𝑮𝒐𝒖𝒕𝒕𝒆 𝒅𝒆 𝒑𝒍𝒖𝒊𝒆

Chapitre 1 : 𝑳'𝒂𝒓𝒂𝒊𝒈𝒏𝒆𝒆

Elle était la, assise sous la pluie, sur le sol trempé et inconfortable.
Adossée au mur de brique, fissuré et sale.
Elle avait les bras croisés et la tête enfoui dans ses jambes replier sur elle même.

Elle avait de très long cheveux, blanc qui devait à peu près arrivée jusqu'à ses chevilles. Elle avait de magnifiques yeux, à la fois violet et bleu.
Elle était vêtu du kimono rouge et blanc et était pied nu.

Parfois elle relevait la tête pour observer les passant qui, quelques fois la devisageaient.

Il faisait pratiquement nuit et il ne pleuvait quasiment plus.

Itteki relevait la tête pour regarder les petites lumières qui emanaient des vitrides des magasins.

Puis elle croisa le regard du homme. Grand, un manteau noir comme son regard. L'homme s'aretta et la regarda un instant. Itteki le regardait aussi, droit dans le yeux.

Puis l'homme se retourna et disparu pour réapparaître aussitôt à côté d'Itteki.

Elle fesa un bond de surprise et l'homme s'acroupit :

-?- Que fait tu la toute seule petite ?

Itteki le regardais sans éprouver aucune émotion

- Je ne peu pas vous le dire.

- Tu peu me dire ton nom ?

-Itteki. Itteki Ame.
Et vous ? Qui êtes vous ?

- Je m'appelle Kuroro Lucifer.
Dit moi, d'où yu vien ?

-Je ne peu pas vous le dire non plus.

-Et tu n'as nul part ou aller n'es pas..?

-... Non...

Il lui tendit sa main,

-Voudrais tu venir avec moi ?

-Mais... Ma maman m'avait dit de ne pas faire confiance aux inconnus...

-Je suis sur que je ne te suis pas inconnu.

Elle le regardait d'un air intrigué.

-Tu connais la brigade fantôme ?

Son visage s'illumina,

-La brigade fantôme ! Je les admire telment ! Même si se sont des assassins bien sûr.

Kuroro souria

-Tu veu que je te les présente ?

-Quoi ?! Tu les connais ?!

-Oui une petite connaissance.

-Tu peu vraiment ?!

-Oui ne t'inquiète pas.

Elle prit la main du noiraud et se leva en fesant une petite grimace.

-Aïe

Kuroro baissa le regard vers les pieds de la jeune fille et remarqua qu'elle a de petite écorchures aux pieds.

-Que t'es t'il arrivé ?

-Ça aussi je ne peu pas te le dire

-Très bien mais tu va avoir des difficultés à marcher comme sa...

-Euh... Je ne sais p-

Il la coupa dans sa phrase en la soulevant soudainement, et en la prenant dans ses bras.

Itteki resta comme sa, rouge pivoine et étonné de l'action de l'homme qui commença à marcher,

-Mais je-