CHAPITRE : 28

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PVD CONNOR

Respirer m'était presque difficile et l'adrenaline qui s'était libérer dans mes veines augmentait ma fréquence cardiaque,de ma vie j'ai jamais été aussi impatient de tuer quelqu'un. 

On planifie les dernières choses qui restait à faire. On charge et recharge nos armes robotiquement si on retire mon coeur qui battait à une allure effréné. On met nos gillets,nos oreillettes et dissimule les couteau et armes sous nos vêtements. 

-Hé Connor j'ai quelques chose à te dire viens là me héla Andrew

Je fronce les sourcils devant son air sérieux et tendu

-Qu'y a t-il mon pote ? Lui demandais-je

Il réfléchit un moment avant d'ouvrir la bouche et de le refermer. 

-Que se passe t-il Andrew ? Tu sais bien que tu peux tout me dire reprenais-je

-Oui,oui je sais mais...

-Aller dis moi ce qui passe

-Si par malheur quelque chose m'arrive ou quoique soit je voudrais que tu saches que...

-La ferme Andrew rien ne va t'arriver sifflais-je en lui coupant la parole

Rien qu'en pensant quelques chose pourrait lui arriver par ma faute une vague de colère s'empare de moi,je me sens coupable de l'entraîner dans mes problèmes mais je sais aussi qu'il voudrait jamais me lâcher c'est un bon pote. Il a été là quand je broyais du noir et m'a toujours soutenu malgré mon caractère de chien,je lui vaut ma vie. 

-Attend que je finisse ma phrase

-Hors de question,tu me diras ce que tu as à me dire quand on sera
de retour lui dis-je en lui poussant le dos vers la sortie

-D'accord,d'accord je me tais,on aura plus de calme dans le cercueil et en plus on se sera côte à côte dans le cimetière si ce n'est pas romantique céda t-il en levant ses mains en l'air pour montrer sa défaite

-La ferme on n'est même pas encore marié continuais-je sur la même lancé en rigolant

On se regarde dans les yeux avant d'éclater de rire comme des mongols mais ce moment fut de courte durée car des bruits de bal se fesaient entendre au dehors créant un vacarme assourdissant.

On se précipite au dehors et ce que je vois me cloue direct sur place.

Ma foi !

Une voiture fesais le tour de ma propriété esquivant les bals de son agresseur et tirait en même temps. Une pluie de poussière s'eleva autour de la voiture empêchant la personne de bien viser.

Seigneur ! Iris !

Rappelle moi pourquoi elle m'obsede nuit et jours déjà ?

On retire nos armes de nos cachette et on ouvre le feu,très vite ils délaissent leur cible principale et tire dans notre direction ce qui permet à Iris de rentrer au garage sans problème.

Presque tout ses hommes étaient à terre et il commençait à devenir faible,on rentre à l'intérieur et redouble d'effort jusqu'à tuer tout les hommes présent. On arrête de tirer et observe les alentour à travers les fenêtres,il n'était pas là...

Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap !

Je me retourne à l'entente de ses battements de main et m'arrête net en voyant le spectacle qui ce jouait devant moi.

-Connard ! Lâche la que je te défonce hurlais-je en colère plus que jamais

Il éclata de rire et s'assoit sur une chaise,caressant son couteau du bout des doigts. 

Un de ses hommes avait un couteau sur la gorge d'Iris et du sang commençait à couler sous la lame. Des autres tenaient Faïlery et sa copine qui tremblait comme une feuille.

Iris !

Elle pleurait...

Je ferme les yeux et essaye de me calmer. Ses yeux reflétait la peur et c'est la première fois que je vois de la peur dans ses yeux.

Elle m'implorait du regard de faire quelques choses et c'est quelque secondes plus tard que je comprenait ce qui se passait.

Anthéa

Un autre homme la tenait fermement et on lui avait passer un bâillon,elle aussi,elle pleurait.

Je braque sans réfléchir mon armes,le pointe sur le fils de pute qui tenait Iris et m'apprêtais à tirer quand on me devança et tira,puis un autre suit le premier

J'eus le temps de me retourner et de voir Andrew à terre entouré d'une marre de sang et Iris inconsciente ou du moins je l'espérais,Anthéa et Amarande sont parti se réfugier dès qu'elles ont eu le temps de s'échapper. Faïlery s'est trouvé un arme de je sais où et commençait a tirer.

Les bals pleuvait des cordes dans la pièces et je cherchais James du regard,coûte que coûte j'allais lui régler son compte à ce connard,il peut pas s'enfuir. 

Je le retrouve au fond de la pièce a regarder avec amusement la scène qui se jouait devant lui,j'avance vers lui et m'arrête quand il commença a parler.

-Vous êtes là où j'ai toujours voulu que vous êtes dit il en rigolant visiblement heureux de son constat

-Qu'entends tu par là ? Lui demandais-je

Il continua de rigoler et essuie même des larmes imaginaires sur ses joues.

-Tu vas moins rigoler quand je vais te péter la gueule,tu vas voir reprenais-je calmement

-Chaque jour,chaque nuit j'ai imaginé cette scène dans ma tête,tu vois. Avant je voulais que toi tu tues Faïlery et après moi je te tuerais mais faut croire que le destin a voulu rendre les choses plus belle,plus intense. La scène où je vous tue tous est plus palpitant c'est vrai dit-il le sourire au lèvres des gestes suivant ses paroles

Pardon ?

-Oui il y a de quoi à être surpris,c'est inattendu et je parie que tu regrettes d'être aller mollo la fois dernières reprend t-il.  Ouvre les yeux Connor,je planifie la rencontre d'Iris et Faïlery,je l'encourage à dire la vérité à Faïlery et en plus je te fais tuer Markov,en gros je vous ai fais faire tout le boulot,mes hommes avait des trucs a régler dit-il sans départir son sourire malsain de son visage

-Pourquoi tu as fais tout ça ? Lui demandais-je redoutant la cause de tout ce carnage

-Oh hé tu vois quand Iris est entré dans l'organisation j'ai été le premier à la voir,j'ai demandé le premier à être son mentor mais ont me l'a refusé,pas par manque de compétence non mais parce que tu es venu et tu as tout chamboulé. J'ai souffert parce que moi aussi je l'aime,pourquoi depuis tout ce temps j'ai pas prévenu Faïlery de son existence ? Je pensais qu'elle pouvait m'aimer,mais non,je sais qu'elle m'aime pas et la forcer servira à rien,alors désolé si je ne l'ai pas personne l'aurais dit-il maintenant sérieux ses poings serré jusqu'à ce que ses jointures devienne blanc

Pardon ?

Surpris je vois pas l'arme qu'il pointe sur moi,je recule instantanément et essaye au même moment de lui retirer l'arme entre les mains.

Une balle retentit et je lâche l'arme qui tombe par terre.  Ce petit bruit sert à arrêter le vacarme assourdissant qui régnait dans la pièce,tout passe au ralenti,je tombe à genou et m'ecroule par terre.

C'est finit...

Âme Torturée : Le Choix Du Coeur Où les histoires vivent. Découvrez maintenant