J'étais confortablement installée sur mon lit devant mon ordinateur quand je sentis mon téléphone vibrer. C'était Antoine ... Je refusais son appelle pour la cinquième fois en deux heure. Il me fait de la peine, ça fait maintenant une semaine qu'il m'appel tout les jours en pleurant pour s'excuser d'avoir fait du rentre dedans à la nouvelle blonde à extension bien roulé. Mais malgrès toute ma pitié je n'arrivais pas à le pardonner.
Je vaguer sur internet en attendant l'heure du repas mais Antoine insistait alors j'ai décidé de lui répondre ;
-Allo
- *sanglot* S'il te plaît ! Ecoute moi ! Je-je t'aime Valentine, excuse moi... *nouveau sanglot*
Même si j'essayais de me convaincre que ce qu'il m'a fait méritait toute les larmes du monde, je ne pouvais m'empêcher de m'en vouloir de l'avoir largué... Ca me faisait du mal car malgrès tout je l'aimais encore.
- Ecoute c'est fini... Tu as faiit une erreur et je suis trop vexé pour te pardonner et faire comme si de rien était ! Alors non je ne t'excuse pas.
- *crise de larmes* Non je peux pas vivre sans toi !
- Ca te passera promi-je
- Non...
Ma mère, Joël, m'appelait pour manger alors après avoir gentillement expliquer à Antoine que je devait raccrocher, je descendis les escaliers quatre par quatre (oui j'avais faim) et m'installais à table et ma mère fit de même.
- C'est bon déclarai-je la bouche pleine
- J'ai remarqué répondit ma mère ironiquement
D'un coup tout s'éteignit et nous nous retrouvions dans le noir le plus total.
- Non ! siffla ma mère, Bon attends je vais chercher les lampes torches dans ma chambre.
Elle monta aussitôt au grenier et revenu avec deux lampes torches à la main. Elle m'en tendis une que je pris et nous descendîmes à la cave où se trouver l'interrupteur. Mais la cave est toujours pleine à craquer de viieux souvenirs ou de "chose dont on pourrait avoir besoin" même si ces machins ne serviront jamais.
-Bah, je pense être un peu envelopper pour passer à travers tout ça... Tu veux bien y aller Valentine?
-Est-ce que j'ais le choix ? Demandais-je avec un sourir en coin
Je m'attacha donc mes cheveux blonds en une queu de cheval puis me mise à ramper sous les vieux vélos suspendus au plafond depuis plusieurs années déjà, depuis le départ de mon père en fait ... Plus j'avançais, plus j'étais étonnée du nombre de choses inutile qui étaient entassés ici ! Comme ces vieilles peluches datant de ma petite enfance ou cette collection de poupés en porcelaine qui soit dit en passant font vraiment flipper. Je me faufilait entre tout ces choses entassée et arriva enfin devant le dijoncteur.
- Ca à dijoncté criai-je
Je ralluma alors le dijoncteur et la lumière revenue. J'éteignit ma lampe et m'appretais à faire demi-tour mais un objet qui avait l'air ancien et que je trouvais magnifique attira mon attention. On aurait dit un coffre miniature. Je le pris dans les mains et soufla dessus. La poussière s'envola et je découvris le coffre plus propre et encore plu joli. Il s'en dégageait une odeur âpre qui me dégoûtais un peu. Je mis le coffre dans la poche de mon sweat et ressorti de la cave. Quand je fus remontée en cuisine ma mère avait déjà débarrasé. Me sentant d'aucune utilité je remonta dans dans ma chambre et posa le petit coffre sur mon bureau en face de mon lit. Je pris le téléphone et j'avais 3 appels manqués d'Antoine et 2 de ma cousine Léa. Ma cousine est pour moi une soeur que je n'ai pas et que je n'aurais jamais. Je lui raconte tout sur tout et ce fus la première au courant pour mon "histoire d'amour" avec Antoine. C'est aussi elle qui m'a révélé qu'il me trompait ... Je me souviens que je n'avais pas pu retenir mes larmes et que j'ai fondu en sanglots dans ses bras... En y repensant, mes yeux commençaient à s'humidifiés mais je m'interdis de pleurer, j'avais décidé que mon mascara valait plus chère que lui (même si je porte pas de mascara c'est juste pour dire une phrase de garce ). Alors je me mise en pijama, éteignit ma lumière et m'endormis en pensant à demain, la rentrée...
