PH CM

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Un homme aveugle qui a perdu ses yeux mystérieusement court avec sa jeune guide qui est en réinsertion. Ils s'entrainent pour les championnats. Un jour la jeune femme intriguée par son histoire va lui posé la question. L'homme va toucher le visage de la jeune femme et va effleuré le pendentif qu'elle porte. A partir de la et de jour en jour le corps de l'homme va se décomposé petit a petit. Il va se gratter jusqu'au sang, perdre ses dents, sa peau va tomber, ses cheveux vont tomber a force de gratter, il va perdre la main droite qui était paralysé. La jeune femme va un jour lui rendre visite chez lui alors qu'il n'est pas venu a l'entrainement. Elle va entré dans son petit appartement et va le retrouver complètement décomposé, serrant auprès de lui le corps de sa femme et de ses trois filles qui ont été toutes les quatre tuées. L'homme tourne sa tête décomposée vers la jeune femme et lui fait un sourire, sa main droite tenant toujours une petite corde enroulée autour du cou de sa fille. La tête de l'homme a des vers, sur le ventre de sa fille encore intact un vers marche sur la peau, la fillette porte le même collier que la jeune femme. La camera fonce dans le trou de l'œil vide du père et s'enfonce jusque dans le cerveau de l'homme et a se moment la on entend un biiiip puis tout devient blanc et le  générique commence.

Citron ( CM ): Un citron vit tranquillement dans un jardin. Un matin il se réveille regardant la beaute des collines desertiques avec le soleil qui se leve et eclair les citronniers. Le citron se retourne vers la maison qui se trouve a l'autre bout de la proprieté et il attend. Au bout d'un moment, un petit garcon sort de la maison et se dirige vers le citronnier qui se trouve au bout du jardin. Il porte dans la main un petit verre d'eau. Il s'assoit pres du citronnier, deverse son verre d'eau au pied du citronnier puis il commence a raconter sa journee aux citrons qui l'ecoute avec interet. Puis le petit garcon se releve et repart vers sa maison. Le citron lui continue a admiré la beauté du paysage, a s'hydraté avec l'eau que le petit garcon a deposé au pied de l'arbre, il regarde le petit garcon et ses soeurs jouer dans le jardin, il ecoute rire ses etres si innocents ceux qui lui donne chaque jour de la joie. Il sait qu'en les voyant la journée sera magnifique. Le soleil se couche pour laisser place aux etoiles qui illuminent a leurs tour les collines et le citronnier. La porte fenetre s'ouvre et le petit garcon sort de la maison et se dirige vers le citronnier. Il s'assoit et discute des heures avec le cittron, de sa soeur morte dont son sourire illumine maintenant les etoiles. La fatigue gagne le petit garcon qui s'endort a la belle etoile qui le regarde sombrer dans les bras de morphé, comme si les etoiles prenaient soin de l'enfant de la haut. Le citron lui aussi commenca a fatigué et il s'endormi a son tour. Le citron reva du petit garcon qui avait grandi. Il se dirigea sous le citronnier mais au lieu de raconter une histoire il s'assis en rigolant. Une fille d'une vingtaine d'année l'accompagnait. Ils riaient a chaude larmes, comme quand il jouait avec ses soeurs. Le rire malgré son coté enfantin et innocent avait quelque chose de plus mature. Puis le petit garcon qui avait grandi commenca a embrasser la jeune femme qui continuait a rire. Puis ils se coucherent sur un linge terre et le citron les regarda devenir adulte, toujours silencieusement, les etoiles illuminant la scene toujours en surveillant de la haut. Le citron sorti de son reve avec le soleil qui se levait. Le petit garcon arriva avec son verre d'eau et s'assis pour parler de tout et de rien. Le citron voulait rester la pour toujours a ecouter. Meme quand le petit garcon grandira il voulait etre la pour le proteger, le voir grandir, le voir construire sa vie. Le citron aussi pourrait faire si vie en meme temps que le petit garcon en trouvant une femelle avec qui melanger son pepin et pourquoi pas faire des petits. Avec le petit garcon ils se raconterais leurs histoire de couple, leurs histoire de famille. Les enfants du petit garcon pourrais jouer avec les enfants du citron. Le citron ecouta le petit garcon ecouter pendant 1 heure puis l'enfant regagna la maison. Le soir, le pere de famille organisa un feu de camps sous le citronnier. Le petit garcon jouait avec ses soeurs et d'autres enfants du village. Les adultes autour du feu  parlaient quand a eux de leurs enfants qu'ils avaient perdus, d'une maison detruite, d'un enfant envolé avec la fumée d'un engin de mort, d'un enfant coucher sur son lit de terre, d'une marelle transformée en petit trou... Le feu crepitait sous le soleil etoilé, la fumée se dirigeant vers le ciel et les braises dansant. Le citron ne comprenait pas tout mais il ecoutait tout se petit monde qui degageait une joie de vivre. Il n'avait par exemple pas compris pourquoi tout le monde s'etait tu quand un homme avait dit qu'il avait coucher sa fille dans un lit de terre  après l'avoir habillé avec ses habits de princesse, ceux qu'elle preferait. Ou quand un autre lanca qu'il avait planter un olivier avec son fils dessous. Le citron pensa innocement que l'olivier devait etre content de pouvoir ne faire qu'un avec son jeune proprietaire. Mais la chose qui surpris le plus le citron fut le moment ou un homme cria qu'un vers s'etait promener sur le ventre de sa fille et qu'il n'arrivait plus a enlever cette scene de la tete et qu'il s'imaginait chaque jour voir son petit sourire transformer en du terreau bon qu'a nourrir les arbres et les fleurs. Apres cette nuit joyeusement agité mais tout de meme etrange, le citron se reveilla avec les collines illuminés par le soleil. Qu'elle belle journée pensa t-il. Mais le petit garcon n'arriva pas avec son petit verre d'eau. Pas d'histoire non plus. Le citron s'inquieta pour son jeune ami. A la place il entendit un un bruit sourd qui venait du ciel. "Dieu arrive pour te punir parce que tu ne m'as pas nourri" plaisanta le citron. Puis une enorme deflagration se fit ressentir et la maison ou habitait son jeune ami fut pulveriser. Des femmes et des enfants sortirent de la maison en sang. Des adultes portaient des petits corps tout desarticulé et les poserent sur la terrasse. Puis des camions se garerent et les hommes survivants furent emmener de force. Les enfants pleuraient, les meres suppliaient, d'autres secouaient les petits corps posés a terre. Le citron essayait de reprendre ses esprits. Il vit un petit corps sur la terrasse, coucher juste a cote d'une petite fille qui avait le visage infester de mouche et qui bronzait au soleil, et il crut reconnaitre son jeune ami etendu au soleil. Le citron retrouva enfin completement ses esprits et il fut soudain prit de panique. Il n'etait plus entouré e ses feres et soeurs mais il etait couché par terre, comme tous les petits corps sur la terrasse. Il regarda autour de lui et il vit sa mere se tenir devant lui. Le citronnier lui faisait face, toujours debout comme si de rien n'etait arrivé. Ses feres et soeurs etaient toujours accrochés a leurs parents. Quelques uns de ses freres et soeurs avaient egalement ete arrachés de leurs parents mais ils avaient tous ete eventrés. Heureusement lui n'avait rien eu, le hasard ou quelqu'un l'avait epargné preferant tuer ses freres et soeurs. Puis il s'apercu tout a coup qu'il se trouvait derriere la ligne. Il se souvint qu'un jour son jeune ami lui avait raconter que derriere cette ligne quasiment invisible se trouvait ceux qui etait responsable de tout leurs malheurs. Le citron essaya de retourner chez lui mais en vain. Il voyait sa terre, celle qui l'avait vu grandir, la ou il avait les meilleurs souvenirs, mais impossible de se rendre de l'autre cote, la ou il etait né et ou il avait ses racines. Il supplia de venir l'aider, de venir le secourire mais aucune reponse. Il passa des jours a deperir tout seul, sans que personne ne lui vienne en aide a regarder cette terre ou il avait ses racines, cette terre qui se remplissait de jour en jour du sang de la terrasse qui coulait. Jusqu'au jour ou une main le ramassa. Le citron regarda son sauveur, un petit garcon de 6 ans. Mais il fut tout a coup pris de terreur quand il vit la mere de l'enfant. Elle portait les habits que les militaires avaient juste apres l'explosion. Ceux qui avaient enlever tous les hommes survivants et les avaient emmener dans les camions. L'enfant parti dans la direction contraire de la maison du citron. Le citron vit ses racines, son chez soi s'eloigner. Plus de retour ne serait possible. La femme quand elle vit que son fils tenait un citron dans sa main elle lui hurla de le lacher comme si il contenait la peste "Je t'ai deja dis quoi ? De ne jamais toucher a se qui appartient a nos ennemis. Tu ne sais pas se qu'ils ont fait avec ni se qu'il contient. Rappel toi que dans chaque citronnier ennemi peut se cacher un terroriste." "Mais maman..." L'enfant ramena le citron dans sa chambre et il prit soin du petit citron. Le soir, une fois la famille a table, le citron entendais grace a la porte entrouverte la famille qui parlait de bombarder une ecole maternelle grace a de bons renseignements. Le petit garcon ne parlait pas beaucoup a table preferant ecouter puis il se confiait ensuite au citron, sur son envie de paix face a ceux qu'on lui avait toujours dit qu'ils etaient ses ennemis. "T'es pas different que les citrons de chez nous" fit le petit garcon ...   Le petit garcon regarda le checkpoint et ses enfants considerer comme de la vulgaire marchandise. Ceux qu'on considerait comme ennemi parce qu'ils ne nous ressemblait pas alors qu'ils lui ressemblait pourtant tellement. Sa mere lui avait dit que si ils avaient l'air si normal c'etait pour mieux s'infiltrer et leurs faire du mal. Le petit garcon se dirigea vers ceux qu'on considerait comme ennemi et il demanda a un homme "Pourquoi vous ne pratiquez pas la meme religion que nous " "Mon enfant sache qu'il n'y a qu'un seul Dieu et plusieurs religions" "Mais pourquoi vous essayer de nous tue ?" "Si certains preferent la mort c'est parce qu'on leurs a tout prit et qu'ils preferent rejoindre les leurs qui sont parti et qu'ils ne peuvent pas laisser ceux qui leurs ont tout pris vivre paisiblement et en paix. Vous avez pris nos enfant et les avez envoyer aupres de Dieu. Je crois bien mon garcon que les victimes d'hier sont devenus les bourreaux d'aujourd'hui" "Mais on m'a enseigner que vous etiez les mechants" "Les resistants Francais etaient considerer comme des terroristes par les Allemands. Tout depend de quel cote tu te trouves. Tu aimes lire mon garcon ? Tu connais certainement L'attaque des Titans et cette phrase "Pour certains Yimir etait un Dieu, pour d'autres c'etait un monstre, tout depend de ton point de vue et qui en decide ainsi." Le petit garcon courut dans le bus pour voir ses parents et leurs dire qu'ils se trompaient, qu'ils massacraient des innocents au nom de la foie, le citron dans sa main. Il monta dans le bus et se dirigea vers l'arriere. Des dizaines de militaires etaient dans le bus, des religieux qui parlaient de race et de grand etat religieux. Le bus repart, il longe le mur de separation, les chekpoint, les enormes murs barbeles avec tourelles, les colonies, une bombe qui tombe sur un village de l'autre cote du mur et pulverise des maisons, les passagers du bus regardant la deflagration en admiration, certains criant de joie, des arrestations d'enfants musulmans et chretiens par l'armee. Puis le bus s'arreta a un arret et un enfant monta. Le citron le reconnu tout de suite. C'etait son ami, celui qui lui ramenai a boire tous les jours. Le citron fut soulager de savoir son jeune ami en vie. L'enfant avait une partie du visage brulé et un oeil blanc. L'innocence et la joie n'etaient plus que de lointain souvenirs. Le regard de l'enfant etait noir de rage. Il vit un petit garcon au milieu  des soldats, ses yeux ayant l'air de chercher assistance. Mais il etait trop tard pour le jeune ami du citron, il avait deja appuyer sur le bouton. "Je suis Palestine et vous n'effacerez pas mon sourire. C'est pour ma soeur que vous avez tué sans remord, pour que vous n'oubliez jamais son visage. Amen. A tout de suite petite soeur". Sur ses mots et apres avoir embrasser la croix de Jesus, l'enfant se fit sauter et la deflagration emporta le bus et ses occupants. Le jus de citron commenca a couler. Des bouteilles de jus de citron made in israel sont vendu dans une grande surface Francaise. INF(INIE) ( image 2eme guerre mondial Palestine ) 

Le lapin blanc ( CM):

Un monstre pourchasse la jeune Alice à travers sa maison. Pour lui echapper et enfin mettre un visage dessus elle va se rendre dans le pays imaginaire. 

Puzzle HumainOù les histoires vivent. Découvrez maintenant