Farinex //Complices

Retard

♤Pdv externe :

Valentin : Allez Clément on va être en retard putaing dépèches toi.

Clément : Oui Oui j'arrive ...aïe putain je me suis congner oe doigts de pieds avec ton putain de meuble aïeuu ça fait mal.

Valentin : Je m'en bat les couilles putain.

Le jeune brun s'avança vers son pote et le saisit par le bras et le tira vers la sortie tennant dans ses mains une paire de basket nike noire et une paire de chaussettes blanches.

Valentin : Allez, maintenant tu mets tes chaussures et on y va. Allez grouilles toi.

Le petit brun se dépécha d'enfiler ses baskets sans faire l'effort de faire ses lacets puis courru prendre son cartable et ses clées et sortit de l'appart suivi de son compagnon direction le lycée.

Les deux jeunes garçon courraient pour ne pas arriver trop en retard vers leur déstination, leur enfer terrestre. Oui, les deux garçon détestaient le lycée, et avaient hâte d'en finir. Aucun savait son avenir et ses projets futur mais, ils s'étaient jurés complicité dans chaque pas vers le futur.

Le jeune Clém- ah oui, il avait oublier de faire ses lacets, trébuchat et attérit parterre, s'écrasant sur le bétton dur et chaud. Il grimaça puis se leva graçe à l'aide de son tendre ami.

Valentin : Ça va clément?

Clément : Oui très bien.

Valentin : T'es sûr?

Clément : Mais oui, allez avances on va être encore en retard.

Valentin : Ouai en vrai on y est déjà donc pas besoin de paniquer.

Clément : Ah oui, j'avais pas remarquer.

Le petit Clément était trop occuper à penser... penser ... penser. L'image de Valentin ne quittait son esprit, comme inscrite dans ses pensées. Il l'aimait, non en amitié mais en amour. Notre jeune lycéent était tombé sous le charme de son collègue. Son sourire le rendait irrisistible, comment ne pas craquer devant une telle beautée. Clément souriait bêtement à chaque fois, à chaque pensée coquine qu'il pouvait interpréter interieurement, laissant le jeune Valentin se questionner sur ses reveries.

Valentin : Allez, arrêtes de rêver et viens, on va en classe.

Clément : Ouai.... je te suis.

Valentin : Ouai, t'en a interret sinon, une heure de colle pour toi.

Clément : Mais oui t'inquietes.

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Voici pour se premier chapitre du fameux Farinex. J'espère que cela vous a plut, si c le cas lacher un petit vote qui fait plaiz et mettez vos avis dans les commentaires. Bisous.