« BOULE DE NEIGE. » ʸᵐ

CHAPITRE 2

❝ 𝗕𝗢𝗨𝗟𝗘 𝗗𝗘 𝗡𝗘𝗜𝗚𝗘. ❞ ┗━━━━•❅•°•❈•°•❅•━━━━┛

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- ᴀ ʏᴏᴏɴᴍɪɴ sᴛᴏʀy ★°*ﾟ

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CHAPITRE 2 : PERSÉCUTION.
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► Baekhyun 🟢
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donc,
17h29

monsieur el bâtard t'a tema sans daigner bouger son petit cul,
17h30

alors que tu te faisais frapper par deux boloss homophobes ?,
17h30

c'est la vie ?,
17h31

PTDR C'EST MA MAIN DANS SA GUEULE OUAIS
DEPUIS QUAND ON LAISSE UN GARS SE FAIRE VIOLENTER COMME ÇA SANS BOUGER SON GROS CUL DE PRINCESSE
NAN MAIS JE RÊVE
MEME MA PETITE COUSINE A PLUS DE COUILLES QUE CE SAC À FOUTRE,
17h32

en même temps ta petite cousine elle fait du karaté et elle t'a déjà mis à terre.., 17h34

c'est pas parce qu'elle a que 11 ans qu'elle a moins de force qu'un forain d'âge adulte, frr
elle a une de ces poignes goddamn
je plains les individus qui vont tenté de la gérer
coup de pied balayette et iel est au sol
c'est carré,
17h35

BREF, ton petit Yoongi là, je le soulève
ami d'enfance ou pas j'le méprise fort
tu mérites tout le soutien du monde et cet abruti il te voit en mauvaise posture
et il remet ses putains d'écouteurs
j'vais lui faire bouffer mon paquet de clopes par l'anus tellement j'ai la rage,
17h36

PTDR abstiens toi ça coûte cher
en plus je doute qu'il capitule à laisser quelque chose entrer dans son petit fessier de mec hetero,
17h40

EMDEHAIR. emdecheveux. j'ai jamais vu plus refoulé que ce mec même quand j'étais en terminal, sa petite couverture de fuckboy tenait pas avec moi. il te bouffait du regard plus que je ne bouffais du regard le menu de la cafétéria un jour de frites,
17h42

ouais mais en attendant c'était des meufs qu'il baisait
donc j'y crois moyen à ton petit radar à gays tu vois
surtout que sa réputation le précède,
17h42

mais ?? tu m'as bien dis que vous avez eu une aventure, non ?,
17h45

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17H45, chez Jimin

Jimin verouillait l'écran de son cellulaire sans répondre au message de son aîné étudiant, préférant redresser son visage vers le miroir qui lui faisait face.

Son visage aux traits pourtant fins était gonflé, martelé de part et d'autre par des gonflements rougeoyants, qu'il tentait vainement de soigner, depuis désormais quelques minutes périlleuses. La douleur faisait de ses gestes une muée de caresses guidées par une appréhension peureuse. L'amertume de ses hématomes était amplifié par la lourdeur du sentiment d'injustice qui l'étreignait puissamment.

Une grimace chagrinée barra sa moue indifférente, le temps qu'il finisse d'appliquer une pommade inodore sur certains endroits de son faciès endolori.