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On se croises vers minuits dans le hall de mon appartement.

Tu n'avais rien à faire là car il n'y avait que moi qui y habitait.

Ton regard plongée dans mes yeux , tu dirige ta mains vers mon visage.

Sans un mot tu approches ta bouche vers la mienne et sous la surprise je fis tomber le sac de course que j'avais dans les mains.

Je ne repousse pas ce baiser inattendus car il me procure un plaisir indéchirable.

Je ferme les yeux pour faire durer ce moment .
J'ai finis par comprendre que tu n'allais pas en rester là.

D'un élan, tu me pousses contre le mur puis pose ta main le long de mon cou.

Doucement elle glisse jusqu'à ma poitrine.

Il y a un moment blanc.

Où il y a simplement nos regards qui s'entrecroisent, et nos respirations qui s'accélèrent.

Je fais mine de ne pas comprendre ce qu'il se passe alors que j'étais bien consciente du danger que tu nous faisait prendre.

Ta main gauche rejoint mon cou à son tour et tu le serres d'une brutalité "délicate" ...

Tu enchaînes en déboutonnant mon chemisier blanc, un peu trop serrer, qui laissent paraître la forme imposante de ma poitrine.

Avec cette chaleur , je ne pouvais pas supporter les soutien-gorge, sentir mes seins compresser en suant était un véritable cauchemars.

Quand tu compris qu'il n'y avait rien en dessous , je remarque  voir tes lèvres former un petit sourire sournois.

Qu'avais tu en tête ? Ton apparence douce s'évapore et de la fureur apparaît dans tes yeux.
Sans prévenir tu te débarrassas entièrement de mon haut en ne me lâchant pas du regard.

Cet instant était si excitant que je sentis ma culotte s'humidifier.

L'air de l'extérieur caressa nos corps.
Et je pu même sentir quelques brises chatouiller mes tétons.
A cause de toi, ils sont tendus, prêts à êtres léchés comme il se doit.

Mais tu aimes me faire attendre.

Tu continus à m'embrasser sans leurs prêter attentions.
Pourquoi fais-tu ça ? Pourquoi vouloir me faire attendre ?

Je n'en pouvais plus , j'avais besoin que tu ailles plus loin...

Je tente désespérément de participer.
Donc je me mis à toucher ton ventre puis à descendre de plus en plus bas.

Je fus impressionnée par ce que j'avais toucher en bas de ta ceinture .

Qu'est ce que tu me caches dans ce pantalons ?
J'aimerais que tu partage tout ça avec moi...

Ta main lâches mon cou et s'enfouis dans ma poche arrière. Tu prends les clés de mon appartement et tu tires la lanière de mon short en jean pour m'emmener avec toi au deuxième étage.

Depuis notre rencontre dans le hall d'entrée , nous n'avions échanger aucuns mots.

De toutes les façons nous n'avions rien à nous dires.

En entrant chez moi il n'y a que la lumière de la lune qui éclairait le salon.

Les rideaux des baies vitrées du balcon étaient ouvertes, alors le ciel étoilés se mêla au décors de la pièce.

Tu me poussa et baissa mon short d'un trait.
Tu t'accroupis pour pouvoir admirer ma petite culotte rose en dentelles.

Et tu ne manque pas de voir qu'elle était à moitié trempée...

Je peux entendre un léger rire amusé sortir de ta bouche.


Tu caresses mes lèvres avec deux de tes doigts pour vérifier te théorie puis te relèva pour me morde la joue d'une façon extrêmement sensuelle.

Tu fis une légère pression sur mes épaules pour que je comprennes qu'il fallait que je m'agenouilles.

Une fois à genoux , tu joues avec distraction avec une de mes mèches de cheveux .
Moi je poursuivis l'action en déboutonnant ton pantalons avec mes doigts tremblant.

Une fois ton jean ouvert, je matta ton caleçon noir qui à première vu était très moulant.

Je fis attention aux moindres détails à travers ce tissus pourtant si épais.

Tu enlèva celui-ci et je me fit  surprendre par énorme pénis bandant évacuer comme un ressort
Il se cogna surmon front.

Tu me fixa sans un mot en continuant de me caresser la tête.

Tu savais que j'allais deviner ce qu'il me restait à faire.

Mes doigts entoura donc ta verge et mes lèvres s'approchèrent lentement de ton membre.

Je commenca à lécher ton gland. Ma bave s'étala sur tout le long de ton pénis et dégoulina petit à petit sur le tapis en fourrure disposer en dessous de nous.
J'entendis ta respiration de plus en plus forte et de plus en plus rapide.

Tu adorais ça.

Tu fis rentrer ta bite un peu plus profondément dans ma gorge et tu décida de prendre le relais en faisant des vas et viens de plus en plus rapide.

Des sons d'étouffement sortirent de mon œsophage qui n'est visiblement pas assez large pour pouvoir contenir une chose aussi grosse.

Tu fais encore quelques mouvvement puis tu te retires lentement.

Tu finis par te mastiquer collé à mon visage et ton sperme gicla à flot sur tout le long de mes lèvres et de mes joues.

Tu pris un mouchoirs dans ta poche et tu me débarbouilla à la vas-vite.

Tout cela était loin d'être fini.

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⏰ Dernière mise à jour : Oct 17 ⏰

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