièce :

- Elle aurait pas du avoir une museliere ? J'aurais pu me faire attaquer.

- Elle l'aurait pas fait, de tout façon vu qu'elle t'aime. Enfin c'est ce que tu nous a dit, répondit Alexandre.

- Oui c'est vrai mais sur le coup sa fait peur.

- HÈ houhou je fait quoi de ça ? cria Simon à l'autre bout de la pièce.

Il tendit des vétements. Mes vétements ! Je voyais aussi qu'il tenait mes sous-vétements. Ce qui voulait dire que j'étais tout nue. Je me sentie rougir. Et vis Lucas rigoler :

- Tu peux les jeter, elle en aura plus besoin de toute façon.

- Pas faux, dit Simon en les jetant à la poubelle.

Je ne suis pas d'accord ! Comment ça je n'en aurai plus besoin. Puis je baissa les yeux et je fus choquée. Je me disais bien que c'était bizarre que je n'ai pas froids. J'étais recouverte de poils partout, entierement. Je me leva, m'assit et vu que je possédais des pattes musclées et sûrement puissantes. Je possédais également une petite queue de 20 centimétre. De grandes griffes acérées au bout de mes pattes et le reste il fallait se voir dans un miroir pour le découvrir. Je chercha une glace du regard quand Gabriel m'interompis dans mes recherche en disant :

- Regardez je trouve ça trop drôle. Elle vient de s'apercevoir qu'elle à changer.

Drôle... Il trouvait ça drôle. Je senter monter en moi les larmes et la colère. Je ne savais pas ce qu'ils allaient faire de moi et je ne voulais pas savoir. Pendant qu'ils discutaient de je ne sais trop quoi j'essaya d'ouvrir la cage. Pas facile ! Mes grosses pattes poilues ne trouvaient pas prise sur le métal de la cage. Après cette veine tentative, j'essaiya une notre plus bruiante mais peut-être plus efficace. A la une... A la deux... Et... A la trois. Je me jeta furieusement sur la porte qui ceda sous mon poids. Etalée par terre je voyais danser des étoiles devant mes yeux. Je repris vite mes esprits et jeta un coup d'oeil aux garçons. Ils me regardaient tous choquée. Mais je ne devait pas m'arréter. Je ne devais pas oubliée qu'ils m'avaient tramsformée en je ne sais quoi. Je détala. Gabriel sembla reprendre ses esprits plus vite que les autres car il cria :

- Mais punaise les gars reprenez-vous, notre gagne pain s'échappe !!!!!

Donc voilà comment j'était considerer, comme gagne pain. Tandis que je courais, dérappais et tout le tralala je me posais plusieurs questions comme " pourquoi moi ? " ou encore de style " et Lucas ? Lui aussi était dans le coup ? ". J'étais tellement plonger dans mes pensée que je cogna la porte en bois qui, une fois ouverte, me mènerai a la liberté. Je tournai la tête pour voir comment je pourrai l'ouvrir et mon regard s'arréta sur la glace. Je restai glaçée de stupeur. Il me fallue un certain temps pour me reconnaitre. Mes pattes musclés et la queue je l'avais déjà remarquer mais là je me voyais vraiment. Je ressemblais à un grand félin. Mais je possédais également deux grandes canines qui ressortaient de par leur blancheur. Ma fourrure, elle, était ttes sombre d'un brun fonçée avec des rayures d'un noir profond. Plaçée a la lumière artificielle elle paraissait de couleur miel. Je trouvais ça très joli. Mais ce qui attira le plus mon regard étais mon regard lui-même. C'était le mélange du vert émeuraude, du turquoise et du rouge sang. J'adorais. Mais un violent choc me rammena à la réalité et un mal de chien atroce me vrillait la tête. Je tourna mon regard puissant vers la cause de ce mal de crâne. Lucas tenant une poêle dans la main me menaçant de celle-ci. Une poêle... Et il semblait super sérieux avec ça. C'était a ce " poêler " de rire. Mais les circonstance ne l'était pas et je n'était pas disposer à rire. Je me tapis prés à sauter et lui leva sa poêle prés à frapper. Je m'élança de toute mes forces comme pour la grille mais il abatit sa poêle sur mon crâne. Je m'affala au sol ayant du mal à respirer, paniquer je regardais autour de moi mais tout devenais flou. Avec un dernier effort et trés peu de visibilités je m'élançai sur la forme de Lucas, sortis mes griffes et montra les crocs et je le mordis. Où ? Je ne sais pas mais je ne lacha pas prise je mordais de toute mes forces sentant le sang chaud couler dans ma gorge. Je l'entendais hurler mais il me semblais tellement lointain. Je me sentis tomber dans le subconsient et avant de sombrer je le griffa avec mes dernières formes.

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Salut c'est Glem, je suis désolée de ne pas avoir publiée mon chapitre assez vite mais en fait je pensais arréter et recommencer un autre livre mais j'ais reçu des commentaire qui mon fait vachement plaisirs et je me suis dit qu'il fallait que je continue. Voilà c'est j'espere que le chapitre vous a plu.

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