Le froid, la peur
Le doute, les pleurs
Une plaie béante dans mon coeur
Dans l'ombre, je cherche l'âme-soeurJournée d'ennui
Nuit d'errance
Battu par la vie
Meurtri par le sangMon existence n'est qu'un empire éphémère
Qui peut disparaître en un éclair de la Terre
Son empereur est seul et désemparé
Solitaire, sur son trône dans son palais abandonnéMais te voilà enfin douce aube!
Tu guerris mes blessures profondes
Et tu embellis ce monde immonde
Oui toi l'Aube, je t'écrirai une Ode!