Au petit matin, Abby dormais paisiblement lorsque la sonnerie de son téléphone retentisse. Ça voulais dire "c'est l'heure d'aller au lycée". Abby était plutôt matinale. Elle n'aimais pas aller au lycée mais respectais les devoirs et travaillait comme il fallait. C'était certainement la plus studieuse de sa classe.
Abby ne se maquillait pas, ne serai-ce qu'un peu de mascara de temps en temps. Elle se trouvait jolie naturellement. Et elle l'était !
Elle passa a la douche, enfila un joli top noir et un jean bleu.
Elle s'attacha les cheveux en chignon et pris un café en guise de déjeuner. Une paire de baskets au pieds, elle pris son sac a dos.Charlotte la rejoignit et elles prirent le bus ensembles comme chaque matin avant les cours. Après 15 min, les 2 cousines sortirent du bus pour arriver en face du lycée. Charlotte laissa Abby pour rejoindre ses amies et Abby fit de même. Elle discuta notamment avec Aurore sa meilleure amie d'enfance.
Le premier cours de la journée c'est les mathématiques. Matière dont redoute le plus Abby : premièrement elle n'aimais pas cette matière et deuxièmement elle avait une interrogation qu'elle n'a pas fini de révisé car Baptiste était venu.
Elle fut part de ses inquiétudes a Aurores :"J'ai pas fini de réviser hier, je vais me prendre un zéro 😭
- si ça peut te rassurer j'ai même pas ouvert mon classeur donc reste zen. En plus tu peux avoir la moyenne !
Abby ne répondit pas car ils étaient déjà arrivés dans la salle de classe. Mais avoir la moyenne n'est pas assez.
La jeune femme se mettait trop la préssion et elle en avait conscience.Lorsque la sonnerie annonça la fin de l'interrogation, Abby se dit que finalement ca aurait pu être pire.
Elle continua ses cours ennuyeux mais gardais le rythme au fil de la journée. Vers 16h, elle appela Baptiste pour lui proposer de faire un ciné après les cours qui se terminaient a 18h. Il accepta et lui dis qu'ils se retrouveraient là bas.
Pendant ses derniers cours, Abby ne pensais qu'à la sortie au ciné peu après. Elle avait l'impression de retomber amoureuse de Baptiste comme la première fois.Abby entra dans le cinéma. Elle chercha des yeux Baptiste. Lorsqu'elle le vis, elle ne pu s'empêcher de rougir.
"Ohh c'est trop mignon comme tu rougis en me voyant
-ne te fais pas des idées, j'ai ... Couru... C'est tout.
-ouai ouai c'est ça !
-on regarde quoi comme film?
-Comme tu veux princesse."
Abby eu soudain le regard triste. C'était son père qui l'appelait par ce surnom quand elle était petite. Baptiste compris immédiatement (il connaissait Abby par cœur) il s'excusa puis dit :
"t'a raison je vais plutôt t'appeler l'ogre, c'est plus représentatif ! Baptiste avait dit cela si sérieusement. C'était le genre de personne qui préfère faire rire une personne quand elle est triste .
Abby explosa de rire. Puis se trouva bête, c'était pas très drôle. Pourtant en un instant elle avait oublié ce drame.Ils achetèrent les places de cinéma pour aller voir un film d'action.
Durant la durée du film, Baptiste ne pensais qu'à Abby, il ne pouvais s'empêcher de se trouver con de l'avoir appelé "princesse" il aurait dû réfléchir. Il ne voulais pas lui faire du mal ni la bléssée. C'était ça pire crainte.
En sortant du cinéma, le jeune homme embrassa Abby. Ce baisé provoquait une sensation inexplicable, presque magique.
Il ne voulais pas la quitter."Avec toi ça passe tellement vite ! On pourrait se revoir après les cours demain ?
- Je suis vraiment désolée, j'ai dance moderne après les cours.
-c'est pas grave. Je te racompagne ?
-Avec plaisir", répondit Abby.Les amoureux passèrent dans les rues comme un rayons de soleil. Ils riaient, discutaient. Ils étaient heureux.
Abby se demandais même si elle allait se réveiller et voir que tout ca n'était qu'un rêve. Pourtant elle ne se réveilla pas. Et continua son chemin.
VOUS LISEZ
Plus que 100 jours (Terminé)
RomanceLorsque Abby apprends qu'il lui reste plus que 100 jours avant que son cœur cesse de fonctionner, elle comprend que plus rien n'a d'importance, son copain, les cours, l'amour... Il lui reste 100 jours pour s'amuser et profiter de la vie. Elle ne ve...