C.H.A.P.I.T.R.E 39

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PDV Jungkook 

Je suis stressé, tellement stressé que je m'en mords les ongles, j'ai actuellement une nouvelle mission, et je ne dois pas la raté peux importe les circonstances. Ce Lundi matin vers 2 heures du matin j'avais fait ma valise, emportant tout ce que je peux dans celle-ci. J'avais réservé un billet de dernière minutes en vitesse, appelé un taxi pour le trajet de l'hôtel à l'aéroport et avais envoyé un message à mon manager en titre, Hoobin, pour m'excuser de le laisser en plan à New York avec toute une équipe à gérer. Vers 3h du matin j'étais arrivé dans l'aéroport, mais je restais vigilant, je n'avais pas pu prendre de vol plus tôt que celui de 13:55. Je m'étais angoissé à l'idée que mon manager me retrouve avant mon départ. 

Je n'avais pas fermé l'œil depuis très longtemps. Après mon concert de dimanche soir, j'étais rentrée vers minuit, puis j'avais songé puis je m'étais évadé. Je fus un peux plus soulagé lorsque je monta dans l'avion sans avoir été retenu physiquement. Oui physiquement, parce que entre tant j'avais reçu moultes messages et appel de Hoobin sans y laisser réponses pour autant. J'avais déjà entamer dix heures de vols dans le stresse absolu. Allais-je me faire avoir ?  Et si j'arrive trop tard ? Jimin m'en voudra surement. Il m'avait envoyé un gros pavé "récapitulatif de la situation actuel en Corée". 

Mon avion dois atterrir Mardi à 17:20 et le siens décoller à 18:05. Ce qui me laisse très exactement 45 minutes. Ca peut paraitre long, mais une fois mon vol atterri, je vais devoir passer la douane récupérer mes bagages et trouver dans quel terminal il se trouve. En espérant qu'il ne sois pas déjà en salle d'embarquement car sans billet pour la Nouvelle-Zélande impossible de pénétrer la salle de d'attende des départs. Cherché une personnes dans un aéroport ou foule il y a est une tâche aussi compliqué que trouvé une aiguille dans une botte de foin. 

Je me sens désormais de plus en plus tendu mon avion se posais sur le sol dans quelques secousses et un bruit fort dérangeant. Une fois sur le tarmac et la passerelle en orientation vers les portes du porteurs, je me lève brusquement récupérant mon sac à main, me précipitant vers les portes encore fermé. Les hôtesse de l'air que je croise me dévisageant avant que leur visage s'illumine, m'ont t'elles reconnu? Je baisse alors ma casquette un peu plus cachant mon visage et une fois les portes ouverte je suis le premier à me précipité hors de l'appareil, courant dans la passerelle, jusqu'à la première frontière, la douane vérifiant nos papiers. 

17h30. Rapidement, étant le premier, je me dirige ensuite vers le tapis pour rattraper mes bagages. Je consulte un mini tableau qui indique clairement que les bagages ne viendrons pas avant 10 bonnes minutes. Heureusement, j'avais fais un coup de malin, les derniers bagages enregistrés sont donc les premiers à sortir, alors j'avais emmener ma valise sur le tapis en dernier, afin d'être dans les premiers à la récupérer.  

17:40 le tapis ce lance d'abord vide, puis je vois le bout d'une valise arriver, ce n'est pas la mienne, je ne peux enlever mes yeux du cadrant de l'horloge voyant le temps passer; après six valise, ma valise arrive devant moi. 

17:45. Je la prends rapidement et commence à courir en me dirigeant vers la deuxième douane. Une fois celle-ci passer j'arrive dans le hall de l'aéroport, parmi les gens avec des pancartes et d'autres sans pancartes attendant surement un membre de leurs familles ou amis.  

Je me précipite vers le tableau des départs et essaye de prendre un peu de lucidité afin de correctement lire les différentes informations. 

"Séoul-Auckland. Enregistrement terminé. Embarquement porte C3."

Je ne sais pas qu'elle sportif pénètre mon corps en ce moment, surement Usain Bolt mais je n'es jamais couru aussi vite qu'actuellement avec une valise et un sac. Arrivé au bon endroit je tombe nez à nez avec la douane des frontière et commence à paniqué il n'y a qu'une dizaine de personnes dans la queue. Les retardataires. Je ressens un vive pincement au cœur en comprenant que je suis arrivé trop tard. Je tourne et me retourne dans tout les sens essayant de l'apercevoir a travers la dense foule des lieux. Il doit déjà être dans l'avion assis et prêt à partir, à démarrer sa nouvelle vie, dans laquelle je n'es plus ma place. Avais je eu une place dans sa vie avant ? Essoufflé et anéanti je me laisse tomber sur le sol près de ma valise tentant de reprendre convenance petit à petit. 

Behind The Scenes tk Où les histoires vivent. Découvrez maintenant