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Malaika





















-...- bonjour

Je finis par me retourner, avant de me lever et prendre place sur une chaise à côté, c'était sûrement une collègue.

Moi - bonjour

La servante - je m'appelle Aïcha et toi ?

Moi - malaïka lui dis-je en souriant

Aïcha - enchanté... Madame Déborah demande à ce que tu aille ranger la chambre de son fils

Moi - ... D'accord

Je me lève et passe juste à côté d'elle avant de rejoindre la chambre de Tamsen. J'avais fini de prier, et cela m'avait fait énormément du bien.

Il n'y avait que Dieu qui peut soulager nos peines.

J'ouvre la porte de sa chambre et c'était le bordel total, de la pièce ménagère je l'entendais crier, mais je n'ai pas su discerner ce qu'il disait, cela m'importait guerre, j'avais besoin de passer du temps avec le créateur.

Je regarde à côté et le retrouve allonger sur le sol avec une photo en main, le point fermé.

Je m'approche un tout petit pour mieux le voir, il était tellement beau quand il dormait, on pourrait même dire que c'est un ange, il ne ressemble pas du tout à cette personne hautaine qu'il est.

Je dépose mes yeux sur son torse nu que je n'avais pas encore vu. Je fermes mes yeux en demandant au saint Esprit de l'aide pour ne pas péché, il était tellement musclé, j'avais envie de le toucher, mais je me suis retenu, et j'ai commencé à ranger le bazard qu'il avait fait dans sa chambre juste pour une tenue de sport.

Si on m'avait dit que les riches se comportait comme ça, je n'allais pas accepter cette emploi.

Et dire que l'argent fait le bonheur, j'ai toujours dit qu'il y a un cas d'exception, et en voilà un.

Le père de Tamsen, monsieur Junior Nsisa, connu par plusieurs personnes, pour sa grande générosité et son grand cœur mais aussi pour ses entreprises pour ses hôtels au Congo et même des restaurants, est tellement riche, et dire qu'aujourd'hui je me retrouve servante dans sa maison et je vois celà, ça me dégoûte vraiment.

Bolingo na mbongo Où les histoires vivent. Découvrez maintenant