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// Avertissement : Ce poème parle de sujets qui pourraient heurter la sensibilité de certaines personnes. \\

Noyades dans les souvenirs,
Je confonds rêve et réalité,
En voyant ton beau visage imprimé,
Sur ses papiers par milliers.

Nous étions heureuses,
Sur ces vieilles images,
Mais tu es partie aux cieux.

J'ai t'ai perdue,
Ma petite sœur,
Ma meilleure amie pour la vie,
Celle avec j'ai tant ri.

J'ai toujours dit que le jour de ta naissance était le plus beau de ma vie,
Mais je n'avais jamais imaginé l'enfer lorsque tu serais partie.

Pourquoi ?
Pourquoi ?
Je ne comprends pas.

Suis-je passé à côté de quelque chose ?
Un signe ?

Ça me rend folle tu sais,
Folle de n'avoir pas réussi à décoder ton message,
Caché derrière tes regards ou ton faux sourire,
Ça me rend folle de me dire,
Que tu m'avais peut-être prévenue,
Mais que je n'ai rien vu.

J'ai l'impression que tu as tout emporté avec toi,
Ce soir-là où tu es partie,
Ce soir-là où tu t'es enlevé la vie.

Et ce soir-là tu m'as aussi emportée avec toi,
Arrachant mon cœur avant de t'envoler près des anges.

Tu m'as déchirée en deux,
Laissant mon corps sur Terre, Emportant mon âme sous ton aile.

J'ai envie de vivre tu sais,
Mais sans toi c'est impossible.

Je n'en peux plus,
Je n'y arrive plus.

Je te donne rendez vous demain aux portes du paradis,
Rejoins-moi là-bas,
J'ai hâte de pouvoir te serrer dans mes bras.

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