I.

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Je me réveil comme tout les jours à huit heure. Je commence à neuf heure aujourd'hui, donc ça va j'ai le temps.

Je me lève de mon lit, sors de ma chambre et pars prendre une bonne douche chaude. Après cela je reviens dans ma chambre, et je m'habille. Ma tenu est composer d'un jean noir trouer aux niveaux des genoux, un sweat lui aussi noir et mes converses noir et blanche.

Je sors de ma chambre et descend dans la cuisine pour prendre mon petit déjeuner. Je me fais un café noir corsé avec des tartines de pains à la confiture de fraise.

Une fois tout ça fait, je regarde l'heure sur mon portable. L'écran indique huit heure et demi. Je le range dans ma poche de pantalon. J'oublie pas de prendre mes clefs sur le bar de la cuisine, et mon sac de cours à coter de la porter d'entrée. Je sors de mon appartement, ferme la porte à clef, je les mets dans la poche de mon sweat, puis pars en direction du lycée même si je suis en avance, comme d'habitude quoi.

Mon appartement est à quinze minutes à pied du lycée, ce qui est plutôt pratique. Je marche tranquillement dans les rues froides du froid hivernale qui pointe le bout de son nez, après un bel automne aux températures abordable.

Je m'arrête et respire un bon bol d'air frais. J'aime l'hiver c'est ma saison préféré, j'aime le froid et les températures glaciales de cette magnifique saison. Un léger sourire prend place sur mes lèvres à cette pensée. Je sors de ma rêverie et reprend ma marche vers mon établissement scolaire.

Dix minutes plus tard j'arrive devant mon école. En arrivant je reconnaîs directement Marco et Jean. Le brun est dans les bras du bicolore, ils se lâchent jamais ces deux là toujours collé l'un à l'autre. Comme on dit "c'est l'amour fou", je m'approche du couple.

-Salut ! Dit-je joyeusement en souriant, le couple se tourne vers moi.

-Salut Eren, ça va ? Me demande Marco en souriant toujours dans les de son copain.

-Yosh ! Dit Jean en regardant son meilleur ami depuis l'enfance.

-Ça va super bien et toi ? Demandais-je au brun avec les tasses de rousseurs.

-Ça va ! Répont-il avec un énième sourire.

-On rentre dans le bahut ? On se les cailles ici. Rétorque Jean en râlant à cause du froid qu'il n'apprécie pas comparé à moi.

-Ouais ! Dis-je.

Ont rentrent tout les trois dans le lycée, en ouvrant la porte du hall, on se fait directement agresser par la chaleur des radiateurs.

Ont montent à l'étage puis ont se posent sur un banc avec Armin qui vient de nous rejoindre.

-Je suis toujours le dernier ! Se plaind le petit blond en s'asseyant sur le banc.

-C'est pas grave si tu es dernier. Dit Marco avec sa douce voix posé.

-Mouais si tu le dis. Dit-il peu convaincu.

Je m'avachis sur le banc, et par je ne sais quel moyen, tombe de celui-ci. Mes trois amis partent en fou rire.

-Bah alors Jeager on sait plus s'assoir ? Dit Jean en rigolant, je m'assoie en tailleur sur le sol, fais un doigt d'honneur au biclore et lui tire la langue, laissant apparaître mon piercing sur celle-ci. Il continue de rire.

-Tu sais pas t'assoir sans tomber ? Me demande Armin lui aussi en rigolant.

-Mais je vous enmerde ! Leurs dis-je en faisant une tête boudeuse.

-Mais quel enfant celui là. Rajoute Marco avec un léger rire tout en essayant de se calmer de son fou rire.

La sonnerie annonçant le début des cours retentit, calment presque immédiatement Armin et Jean.

Ont se lèvent du banc qui n'est pas si confortable que ça en faite, met notre sac de cours sur notre dos, et on part en direction de notre salle de cours. Marco, Jean, Armin et moi sommes dans la même classe en terminal littérature. (NDA: je sais que maintenant il y a plus les filière, c'est des spécialistés, mais c'est paaaaaas grave) Je sais pas ce que je fou dans cette filière mais je suis là.

Ont montent au deuxième étages, puis ont entrent dans notre salle de classe après l'avoir trouvé. Jean et Marco se mettent à coter vers le milieu de la salle, Armin se met à côté de Mikasa au deuxième rang en face du tableau. Quant-à moi je m'installe au dernier rang à coter de la fenêtre et du radiateur, mon voisin de classe Livaï Ackerman est déjà la. Je suppose qu'il écoute de la musique puisqu'il a ses écouteurs dans ses oreilles, et ne semble pas avoir remarquer ma présence.

-Oï arrête de me fixer comme ça gamin. Dit le noiraud à coter de moi en relevant la tête de son téléphone. J'harque un sourcil.

-J'ai le droit de te fixer si je le veux.

-Ouais, mais nan, j'aime pas ça donc arrête. Il reporte son attention sur son téléphone.

La prof de français entre dans la pièce, Livaï range son téléphone et moi je sors mes affaires.

Une heure après la cloche retentit annonçant la pose de dix heure. Les gens partent plus ou moins bruyamment de la salle. Je range mes affaires dans mon sac, mais sent un regard lourd et insistant sur moi, je ne sais pas qui me regarde comme ça, mais ça m'en donne de frissons. Je lève la tête de mon sac pour voir qui me regarde avant autant d'insistance. Mes iris émeraudes viennent se perdre dans les iris orageuse de Livaï. J'harque un sourcil.

-Pourquoi tu me regardes comme ça ?

-Je me posais juste une question c'est tout. Me répont-il, je me tourne un peu mieux vers lui.

-Et c'est quoi cette question ?

-Pourquoi tu portes des sweats h24 ? Même en pleine canicule tu en porte, t'as quelques chose à cacher peut-être ? Me demande t-il en harquant un sourcil. Je me crispe un peu et le regarde surprit, comment sait-il ça ?

-Comment tu sais que je porte des sweat en été ?

-On est dans la même classe depuis la quatrième. Dit-il avec son air impassible.

-Ah ok. C'est vrai que maintenant que j'y pense on est dans la même classe depuis le collège. Et pour répondre à ta question, j'aime les sweats c'est tout et je n'ai rien à caché. Lui répondis-je en souriant. Il me regarde sans parler.

-Ok. Il se lève et sort de la salle, vue comment il a dit sa phrase, il ne me croit pas du tout. Je sors à mon tour de la pièce.

Descend les deux étages ou j'étais, et pars au coins fumeur. Comme d'habitude il n'y a jamais personne ici. Je m'assois sur un des nombreux bancs désert, sors de ma poche un paquet de cigarette et un briquet. Je sors une cigarette du paquet, l'allume et commence à fumer tout en regardant le ciel perdu dans mes pensées.

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1159 mots

Broken rirenOù les histoires vivent. Découvrez maintenant